Vitesse supérieure

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Marc Bonsaï : Alors Pierre comment a tu trouvé ta première mission ? Qui est aussi ma première.

Pierre Canus : C'était classe. On va réduire à néant l'ennemi.

Éric rentra et s'assit à table.

Éric : Bien joué les gars ont prend du terrain. Ils sont affolés et sont en alerte. On va se faire discret maintenant parce qu'ils vont tenter de se venger. Je vois que vous formez une bonne équipe tout les deux. Que diriez vous de former votre binôme pour toujours et toi Marc tu seras son supérieur.

Marc Bonsaï : Je ne veux pas être son supérieur, il est aussi performant que moi.

Éric : Tu fais comme tu veux mais maintenant tu est sergent, je n'ai jamais vu quelqu'un monter en grade aussi vite.

Marc Bonsaï : Eh bien je vous remercie.

Ils sortirent du réfectoire et ils retournèrent au secteur 10 pour la prochaine mission.

Marc Bonsaï : Regarde, sur celle là on doit prendre le contrôle d'une base importante. À deux c'est faisable, on doit juste être discret.

Pierre Canus : Je te suis.

Ils montèrent sur la moto et foncèrent dans les égouts, ils étaient déjà armés. Ils prirent la direction de la base et prirent la douche de décontamination. Ils montèrent l'échelle et marchèrent dans la rue.

Marc Bonsaï : C'est la forteresse là bas, mais elle est protégée de tout les côtés. On va devoir s'inventer un statut d'étranger. J'ai un plan, on parle mal la langue et je suis un vizir et toi mon bras droit et nous voulons parler affaire.

Pierre Canus : C'est une super idée.

Ils s'approchèrent de l'entrée et ils parlèrent à un garde.

Marc Bonsaï : Bonchur, j'ai suis invité par monsieur le commandant pour parlater affairesses. Puisse entrerre ?

Garde : Qui êtes vous ?

Marc Bonsaï : J'ai suis le vizir d'ougouloumara et j'ai suis avec ma brasse droit.

Garde : Bien, entrez.

Ils entrèrent et montèrent l'escalier et ils frappèrent à la porte. Le commandant venait ouvrir et ils entrèrent.

Marc Bonsaï : Bonchur, parlater affairasses ?

Commandant : Désolé, je ne comprends pas.

Marc Bonsaï : Approchar vu.

Le commandant s'approcha et Marc en profita pour lui planter son couteau et Pierre fit de même.

Marc Bonsaï : Bon, maintenant on fait comme si de rien n'était et on appelle chaque chaque personne importante une par une pour les tuer.

Marc se changea et prit le téléphone et regarda dans le répertoire. Il appela le 1er ministre de l'État ennemie. Il entra et Pierre le tua. Ont suivi le président, les généraux, les commandants, les dirigeants les plus haut placés.

Marc Bonsaï :Je crois que c'est bon, toutes les personnes importantes sont mortes. J'appelle la base pour une destruction totale de l'ennemi.

Marc appela pour donner le feu vert et ils partirent de la base, ils remontèrent sur la moto et repartir. Ils rentrèrent dans leur base et une fois dans les couloirs tout le monde les regardaient. Marc entra dans sa chambre et trouva un papier sur son bureau, ils devaient allez dans le bureau d'Éric. Ils coururent jusqu'au bureau et ils entrèrent.

Éric : Il faut qu'on parle.

L'agent SpécialOù les histoires vivent. Découvrez maintenant