Le Journal d'une Lycéenne [Kev Adams]

Chapitre 20. C'est la lois du coeur

- Toi?

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- Je...Je, démarre - t - il. Mais il ne dit rien de plus et se frotte la tête, gêné, tout en regardant le luminaire au dessus de ma tête, comme si celui-ci était devenu subitement intéressant.

- Qu'est ce que tu fais là Kévin? Dit-je d'une voix glaciale.

- Je ne sais pas trop part quoi commencer. 

- Eh bien commence par me dire ce que tu fais là, à Marseille, et ici, dans ce restaurant. Comment tu as su que j'étais ici.

- Attends, Anna, je... une fois de plus sa phrase reste en suspend.

Je commence à bouillonner intérieurement de colère.

- Qu'est-ce-que tu fous la bordel?! T'as compris ou je dois le répéter encore une fois? sifflais-je entre mes dents, en retenant ma fureur au maximum.

- Tu n'as pas dis à ta cousine que nous nous étions disputer à priori...

Il se fou de moi?

- Il est où le rapport? m'exclamais-je toujours sur la retenu.

- Je suis allé la voir, et je lui es demander ton adresse à Toulon, pour te faire une surprise. 

- Ah parce que te voir est censé être bonne surprise? Non mais je rêve. Riais-je nerveusement. Et Marseille? je ne lui ai pas dit, comment tu peux être au courant?

- Non ce je n'ai pas dis ça, mais il fallait bien que je trouve une excuse non? Et.. hésite-t-il, en fait je suis à Marseille pour un spectacle. Sauf que tout à l'heure en allant sur Facebook, j'ai vu que tu avais poster une photo de Marseille avec la le nom du bar. Alors voilà... ça a été assez dur de ne pas me faire repérer. 

Note à moi même: Ne plus jamais écrire sur Facebook et n'importe quel autre réseau sociale, où je me situe.

Il doit y avoir un connard par dans les parages car mon rire nerveux se déclenche une nouvelle fois.

- Là tu fais fort. Tu permets que je récupère mon sac dans les toilettes avant qu'on ne me le vole? Merci.

Je rentre dans ceux-ci, et vois mon sac-à-main à l'endroit ou je l'ai laisser, c'est-à-dire sur le rebord de l'évier. En le prenant je constate à travers le miroir que Kévin et juste derrière moi  et s'apprête à poser ça main gauche sur ma hanche. J'attrape celle-ci au vol avant qu'il n'est le temps de faire quoi que ce soit. Puis je lui fais face. 

- Attends, c'est une blague? Tu fais quoi au jute? Tu te prends pour Dieu ma parole. ( Bien que je ne sois absolument pas croyante).

Il recule visible encore plus gêné que tout à l'heure, mais en me regardant dans les yeux cette fois.

- Bon, excuse-moi j'ai fais le con je sais, t'as pas étais un model non plus. On à fait des conneries tout les deux. 

- Je n'ai à aucun moment dit que je n'avais rien fais. Mais moi au moins, j'ai eu la décence de t'avertir que j'avais un copain. Toi tu n'as même pas évoqué son nom une fois en ma présence. Oui, j'ai eu une réaction de "gamine" comme tu l'as si bien dis, en disant que tu l'avais trompé, mais au moins c'est bien fais pour ta gueule. T'es quelqu'un de malhonnête. Et pour le reste on ne va pas revenir dessus, j'ai déjà dis ce que j'avais à dire. Je me dirige vers la sortit. Donc maintenant, salut, je te souhaite une belle et heureuse vie.  

Il se précipite vers la porte avant que j'ai le temps de l'ouvrir. 

- Je suis venu pour te présenter mes excuses.

- Qu'est-ce-que j'en à foutre de tes excuses. mentis-je. 

- Laisse moi finir s'il te plait. J'ai réfléchis après ton départ. Je me suis rendu compte de compte de la belle connerie que j'ai faites en te laissant partir. Continu-t-il.

- Ah oui? Dis-je faussement surprise. Et de quoi nous viens cette révélation subite?

- Je me suis sentit tellement mal, je n'ai pas compris ce qu'il m'arrivait. J'étais perdu, tu me manquais affreusement, quelques jours après notre dispute, au moment ou se manque a commencé à m'affecter, je ne pouvais plus penser à autre chose que toi. La logique aurait voulu que ce soit à Alice, ma copine, enfin ex, que je pense. Mais non c'étais toi. Toi et toi seule. Pendant des semaines, je n'ai pas compris pourquoi. Je n'avais qu'un début de sentiments à on égard... Mais il y a semaine j'ais pris conscience,  que en réalité, je suis amoureux de toi.

Mon coeur rate un battement. Je ne m'attendais pas du tout à ça. Qu'est ce que je dois faire putain?! Je reste là figé, les yeux plongé dans les siens sans savoir quoi dire. Les mots ne viennent pas, ils restent bloqué au fond de ma gorge.

- Anna, je t'aime

Toujours rien. Bordel Anna réagit. Aller. Mais non, rien. 

Dois-je lui pardonner? Mon ange et mon petit diable intérieur ne veulent pas se manifester. Petits cons va.  

- Je comprendrais que tu ne veuille pas de moi, mais...

Je ne le laisse pas finir sa phrase en jetant dans ses bras. J'approche ma tête lentement vers la sienne. Nos bouche ne sont qu'à quelques centimètre l'une de l'autre. je le regarde dans les yeux. Ma lèvre supérieure n'est plus qu'à un ou deux millimètres de sa lèvre inférieure. Celles-ci s'effleurent lentement. L'action cesse, puis elle reprend mais elle est cette fois suivit d'un long baisé. Sa bouche s'entrouvre et et sa langue demande accès à la mienne, ce que j'autorise immédiatement. Le baisé s'accélère. Kev passe une main dans le bas de mon dos et l'autre sur le haut, il m'attire contre lui, qui est collé contre la porte. Je passe les miennes derrière sa nuque. Nous sommes interrompu quand quelqu'un cherche à entrer dans les toilette. Nous nous lâchons et nous nous décalons vers les lavabos. 

La personne entre, nous regarde mais ne semble pas reconnaître mon ami. C'est une vielle dame, donc ça ne me choque pas tellement. Mais celle-ci étouffe un petit rire en entrant dans un WC.  Je comprends immédiatement pourquoi en voyant la trace de rouge à lèvre sur la bouche de Kévin. Je ne peux m'empêcher de rire aussi en m'apercevant. Il se regarde dans un miroir et   essuie la trace instantanément. 

- Anna, Pourquoi?

- C'est la lois du coeur.

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Je m'excuse une fois de plu pour le retard, mais j'étais en vacances et sans wifi. Normalement il ne restera que un chapitre après celui-ci plus l'épilogue, ou peut être même que l'épilogue. Cela dépendra de mon inspiration.

Bisous bisous.