"Atarashīdesu" voilà le nom des mondes protéger par les murs. Ce mot signifiait "nouveau" en japonais. Chacun de ces mondes isolés étaient les vestiges de la terre d'avant et portaient chacun un nom défini. "Shin sekai" (le nouveau monde) pour l'Amérique , "Hahanaru chikyū" (la terre mère) pour l'Afrique, "Kyū sekai" (le vieux monde) pour l'Europe et "Kyojin kuni" (la terre des géants) pour l'Asie. Et chacun avait sa capitale qui était le pays ou la ville le plus au centre. Elles contrairement aux mondes avaient le même nom : "Sekai no kokoro" ( le coeur du monde ). Ce sekai no kokoro regroupait toutes les institutions et tout les bâtiments importants ou réservé aux plus aisés. Autour de lui ce trouvait les "Tei sekai no ie" (les maisons du bas monde). L'égalité n'étant pas dans la nature de l'homme, il existait des différences au sein même du "bas monde". Les cinq principales factions étaient par ordre du plus important : les "Kabe no senshi" (les guerriers du mur) qui était un peu l'armée de chaque monde, les "Kage no senshi" (les guerriers de l'ombre) étaient en quelques sortes les agents spéciaux au service de l'armée, les "Hokō-sha-fū" (les marcheurs du vent) destiné pour la plupart à devenir messager (ou Kage no senshi) c'est de cette de cette classe qu'était issu Jonathan et sa famille, le "Kōdō-ha"( le peuple des actifs) était la quatrième factions. Elle regroupait tous les autres corps de métiers de la classe ouvrière (qui était minoritaire à cause des machines) aux métiers administratifs. Et enfin la cinquième faction était celle des "Jikan no tanken-ka" (les explorateurs du temps) appelé plus tard "roadeurs" c'est dans cette faction artificielle que se regroupait à partir de 17 ans ceux qui voulaient découvrir l'extérieur. Cette faction n'était pas très appréciée des hauts dirigeants des mondes car ses membres reniaient leur appartenance aux autres classes de la société et passaient leur temps à faire la fête et à parcourir la terre au lieu de participer aux activités de chaque monde. Ils étaient des renégats et des paresseux aux yeux de classes élevées.
