Lundi 11 mai 2015

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Pour une fois, c'était la meilleure journée de toute ma vie. À la plage, j'étais couché sur le sable les yeux fermés afin de profiter de la chaleur du soleil sans perdre la vue. Soudain, j'ai senti de l'ombre sur moi. J'ai ouvert un œil pour voir ce qui provoquai ça, et en un coup je les ai ouverts grand comme des soucoupes et je me suis assis le plus vite possible plus rouge que si j'avais eu un coup de soleil (j'en avais déjà un, d'ailleurs) car je me suis aperçu que si qui faisait de l'ombre, c'était la fille de l'autre jour, dans un magnifique bikini. Cette fois, elle ne semblait pas m'en vouloir, elle souriait même. Un sourire à tomber par terre. Ce que j'ai fait en essayant de me relever, tellement j'étais ébloui. Elle a commencé à rire, un rire doux et envoutant.

- Bonjour, me dit-elle d'une voix douce.

-Euh, bonjour, ai-je répondu en essayant de cacher ma gêne.

-Je voulais me faire pardonner, je n'ai pas été très gentille la dernière fois. Je propose que l'on reprenne tout à zéro, moi c'est Atalée.

-Fab...Fabrice...

-C'est très joli.

Nous avons commencé à discuter et j'avais l'espérance de pouvoir peut-être l'embrasser. Mais un homme est sorti de nulle part et a commencé à se diriger vers nous, tout en me regardant agressivement.

-Atalée, mon amour, qu'est-ce que tu fais avec lui ?

Bon, bah je crois que pour l'embrasser, c'est foutu. Surtout que je voyais que à côté j'étais minable. Cheveux noirs, yeux gris, abdos, le rêve de toutes les filles.

-Ne t'inquiète pas, a-t-elle répondu, c'est un copain, (elle s'est tournée vers moi) Fabrice, je te présente mon petit copain, Kris.

Celui-ci grogna quelque chose, pris Atalée par les épaules et essaya de partir avec elle, mais elle résista. Il l'empoigna solidement, elle me glissa quelque chose dans la main, et elle me cria en partant avec lui :

« On se revoit plus tard !!! »

Je lui ai fait un petit signe timide et j'ai regardé ce qu'elle m'avait donné. C'était son numéro de téléphone. Là, je suis en train d'écrire dans ce journal sur mon lit, de composer son numéro tout en regardant le papier où elle l'avait inscrit (et après on dit que les garçons ne savent pas faire deux choses en même temps). Bon je vais l'appeler. Si j'arrive à appuyer sur le bouton « appeler » et que mes parents ne rentrent pas dans ma chambre.

Un monde complètement dague!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant