FIN PARTIE II - Chapitre 8. Dissolution de la communauté

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Les orques avançais vite. Legolas et Elri, avec leurs ouïe fine, entendaient des bruits provenant de la forêt. Quant à Aragorn et Boromir étaient méfiants. Ils passèrent 2 grandes statue, puis après quelques mètres, avant la chute d'eau, ils s'arrêtèrent. Ils quittèrent leurs barques, sauf Boromir qui était pas très bien. Ils allument un feu, certains s'asseyent autour.

« Nous traverserons le lac à la tombée de la nuite . Nous cacherons les bateaux et continuerons à pieds. Nous atteindrons le Mordor par le Nord. Explique Aragorn.
-Alors il nous suffira simplement de trouver notre chemin à travers Emyn Muil, un labyrinthe infranchissable fait de rochers coupants comme des rasoirs. Et après cela ce sera encore mieux. Une région de marécages gluants et puants à perte de vue. Réagis Gimli.
-Oui c'est notre route. Je vous suggère de prendre repos afin de recouvrer vos forces Maîtrte Nain. »

Pippin, qui était a coter de Gimli, qui mangeait des Lambas (de la nourriture elfique) et qui écoutait leur discutions, affichait une tête assez dégouté par ce que Gimli venait de dire.

« Recouvrer mes ... Ah !Grogna Gimli. »

Legolas s'approcha d'Aragorn et lui dit:

« Nous devrions partir maintenant.
-Non. Les Orques patrouillent sur la rive Est, il vaut mieux attendre que l'obscurité nous cache.
-Ce n'est pas la rive Est qui m'inquiètes. Une ombre et une menace grandissent dans mon esprit. Quelque chose approche, je le sens. Réplique Legolas, avec un ton inquiet. »

Merry revient les mains chargé de bois.

« On n'a pas besoin de recouvrer nos forces, nous les Nains. N'oubliez pas ça jeunes Hobbits !Murmure Gimli.
-Ou est Frodon ? Demanda Merry. »

Tous regardèrent les alentours, jusqu'à que Aragorn regarde la couchette de Boromir.

///

Frodon monte vers des ruines, se promenant et obervant celle-ci. Quand Boromir arriva avec des bois dans les mains.

« Aucun de nous ne doit se promener seul. Vous moins que les autres. Tant de choses dépendent de vous. Frodon ? Dit Boromir. »

Il marqua une pose, soufflant comme essouflé.

« Je sais pourquoi vous recherchez la solitude. Vous souffrez, je le vois jour après jour. Etes-vous sûr de ne pas souffrir inutilement ? Laissez-moi vous aider. Il y a d'autres moyens Frodon. D'autres chemins à emprunter. Continue Boromir.
-Je sais ce que vous allez dire. Et vous parlerez sagement mais mon cœur me met en garde. Le coupe Frodon.
-En garde ? Contre quoi ? Nous avons tous peur. Mais laisser cette peur nous guider, détruirais l'espoir qu'il nous reste. Ne voyez pas que c'est folie ? Rétorque Boromir, en avancant, faisant reculer Frodon.
-Il n'y a pas d'autres moyens.
-Je ne requiert que la force de défendre mon peuple. Dit Boromir, tout en jetant le bois qu'il venait de ramasser. Si vous acceptez de me prêter l'Anneau.
-Non ! »

Boromir avance de plus en plus, Frodon recule en même temps qu'il avance par peur.

« Pourquoi reculez-vous ? Je ne suis pas un voleur.  S'exclame Boromir.
-Vous n'êtes pas vous-même.
-Quelles chance croyez-vous donc avoir ? Ils vous trouveront. Ils prendront l'Anneau. et vous les supplierez de vous achever sans attendre. Continue-t-il. »

Frodon commença à partir, mais Boromir continue à s'énerver de plus en plus.

« Pauvre fou ! L'Anneau n'est à vous que par un malheureux hasard. Il devrait être à moi. Donnez-le moi ! Donnez-le moi ! Donnez-le moi ! »

[Pause] Une Quête MortelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant