Partie48: Sou degringole

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Il y a dans nos vies à tous, des périodes difficiles et d'autre moins. Je me suis toujours rassurée en me répétant lors de ses périodes que Dieu ne nous a jamais dis que ce serait simple.
Et ça ne l'a pas était. Les jours qui ont suivit j'ai éteins mon téléphone. J'ai dis à ma famille qu îl m'avait lâché j'ai dis la même chose aux filles. J'ai arrêté les sorties et me suis investit à fond dans mes cours, chose qui a payé mes notes étaient excellente. A la maison dad se sentait mieux et même si à mon goût il m'en demandait beaucoup trop, je me pliais face à ses désirs et exécutais sans discuter. J'enchaînais et jonglais entre la cuisine et les travaux "d'hommes"( couper les sapins, vider le grenier et la cave, changer la roue lorsqu'il a crever, remplacer les batteries, faire des allers retours dans les garages auto, retaper les grilles de l'entrée, vous l'aurez compris la liste est longue!) Mais je ne discutais pas. Plus le temps passait et moins j'avais de temps pour moi, et ça me convenait. Les heures que j'avais de libre je les passais à la salle de sport puis j'ai commencé à retourner à la média sans avoir peur de croiser Hakim. Que ferait îl la bas en même temps! J'avais plus per des souvenirs que j'avais eu avec lui la bas.. Notre second baisers..
J'ai gardé mon téléphone éteint un mois durant. Je voyais les filles lorsqu'elles passaient à la maison, ou lorsque j'étais au bancs et qu'elles passaient par la, et puis c'est tout.
Quand à Hakim je n'ai eu aucune nouvelle no aucun signe de lui durant ce mois là et c'était tant mieux! Je ne demandais pas mieux. La peine était toujours là ensevelit par des tonnes et des tonnes de tâches et travaux au quel je m'attelais avec hâte.
Malheureusement j'étais forcer de croiser Aaron, mais jamais il ne m'a adresser ne serai ce qu'un Salam Qd bien même je lui ouvrais la porte. Au début je trouvais ça vraiment déplacer, puis comme à mon habitude, je m'y suis faite. Je ne m'étais jamais rendu comme à quel point le pragmatisme pouvait être une réelle qualité par moment.
J'ai continué ainsi un mois de plus et en cours tout ce passer pour le mieux, à là média j'avais repris mes repères et j'avais meme perdu du poids, c'est mon ami Fairouz avec qui je passais le plus clair de mon temps à présent qui me l'a dit en premier. C'est aussi le seul à avoir remarquer "la peine au fond de tes yeux" comme îl me l'avait dis..
J'ai enfin pu parler et j'ai pleuré dans ses bras. C'était la première fois que j'étais aussi faible devant qqlun d'autre que les filles ou ma famille.
Apres m'avoir remonté le morale et l'avoir fait juré de ne rien dire et de ne rien faire! (Îl voulait s'occuper de leur cas!) îl m'a forcé à rallumer mon telephone. Le contacte avec le monde extérieur aller reprendre.

La vie d'une Cendrillon..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant