Je me trouvais là, grain de poussière dans l'immensité du paysage, à observer les nuages blancs qui cachaient l'azure voûte. Ceux-ci semblaient former un dôme qui s'ouvrit peu à peu pour laisser apparaître l'étoile la plus majestueuse que l'Homme n'ai jamais connue. Sa lumière inondait petit à petit mon visage puis tout mon corps, mon être entier, jusqu'au plus profond de mon petit coeur si meurtri et si sombre. Premier astre a transcender le noyau de mon âme depuis la nuit des temps, je savais qu'un jour viendrait où il arrêterait d'illuminer la nuit qui se logeait en moi.
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Libération de l'âme
PoesíaRecueil de mes différents textes, tristes, joyeux, psychédéliques, etc...