Miraculous : 300 ans en arrière

Le Cheval sanguin

Les toits glissant de Paris étaient un vraie terrain de jeu pour le Papillon. Antoine était incapable de garder son equilibre sur les tuiles pentus, mais sa broche lui permettait ces exentricités. Par exempe de glisser sur la pente d'une maison pour prendre son élan et sauter quelques toits plus loins. Cavalier sans peur et sans cheval, il s'arretat, distingant quelque maison plus loin une silouette rouge s'agrippant aux cheminés. Essayer de le rattraper était impossible. La suivre était bien plus simple, quoique quand même un certain challenge. Heuresement, la silouette s'arreta, le Papillon pu s'en approcher.
-Euh... Salut?
-Ahhh! L'inconue chuta de son perchoire, mais grâce à son étrane grapin, pu s'accrocher et remonter, plutôt que s'ecraser quelques metres plus bas.
- Bonjour! Qui êtes vous? Elle parlait avec un ton aristocratique caractérisrique d'une grande richesse, et sa peau très claire trahissait sa protection du soleil.
- Je suis le Papillon, mais tu peux m'appeller...
- On garde nos identités secrètes Enchanté je suis Ladybug!

- Oui enchanté aussi... Que fait donc une jeune femme de votre condition au-dessus de la nuit à une heure si tardive?

- Je combats le crime, et defant le juste et l'oprimé! Dit-elle fièrement, en gonflant la poitrine et un sourire en coin.

- Quel projet... L'ironie était descelable même par un sourd tant les mots était crachés avec moquerie. Vous comptez detruire la monarchie?

- Non! Pourquoi ferais-je ça?

- Car il impose le sel, le pain, les bêtes et la vie au paysans. Il pille leurs ressource pour vicre fastueusement dabs un palais d'or et de diamant, entouré de terre et de maladie.

- Le portrait que tu depeinds est bien sombre mon ami! Une troisième voix se mêla à la discussion : "Paris, quoique peu reluisante dans certains quartier, resplendit dans d'autre! Tout ce luxe, ce faste, ce coût de la vie, cela n'est-il pas magnifique? Mais trêve de bavardage. Je suis Chat Noir. J'espere faire de grandes choses avec vous.

- Comment..?

- Deux individus perché sur les toits et habillé pour le cabarval, laissez moi vous dire qu'il ne m'a pas fallu bien longtemps pour retrouver mes pairs.

[Apparté]

Il existe une regle dans les fictions qui dit que si les personnages principaux se rencontrent pour la première fois, alors les astres se mettent en branle pour fournir une situation à resoudre à l'equipe fraichement formée. Le problème étant que ce phénomène est devenus redondant, voire cliché. Une deuxiène règle interdit à l'auteur de prendre par au récit. Je vais donc me plier à la première, tout en insultant la seconde en faisant des alusion à une relation implicant un acte spécifique avec sa maternel.

[Fin de l'aparté]

Les joueurs de cartes sont des gens que j'admirerai toujours: ils peuvent vous mentir sabs ciler, tout en vous lançant un regard qui vous fera perdre vous moyen. Mais les bons joueurs sont des gens malheuresement aussi peu fréquentable qu'intelligent et cultivés. De plus, ces gens fréquentent en générale des tripots clandestin caché au sous-sol des tavernes mal famés. Tripots qui peuvent être détruit par la garde royal, pour limiter les activités clandestine. Or, dans la garde, on avait affecté à cette mission le pire garde que Paris abritait en son sein. Grands comme un cheval, fort comme un taureau, patient comme un vautour et rusé comme un goupil, il montrait autant de ferveur que de cruauté dans sa mission ; si bien qu'on l'appelait la Bête. Plus personne ne connaissait son vraie nom, et même ses superieurs l'appelaient la Bête. Il était arrivé un jour de grand froid, se targant d'être le plus fort de tout les hommes. Le roi avait demandé à ses suivants et à ses gardes de sortir de la salle du trône. Personne ne sait ce qu'il s'est passé, mais la Bête est ressorti en ayant juré fidelité au Roi Soleil.

Le tripot du Cheval Sanguin était réputé pour être celui rassemblant les meilleurs joueurs, mais aussi celui où gagner ne signifiait pas déceder au détour d'une ruelle. Et c'est ici-même que la Bête a choisi de frapper.