7. ✔️

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- Mais qu'est-ce qu'il te prend ? Dis-je à Harry.
- Qu'est-ce que t'as ? T'aurais préféré te faire exploser le cul ?
- Ben... Pourquoi pas ? Rigolais-je.

Il leva les yeux au ciel et actionna le moteur.

- Dans tout les cas t'as rien à dire. Dis-je au bout de cinq minutes de blanc.
-Tu vas la fermer ta gueule ou pas ? S'agaça Harry.

Je soupira et me tu pour éviter une embrouille, je décida que j'allais plutôt jouer avec lui et ses cauchemars ce soir.

*

Il est 4heures de matin, et Harry n'a encore pas bouger dans son appartement, alors je me colla contre sa porte pour écouter quand soudain il ouvra brusquement celle-ci et je manque de perdre mon équilibre.

- Non mais t'es cinglé c'est quoi ton problème à toi ? Jura Harry.
- Je voulais m'assurer que bébé ne fasse pas de cauchemars et que tu ne viennes pas te frotter à moi. Me moquais-je.

J'eu a peine le temps de rire à ma bêtise qu'Harry m'avait déjà mit une baffe.
Je lui en recolla. Il me prit par le cou pendant que je tirais sur ses longs cheveux. Il me mit un coup de poing et je crois bien que la marque de ses bagues étaient ancrés en moi.
Une fois qu'Harry et moi étions pleins de sang, nous stoppons notre bagarre inutile.

Harry me lança un pistolet, puis les cléfs de sa voiture.

- Il m'faut du fric. Dit-il en explication à mes regards interrogateurs.

Je soupira et enfila ma cagoule.
Je me mis au volant de la belle BMW d'Harry, alors qu'il attachait ses cheveux en chignon avant d'enfiler sa cagoule.
Arrivés dans un supermarché pas très loin d'où nous habitons, nous reprenons vite notre rituel.
Je sortis d'abord pour tirer sur les caméras de sécurité et fit dégager le caissiers et quelques personnes qui étaient là avant de reprendre la route de nuit.

Harry arriva après et pris tout l'argent dans les caisses.

Je pris un cadis et le fit rouler jusqu'à lui. Il me regarda et se mit dedans. Il m'a fallu quelques secondes de réflexion. Puis, je me dirigea vers lui et le poussa sur le parking.

Il levait les bras, et je riais aux éclats pendant qu'il tirait vers le haut avec son pistolet tout en jetant quelques billets.
Je pris ensuite un autre cadis et nous courons puis nous nous jetons dedans, nous faisons la course pour se laisser tomber dans l'herbe comme des gamins après.

Une fois que nous étions totalement écrasés comme des merdes dans l'herbe. Il y a eu quelques minutes de blanc avant qu'Harry me tende une cigarette. Je la pris volontiers et tira une grosse latte.
Nous étions couchés l'un à côté de l'autre et regardions le ciel.

- Harry?
- Quoi putain ? Dit-il d'un air exaspéré.
- Raconte moi tes cauchemars. Forçais-je
- Va chier Louis.

Il se retourna vers moi en me dévisageant.

- Voilà pourquoi je te hais. Tu me soules. Reprena Harry.
- Je te déteste autant que toi j'en ai juste râl le cul que MONSIEUR fasse le bonhomme alors qu'en vrai c'est un putain de gros fragile qui vient pleurer pour avoir des câlins. M'énervais-je
- C'est toi qui embrasse des mecs et c'est moi le fragile ? Ben bien Louis. Applaudit Harry.

Je me redressa et il fit de même.

- Pourquoi on le tient encore alors notre putain de pacte ? Demandais-je.
- J'en sais rien. Se recoiffa Harry.

On finit par partir quand on entendit les sirènes des policiers puis le trajet se fit dans le silence.

Je claqua la porte de mon appartement. Je me déshabilla tout en marchant vers ma salle de bain.
J'ouvra mon armoire à pharmacie et me désinfecta ma main qui était pleine de sang.

Puis, je me fis couler un bain, je m'installa dedans et resta une bonne demie heure. En sortant, je mis simplement une serviette autour de la taille et alla dans ma cuisine me faire cuire des pâtes. Quand tout un coup, Harry ouvra brusquement ma porte d'entrée.

Il me regarda juste avant de s'effondrer au sol, je couru vers lui en manquant de prendre ma serviette.
Je lui hurlais des choses mais il ne répondait pas. Je pris alors son pouls, et heureusement il respirait toujours.
Je souffla de soulagement.

Je pris un élan et le gifla de toute mes forces sur la joue droite, puis la joue gauche. Il ouvra les yeux et se releva brutalement.
Je le calma puis vu que son bras était rempli de petites piqûres, et certaines étaient en sang.
Je l'aida à se diriger jusqu'à ma salle de bain.

- Harry? Dis-je tout en lui mettant un bandage.

Il leva la tête et je vis que c'était yeux verts étaient entourés de rouge et que ses pupilles étaient beaucoup plus grosse que d'habitude.

- Harry tu te piques ?
- Non.
- Prend moi pour un con.
- Oui. Dit-il alors qu'il planait à deux cent million.

Je souffla.

- Rentre chez toi merde. M'énervais-je. Je ne suis pas un assistant social.

Partners in crime -LSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant