Horreur d'un rêve

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Sur Terre rares sont ceux qui ont le privilège de se souvenir de leurs rêves, des rêves qui les ont accompagnés lors de leur séjour avec Morphée. Chaque rêve possède une part de vérité, empruntée lors de notre journée ou d'une passée.

Comme chaque matin, Raphaël se réveilla et avant tout chose, consigna ses songes dans un cahiers sans omettre le moindre détail.

Aujourd'hui en ce 2 septembre 2016, c'est une hantise qui le réveilla 15 minutes avant son réveil.
Prenant une inspiration, il se remémora les bribes de souvenirs et commença à écrire:

"C'était un jour de rentrée. notre lycée avait décidé que nous porterons des uniformes. Ces derniers étaient aussi laids qu'une déjection d'oiseau. Pour sûr, la chemise était d'un jaune comme celui de nos besoins, la veste était d'un blanc gris et le pantalon partageait cette meme couleur. Quant aux chaussures, il s'agissait de babouches du même ton que la chemise. Dégoutés par cet accoutrement, nous l'enfilions du bout des doigts comme si c'était bien d'excréments que nous nous vêtissions. Nous nous dirigions ensuite vers nos classes respectives. Nous nous installions attendant le nouveau professeur qui sera notre professeur principal. Nous étions dans la cohue des récits de nos vacances au soleil quand il est arrivé.
Sur son passage, toute voix se taisait par respect ou... par crainte, je relevais donc la tête pour le décrire.
Devant nous se trouvait un homme aux cheveux verts, son teint était d'un pal sans naturel et il ne semblait pas possédée de sourcils. Son sourire artificiel est exagéré par un rouge sang s'élargissant dans un rictus effrayant. D'un habit violet, son apparence ne laissait en rien douter de qui il s'agissait.
Dans la classe, tout le monde retenait son souffle, on pouvait entendre les mouches voler, si tant est qu'il y en avait. Personnes n'osait croiser son regard cruel et sans pitiés.
Se promenant entre les allées formées par les bureaux des élèves, il s'était arrêté en face de moi et de ma camarade Ashley puis, tout en continuant de me fixer dans le blanc des yeux, il leva son bras vers ma voisine la mettant en joue avec un révolver, puis dit:
- Je ne crois pas vous avoir permit de vous asseoir.
Et dans un éclat de rire donnant la chaire de poule au moins froussard de la planète, tirait sur ma pauvre compagnon de classe, le sang éclaboussant les tables et les personnes présentes aux alentours."

Voilà premier chap !! J'espère qu'il vous plaira, je vais faire de mon mieux pour continuer dans ce genre de récit, soyez indulgents c'est la première fois

La face cachée d'un rêve Où les histoires vivent. Découvrez maintenant