Chapitre 45

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Je tiens à vous préciser que Ce chapitre est l'avant dernier avant le tome 2

Pdv Brent

Tranquille sur le canapé de mon deuxième chez moi, alias la maison de Léna, regardant un match de football.

Je suis aussi sur les réseau sociaux, je regarde les magnifiques photos de l'amour de ma vie.

Elle est à peine partie depuis 1h30, qu'elle me manque déjà.

Je deviens trop dépendant d'elle c'est fou.

Je ne survivrai pas si elle me quitterai, jamais.

Mais putain qu'est-ce-que je l'aime cette gonzesse, un truc de malade.

Comme un gosse de 6 ans qui vient de recevoir une glace au chocolat, je souris.

Soudain, la porte d'entrée s'ouvrit.

Léna ne peux déjà être rentré, c'est trop tôt mais alors qui est-ce ?

Je regarde par dessus mon épaules et je remarque que ce n'est que la mère de ma copine.

Brent : " Bonjour Katherine. "

Katherine : " Prend tes clefs de voitures, on va à l'hôpital. "

Soudain, mon sourire s'effaça. A l'hôpital ? Faire quoi ?

Brent : " Pourquoi faire ? " Dis-je en la regardant. Mais tout de suite j'ai vu qu'elle pleure.

Katherine : " Léna. "

Brent : " Oh non, tous sauf ça. "

Katherine : " Je suis désolé. "

Brent : " NON NON NON PAS ELLE NON. "

Enervé, je balance tous ce qui se trouve dans mon chemin : téléphone, table basse, cousin, vase, lampe.

Katherine : " Elle est pas morte, mais elle ne tiendra plus très longtemps, on doit allé l'aider Brent. Garde ton calme. "

Brent : " GARDER MON CALME ? MAIS VOUS VOUS RENDEZ COMPTE DE CE QUE VOUS DITES ?JE NE PEUX PAS GARDER MON CALME SACHANT QUE LA FEMME DE MA VIE EST ENTRE LA VIE ET LA MORT PUTAIN "

La mère de Léna me regarde avec les gros yeux, et merde. Il faut vraiment que j'apprenne à gérer ma colère.

Brent : " Désoler Katherine, je...je...non pas elle Katherine...pas Léna. "

Sans m'en rendre compte, je me retrouve dans les bras de la maman de ma copine en train de chialer, comme un bébé.

Brent : " Comment vous faites pour pas craqué Katherine ? "

Katherine  : " Oh mon petit, tu ne sais pas depuis combien de temps je suis là dehors entrain de pleuré, il faut croire en Léna, elle est forte et nous devons être la pour elle. "

Brent : " Elle est forte et nous devons être là pour elle, Elle est forte et nous devons être là pour elle... " Récapitule-je dans ma tête.

Katherine : " on y va, je conduis. "

***

Katherine et moi venons tout juste d'arriver à l'hôpital. Il est blindé ce qui n'arrange pas du tout la chose.

Je me dirige, sans attendre, vers l'accueil.

Quand j'y suis, je m'intercale entre les personnes et attrape une vieille infirmière par le bras.

Brent ( terminé )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant