D’Harry à Ali.
Tu m’en voudras pas j’espère mais j’ai dû partir.
D’Ali à Harry.
Tu ne pouvais pas me faire plus plaisir.
D’Harry à Ali.
-_- tu m’exaspères. Bref si t’as besoin de quelque chose appelle moi, si tu le fais pas ça ira mal pour toi.
D’Ali à Harry.
A moins que tu sois devin, ce qui de toute évidence n’est pas le cas, tu n’as aucun moyen de savoir si j’ai besoin de quelque chose donc en conclusion tu ne pourras rien me faire si je ne t’appelle pas.
D’Harry à Ali.
Tu te souviens quand ce matin avant que tu te rendormes je t’ai dis que t’aller m’avoir sur ton dos ? Je voulais pas que ça se passe comme ça mais tu ne me laisses pas le choix, prépares toi c’est tout ce que j’ai à te dire.
Je me rends compte que je joue un peu trop avec le feu, j’ai besoin d’aide mais j’ai aussi besoin de liberté sauf que là pour la liberté je sens que c’est mort. Alors que j’étais en train de m’habiller j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir, ce que ne pouvait être que Zoé, enfin normalement ça aurait dû.
-Ali ? me cria-t-il.
-Dans la chambre au fond, dis-je.
-Il est treize heures et t’es toujours pas prête ?
-Harry a dû te faire le topo de cette nuit non ?
-Pas vraiment, il m’a juste dit de venir de voir c’est tout.
-Et toi tu fais tout ce qu’il te dit ?
-J’ai bien vu comment il était hier soir, je suppose qu’il a une bonne raison de m’envoyer chez toi.
-Un conseil pour la prochaine fois Zayn, ne te précipite pas, je sens que je vais en baver avec lui.
-Ah ça je ne vais pas te contredire, bon aller balance ce que t’as fais.
-Pour que tu me fasses la morale à ton tour ? Non merci Harry a été très clair cette nuit.
-C’est comme tu voudras mais je ne suis pas là pour te juger, j’ai moi-même fais de grosses erreurs par le passé.
-Mais tu t’es relevé. Tu m’attends cinq minutes je vais finir de me préparer et je te paye un café, appelle Perrie pour qu’elle vienne aussi.
Je me suis préparée en vitesse et on est sorti, dans le couloir on a croisé Perrie qui s’est précipitée dans mes bras.
-Tu sais que je vais bien n’est-ce pas ? Demandai-je.
-Oui je sais mais j’ai le droit de te prendre dans les bras non ?
-Mouais, bon on va le prendre ce café ?
J’avais l’impression d’être une enfant accompagnée de ses parents tellement Zayn et Perrie s’inquiétaient pour moi. On a pris notre café et Zayn nous a laissé puisqu’on avait décidé d’aller acheter nos tenues pour le Nouvel An.
-Ali je crois que ton téléphone sonne, me dit Perrie.
Effectivement mon téléphone avait sonné, deux appels en absence et trois messages non lus de la même personne.
