Tikki

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Le véritable soucis avec la Cour, c'est qu'elle n'est qu'un théâtre sous la coupelle du Roi Soleil. Toujours ces indrigues qui occupaient ceux qui étaient les puissants d'une époque Révolue. Maintenant, Sa Majesté avait racornit la bravour d'antan de ces hommes en les engraissant, et en les couvrant d'un pouvoir factice pour les garder à sa merci. Mais nous étions loin des considerations d'une jeune femme de la cour. Charlotte avait assez de cette prison doré dans laquel elle restait enfermée. Elle en avait soupé, comme disait Marie, la cuisinière. Charlotte détestait la cour et ses intrigues. En plus, étant en passe de devenir une belle jeune femme, elle les intrigues prenaient une place de plus en plus importante malgrès elle. Ces singeries de macaque couvert de bijoux l'exaspéraient au plus au point. Les visage couverts d'une couche trop épaisse de far, les perruques trop poudrées, les sourires trop forcés et les courbettes trop basses la faisait rêver d'autres horizons. Des horizons franc, comme dans cette pièce de Monsieur Molière, un comédien favoris du roi. Elle se sentait Alceste dans ce monde de mensonges et d'apparences.

Heureusement, elle avait quelques amis l'accueillant pendant ses envies de solitude. Marie, la cuisinière, s'étaient entiché dès la naissance de Charlotte de son air polisson et de ses remarques franches et direct. Avec l'âge, Marie lui avait apris le tact et surtout la subtilité. Pouvoir critiquer ouvertement quelqu'un prenant ça pour un compliment valaient bien de subir les sévices de la cour.

Mais aujourd'hui, elle allait enfin sortir hors des murs qui la retenait prisonière. Marie lui avait degoté de vieux vêtements, et les gardes de services devant la porte des cuisines étaient prévenues. Elle avait enfilé la robe en laine de Marie, qu'elle avait soi-disant portée, mais laa vérité était qu'elle l'avait tricoté pour l'occasion. Charlotte lui avait interdit, mais la cuisinière refusait que son petit ange porte une vieille loque. Charlotte s'étaient en plus faite une cape de vieux draps, et avec quelques sous en poche, partaient pour la grande aventure. Elle avait pour consigne de rentrer avant le couché du soleil, pour n'inquieter personne. Elle passa la petite porte, senti la brise sur son visage, adressa un dernier signe à son amie et s'engoufra dans Paris.

Elle était étonné par la vie grouillante autour du palais. Les gens étaient dans la rue, vendaient à la tire, promenant leurs cochons... Elle marchait en haut des rues pavés pour ne gêner le passage des voitures.

Et c'est alors qu'elle le vit. C'étaient un vieille homme, habillé de soie noire, brodés de motifs orientaux. Il avais les traits tirées par les ans, si bien qu'o avait peine à l'imaginer jeune. Le vieil homme s'approcha de Charlotte, lui tendit sa main ouverte et dit :
"Auriez-vous une piécette pour un pauvre malheureux? Un seigneur comme vous..."
Elle s'arretat en sortant sa bourse. "Comment...
- Je sais bien des choses, Charlotte, mais continu ton chemin."
Tandis qu'elle lui donnait quelques pièces, le vieil homme lui fourra un objet octogonal dans la main. Puis il continua son chemin comme di rien ne s'était passé. Charlotte abregea sa visite, rentrant au palais plutôt que prévu. Marie fut éttonnée de la voir arriver si tôt, mais voyant le visage determiné de Charlotte, elle en conclus que tout c'était bien passé. Elle écouteraient son périple plus tard.

Charlotte traversa le palais en trombe. Elle rejoint sa chambre, et sortit l'objet de sa bourse. C'étaient une boîte octogonale, noire avec un mandala rouge sur le dessus. Elle renfermait une paire de boucles d'oreilles rouge à pois noirs. Elles les saisis, les adimrant quelques instant. Elles étaient magnifiques. Elles les enfila à la place des boucles pendante habituel.

Elle s'admira dans la glasse.
"Bonjour!"
Charlotte poussa un grand cris, laissant échapper le miroire. Elle se prépara au fracas de verre brisé, mais rien ne vient. Seul une voix fluette se fit entendre : "Aide moi! C'est trop lourd pour moi!"
Charlotte se saisit du miroire. Elle le tournat entre ses mains pour trouver l'origine du bruit.
"Qui me parle?
- Là, ici, en bas! Continua la petite voix.
Charlotte se baissa, et vit une étrange créature rouge et noire, avec une grosse tête ronde affublé de grands yeux qui la regardait avec insistance.
"Salut!
- Euh... Salut?
- Mon nom est Tikki et je suis un Qwami.
- Un quoi?
- Un Qwami! Je suis un esprit chargé de t'aider à combattre le mal dans Paris!
- Combattrecle mal dans Paris? Mais je n'y suis jamais allé!
- Mais le maître t'as choisis pour être Ladybug. Ce que tu as à savoir, c'est quand disant "Transforme-moi" tu devient Ladybug, et armé de ton yo-yo , tu combats le crime pour défendre la veuve et l'orphelin. Et tu peux faire apparaître un objet utile en  utilisabt ton Lady Charm. Mais attention! Tu as cinq minutes avant de te détransformer! Donc fait bien attention.
- Et donc je suis une sorte de super chevalière qui se bat avec un disque accroché à une ficelle?
- Oui, dans un sens c'est ça.
- Alors Tikki, transforme-moi!
À ces mots, Tikki fut aspirée dans les boucles d'oreille. Un loup apparu sur son visage, et sa robe de laine fit place à un chemisier rouge, une jupe à pois, et un collant noir. Elle sortit les bottes de garde qu'on lui avait offerte, ouvrit la fenêtre et sortit d'un bond sur les toits de Paris.

Miraculous : 300 ans en arrièreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant