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on sort des cours, j'accompagne chez elle Paõla, elle me reconnait plus, j'ai plus la tête a aimer, je cherche qu'a faire de l'argent.

c'était plus comme avant, on s'aimer mais on s'le montrer plus. j'pense qu'a faire de belles sommes pas a notre avenir, et ça, ça l'a l'agacée.

on arrive au paillasson, elle me regarde soupirant.

pao' : t'as quoi a la fin?!
moi : mais rien mi vida.
pao : menteur !

je saisit ses hanches, l'embrasse pour la première fois, elle ne refuse pas celui-ci. je glisse mes mains sur ses fesses, elle me repousse, viens me gifler, entre chez elle, claque la porte.

putain, j'frappe a la porte, un homme m'ouvre, me scrutant d'un regard noir, je souria

? : reviens plus ici.

j'men vais en le regardant de travers, j'perd tout.

ma mère et moi on se parles plus.
les factures s'amplifie.
ma soeur boss dur, mais ne pense plus a elle qu'a nous.

je n'ai que mes frère.

fabio, me cherche, encore.
il me menace, me lance souvent des regard haineux.

que faire ? Quotidien maladif.

j'commencer a faire des billets depuis deux jours, j'voulais être un tony montana, un bizzi-man.

j'veux un empire pour maman, et un palais pour paõla.

y'a rien de mieux que mes femmes.

Antonio se concentrer a ses études, il voulait être médecin.

Pablo, lui, aider son père dans son épicerie.

moi j'était dans le sal, dans le clandestin. recherchant billets, bonheur, une nouvelle vie.

recherchant les moyens, les moyens pour s'en aller, prendre le large.

j'allais aller a l'école, un jeudi, officiellement pour reconquérir ma rose..

maladifOù les histoires vivent. Découvrez maintenant