Lundi, environ sept heures du matin. Les rayons de soleil filtre déjà à travers la poussière et les débris de bâtiments. Jonathan déterminé comme toujours à explorer l'extérieur est déjà près à souffler dix-septième bougie. "17 ans enfin !" Se dit il. Depuis l'âge de 10 ans, âge auquel l'idée du monde extérieur vint lui caresser l'esprit, il attend avec impatience l'âge auquel il aura le droit de rejoindre la faction des "roadeurs". Et se jour vient d'arriver. Sur son lit une joie indescriptible dans le coeur, il se retourne vers la fenêtre de sa chambre et d'un regard à la fois sûr et plein de doute et d'espoir il admire le mur qui le sépare de la liberté, de la découverte et d'un destin semé d'embûches. Sa mère l'appel, après lui avoir répondu, il se précipite avec enthousiasme en bas des escaliers.
-"Oui ma..." il s'interrompit en voyant un des Kage no senshi discuter avec sa mère.
-"Jonathan viens dire bonjour" lui dit sa mère le sourire jusqu'aux oreilles.
-"Euh ... bonjour" bafouille t-il
-"Bonjour Jonathan" lui répond le Kage no senshi. "Je m'appelle..." il s'interrompt quelques secondes puis reprend. "Appelle moi Orochi sensei, je serai ton formateur au sein des guerriers de l'ombre."
-"Les Kage no senshi?"
-"Ouuiiii!!!!" répond sa mère avec un enthousiasme à peine camouflé." ton père et moi nous sommes mis d'accord avant son départ qu'à tes 17 ans tu rejoindrai les guerriers de l'ombre"
-"j'étais pas sensé choisir moi même ?"
-"Oui mais nous savions que choisirais les services secrets. C'est le rêve de tous les enfants de ton âge"
-"Pas le mien !!! Comment vous avez osé choisir à ma place ???" en même temps qu'il exprime sa colère et son désaccord les larmes lui montent aux yeux.
-"Jonathan...!!!!"
À peine sa mère prononce son nom qu'il rentre à toute vitesse dans sa chambre. Sa mère se retourne vers Orochi sensei tente de le gifler. Geste qui est tout de suite évité. "Je te l'avais dit George. Ton fils veux devenir roadeur et pas finir comme nous dans les services secret." Orochi retira le masque qui lui recouvrait la moitié inférieure du visage et sa capuche noire. Il adresse un regard sévère à sa femme puis sort de la pièce avant de disparaître après avoir remit son masque.
