Chapitre 18

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Chapitre 18:

Ledit vendredi matin arriva, je me réveilla avant lui. Ah qu'il était beau, plongé dans son sommeil il avait presque l'air d'un bon gars. Je l'savais bien qu'il était criminel, quoique je ne savais pas ce qu'il se passais durant leurs missions, mais c'était mon homme. Le mien. Mien. Sans m'en rendre compte je m'étais répeté ces deux mots quelques fois, dans ma tête, comme pour en etre assurée...

- Tu me mattes! fit-il en ouvrant son premier oeil.

- Du tout, je regardais et pensais à ce que j'allai bien pouvoir faire de toi une fois que je t'aurai tué, répondis-je ironiquement.

- Oh, je suis déçu de l'attendre, moi je t'aimais un peu...

- Juste un peu? Répliquais-je de manière sèche.

- Oui, juste un peu... Me dit-il avec un beau sourire, charmeur même.

Il me regardais avec ses beaux yeux bleus, il étaient si mystérieux en même temps -tout comme lui. Soudain, il bougea son bras droit pour venir me chercher malgré la courte distance entre nous deux, dans le lit du Club House.

- Mais c'est quoi ces tatouages, darling? Me questionna-t-il.

- Pourquoi je t'en parlerais?Fis-je, avec un air de défi.

Lui, avait plutot un air amusé, "Parce-que t'es la mienne, je veux savoir."

- Celui-ci, j'expliquais en pointant mon epée sur le bras droit, est signe de résistance, de force psychologique et mentale. Lui, en pointant du doigt l'oeil ailé sur mon épaule complèment, symbolise que je vois tout, que je suis au aguets. Celui-la dis-je en pointant une citation de James Hetfield -le chanteur de Metallica-, sur mon avant bras gauche, ce n'est qu'une phrase que je trouvais inspirante et révélatrice sur la vie: "Voyez grand et osez échouer". Le crane sur mon épaule gauche, personne le saura...

- Appart moi. Me repondit-il, directement. A-t-elle souffert? Je voulais le savoir. Absolument. C'est la mienne, elle doit être heureuse. Je dois la s'avoir heureuse.

Dans la chambre du repaire, le mur de la porte ainsi que le couloir menant à celle-ci étaient blancs. Vickie, Kristen et Ashley les avaient peinturés quand André "Millow" était devenu président, puisqu"il avait profité, par l'occasion même, de renover le quartier général. La fameuse table ou était gravé, minutieusement, le lion emblêmatique de l'entreprise illégale. Alors que les trois autres murs de la chambre étaient rouge, un rouge bourgogne, la décoration, quant a elle, était inspirée du siècle dernier: meubles en bois massif, brun foncé intense, avec des poignées de couleur or. Plusieurs articles à l'éffigie du Club, notament des posters, ornaient les murs de la chambre. C'était chaleureux, ça l'inspirait la famille. La Familia pouvait venir quand elle le voulait, ce qui explique qu'il a toujours eu de la vie dans cette pièce.

Dans le couloir, avant l'escalier en collimasson, se trouvait plusieurs cadres avec des photos. Ils etaient depareilles du a leurs differentes date d'affichage. Depuis le debut de Wild Bikers, tout le membres, "jeunes" ou "vieux", y figuraient. Plusieurs portes etaient presentes, il y avait plusieurs pieces, en-haut. Une devait ne pas etre connue par autres que les membres du Club, passes ou futurs. Il etait donc interdit d'y aller ou meme seulement de savoir ce qu'il avait a l'interieur.

En-bas, il y avait plein de table de billard, communement appellees "table de pool", un bar ou reposaient, tranquilement, les nombreuse bouteilles d'alcool fort. Des tables rondes etaient egalement presentes.

Wild Bikers Tome 1 (Par Laurie Charest)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant