Brent ( terminé )

Chapitre 27

Bip, bip, bip, bip,...

Oh non, pas l'hôpital..

Léna : " aiiiiie " dis-je en mettant ma main gauche sur mon front.

... : " Léna tu nous entend ? "

... : " Lénaaaaa ouvre tes yeux putain. "

Léna : " Il y en a encore un qui gueule dans mes oreilles, je lui casse la figure. "

... : " Elle a pas perdue son caractère au moin, c'est déjà sa. "

Peu à peu j'essaye d'ouvrir mais yeux mais il y a beaucoup trop de lumière dans la pièce.

Léna : " Maman, je t'ai entendue. Et ferme les rideaux s'il te plais. "

Elle ne me fais pas prier et ferme les rideaux. Je sens que il fais déjà plus sombre, donc j'ouvre mes yeux tout doucement.

Maman : " ma fille, ohh mon dieux. J'ai cru te perdre. " Dit-elle en me sautant presque dessus.

Léna : " c'est bon maman, je suis vivante. " Dis-je entre ses sanglots. " pleurs pas maman, je vais bien. "

Je me décide vivement a tourner la tête vers ma droite ou se trouve....Brent !

Je me dégage de Ma mère et saute dans les bras de Brent.

Léna : " Breeennnt. Tu m'as tellement manqué. "

Il me sert contre lui mais et rajoute plus amoureusement que jamais.

Brent : " Tu m'as tellement manquer..Tu peux pas savoir comment tu m'as fais peur..Pendant 3 mois, tu m'as fais voir de toutes les couleurs.. "

3 mois ? Pourquoi 3 mois ?

Pdv Brent.

Sa faisais exactement 3 mois et 2 jours que Léna ma, comment dire ?

Repousser ?

Expulser de chez elle ?

Ou un truc du genre.. Vous allez surement me demander pourquoi et comment je me retrouve dans ces bras après 3 mois.

Flash – back.

Léna ma vraiment saouler.

Comment ose t'elle m'obliger a sortir de chez elle et 2 minutes après elle revient en me disant désoler et de ne pas partir.

Sur le moment, j'étais vraiment énervé donc je me suis décider de partir sur le cou des nerfs.

Mais en margeant dans son quartier, réfléchissant a ce qui venait de ce passer, je dois être la pour elle, malgré ces sauts d'humeurs. Sa doit être tellement dure pour elle d'avoir perdue la mémoire..je retrousse chemin et me dirige vers chez elle.

J'étais a présent à 10 mètre de chez elle. Au loin, j'aperçois un agent de police toquer à leur porte.

Je m'arrête alors un peu avant de son portail et j'écoute difficilement leur conversation.

J'entend quelques mots, père, securité, cercueil.

Je comprend vite que le policier est venu juste pour avertir que M. Gort est en sécurité maintenant.

Je savais pas qu'on venait avertir sa en personne, bizzare.

Le cercueil est dans un cimetière pas loin de la ville. La mère de Léna n'a pas voulu qu'il sois enterrer à Cannes même.