Wild Bikers Tome 1 (Par Laurie Charest)

Chapitre 34

Chapitre 34:

À leur arrivée au Club House, les membres étaient déjà à la Table. C'était grave, plus qu'une mort, s'ils n'avaient pas attendu Riley...

- Riley, grouilles-toi à aller au conseil si tu ne veux pas te faire arracher un oeil! Lui dit Ashley.

Au pas de course il entra dans la pièce, alla à sa place:

- Mais dit donc, il y a le feu? Demanda Upton.

- Non, juste la régulière de Millow, répondit Thomson qui vit Ashley dans le bar alias La Cuisine.

- L'alarme a sonnée a cause dune mort. Une femme, Dakota, a été tuée dans un chapitre au Nord. C'était les répercussions de notre ré-aquisition de Spencer, c'est clair. Nous allons y aller, nous par... Commenca le dirigeant du chapitre, André.

- C'était horrible là-bas, ils m'ont amené dans une cave, humide et froide. J'aurai perdu mes doigts si cette jeune femme ne serait pas venue pour me donner cette couverture... Malheureusement, elle était pleine de sang, mais je n'avais pas le choix de la prendre. Plus tard, des gars sont venu m'arracher les vêtements du corps. Jai cru que j'allai être violé mais ils se sont contenté de brûler mes vêtements, devant moi. Ça m'a procuré un peu de chaleur, quoiqu'éphémere. Je n'ai pas dormi... C'est comprenable avec la fête en-haut. Quelqu'un est venu me chercher, m'a donné des vêtements propres...

Tous étaient au bout de leur chaise et attendaient la suite.

- Il m'a fait signe de monter dans l'escalier, ce que j'ai immédiatement fait. Rendu en-haut on m'a forcé à avaler des comprimés de je-ne-sais-quoi, que j'ai dû avaler avec de l'alcool fort. Ensuite, ils m'ont désignés une place, dans un fauteuil de cuir juste devant la scène ou dansait plusieurs femmes noires. Avec un sourire, l'homme me pointa, du menton, deux hommes qui parlaient au boss du Club. Celui-ci hocha la tête avant de les accompagner derrière un rideau.

Flahback de cette soirée.

- Tu veux y aller? Me demanda l'homme qui avait pointé les autres.

- Non.

- Tu dois le faire, pour être dans le gang, lui avait-il ordonné.

- J'aime mon gang. Que je répondit, rageusement.

- Tu a du cran, jeune homme, mais je t'y amènes et avec les drogues que tu as ingérées tu ne dormiras pas de la nuit...

Avec son sourire malicieux, il me répugnait. Il me pris par le bras, de force. J'avais beau me débattre, avec mes sens engourdis je ne pu avoir le dessus. Il tira le rideau et la vision me dégoûta, aussitôt.