Chapitre 4

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[ PDV Dean ]

Je me gara devant le motel pourris qu'on c'était encore dégoté et entra en furie dans notre chambre.

 - Ils la pourchassent !! criai-je en entrant.

Sam était sur son ordi encore en train de geeker comme l'intello qui l'est. Quand il me vis entrée avec cette énergie, il ferma son ordi et se concentra sur moi.

- Tu peux être plus clair ? me propose Sam.

Je m'approcha du frigo et sortis une bouteille de bière, rien de tel comme boisson dans ce monde si vous voulez mon avis. Sam observait tout mes faits et gestes, sans était presque gênant.

- En allant cherché Riley..., commençai-je à expliqué.

- Que tu as brièvement oublié, me coupa Sam.

- Je l'ai pas oublié....., je l'ai laissé..... travailler, repris-je en voyant Sam désespéré. Bref je disais, en allant cherché Riley, que j'ai laissé travailler, soulignai-je. J'ai vu ces merdes de démons qui la suivait. 

- D'accord, donc en claire tu pense que Riley est la raison de ce qui ce trame ici ? me demande Sammy.

- Je sais pas, dis-je en m'asseyant sur le bords de ce lit au draps délavés. C'est une supposition. 

- Mais pourquoi ? ce demande Sam à voix haute.

- Je suis pas devin je te signale.

- Je te rassure, on l'avait déjà tous remarqué, fis remarqué Sam en se concentrant de nouveau sur l'ordinateur qui lui servait de copine.

- Très drôle Sammy, dis-je en me relevant pour me prendre un douche et pour la même occasion, jeter ma bière vide.

- Et tu l'as retrouvé où ?

- Dans une rue à 10 minutes d'ici.

- Je te jure que si on était pas frangin, je t'insulterai de tout les noms pour le comportement de merde que tu as envers les femmes, plaisanta Sam.

- Tu l'as déjà fait, rappelai-je en partant aussi tôt vers la douche.

*****

- Tu fais quoi ? demandai-je à Sam toujours planté devant son ordi.

- Et bien si jamais Riley est la cause de la venue des démons alors autant faire des recherches sur elle, s'expliqua Sam.

- Et alors tu as trouvé quoi ?

- Il semblerait que ça famille aurait été massacré quand elle était plus jeune, ça a fais le tour de plusieurs villes.

- Tu m'étonne, dis-je en m'asseyant à côté de lui en prenant le chaise d'en face.

- Ensuite elle a été placé en famille d'accueil puisque la seule famille qui lui restait été ces grands-parents qui était en maison de retraite et puis sa tante était en voyage d'affaire pour plusieurs mois, continue t'il.

- Ça a pas du être facile, glissai-je. Ils disent qui à tué ça famille ?

- Et bien, d'après les aveux de Riley, se serait son père qui les a tués avant de se suicidé devant ces yeux.

- Étrange, tu trouve pas ? dis-je en regardant Sam qui pensait exactement à la même chose que moi. 
Je me leva et m'étala sur mon lit. Sam arrêta enfin de bidouiller sa machine et s'approcha de son lit à son tour. Je me met assis sur le bord du lit tout en enlevant mes chaussures.

- On s'y mettra demain, t'as vu ta tête ? On dirait que tu vient de revenir d'entre les morts, plaisantai-je.

- Tu es pas mieux je te rappelle.

- C'est pas faux.

Je me leva et me déshabilla en gardant juste mon boxer. Puis je me coucha, laissant ma fatigue me submerger.

8h00, voilà ce que mon réveil affichait ce matin. Ça faisait longtemps que je n'avait pas aussi longtemps dormi. En revanche Sam n'était plus là. Mais où était il ?

D'un coup, je vis Sam courir depuis la fenêtre. La porte de la chambre s'ouvra, laissant entré Sammy, trempé de sueur dans des vêtements de sport gris.

- Tu t'amuse à imité Lance Armstrong ?, plaisantai-je.

- Il faisait du vélo, répond t'il en s'approchant de la salle de bain.

- Ouais bein, c'est la même chose.

- C'est ce que tu dit.

Il referma la porte de la salle de bain derrière lui et quelques secondes après, j'entendis l'eau de la douche coulée à flot. Je me motiva pour me lever du lit et commença à m'habiller. J'optai aujourd'hui pour un jeans avec un tee-shirt noir et une chemise bleue foncée.

Vu que Sam n'était pas dans les parages, j'en profita pour regardé un des films que j'adore et que Sam déteste bien évidemment. Il y a des fois où je me demande si Sammy était bien mon frère. Non mais sans blague, il est l'intello et moi le crétin, lui le sage et moi la brute. Mais bon Sam est mon frangin et je continuerai a le protégé jusqu'à ce que je meurs.

- Oh non putain t'es pas sérieux ! me crie Sam en voyant que j'utilisais son ordinateur.

- Chutttt ! soufflai-je. Tu vas me faire loupé un des meilleurs moments du film !

- Ouais c'est ça, encore une scène de cul tu veux dire, dit il en s'approchant de l'ordinateur pour le refermé aussitôt.

- Hé... ! m'énervai-je.

- C'est pour le bien de tout le monde, je t'assure, ricane Sam.

- Pfff..., soupirai-je. Coincé.

Pour sa part, Sam ce contenta de rigoler pour répondre à ma remarque. J'entendis un téléphone sonner, et il me fallut quelques secondes pour comprendre que c'était le mien. Le numéro qui s'affichait m'était inconnu. Je décrocha et remarqua tout de suite une respiration anormale au bout du fil.

- Allo ? me demande une voix qui me paraissait familière. 

- Vous êtes qui ?

- Dean ? redemande t'elle.

Ça voix me paraissait vraiment familière, comme si je l'avais entendu il y a pas si longtemps que ça. J'essaie désespérément de mettre un visage à cette voix tandis que Sam me questionnais de regards. Et là, son visage me revient comme un éclaire.

- Riley ?

- Oui.... J'ai..... besoin de toi, dit elle à voix basse comme si elle chuchotais.

- Où es tu ?

- Je.... Je sais pas... Ils m'ont kidnappées....Dean.... je t'en pris viens vite, me supplie t'elle. Ils ont .... des yeux... noir, je crois, je sais pas, il fait trop sombre.

Putain de merde, j'avais raison. Sam c'était mis à côté de moi et j'avais mis le son en haut-parleur pour qu'il puisse entendre. Mais quand Riley prononça avoir vue des yeux noir, nos regards se croisa, savant très bien à quoi nous allons faire face encore une fois, des démons.

- Calme toi, essayai-je de la détendre. Qu'es-ce que tu vois autour de toi ?

- On dirait.... une grange, explique t'elle un peu paniquée.

Mais les cris de douleurs de Riley résonna dans toute le chambre puis notre conversation fut coupé brusquement. La laissant dans des tortures les plus insupportables.




Aimer en EnferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant