On commença à y aller lorsque quelque chose me vint en tête.
- Liam, Niall et Zayn doivent aussi être libre.
- Ce sont nos meilleurs agents Louis.
- Dans ce cas la, je ne vous donnerais rien. Vous pouvez me tuer ici même.
Simon sembla réfléchir un instant avant de souffler lentement.
- Très bien. Ils seront libre.
Je me retourna et continua à avancer. Comment tout a pu déraper en si peu de temps ? Ma famille est en vie. Je vais les revoir, les prendre dans mes bras, leur dire que tout est finit. Et Harry ? M'en voudra t-il ? Bien sûr que oui. A cause de moi il a du subir des trucks horrible. Il était inconscient tout à l'heure, et en faites je ne veut même pas imaginer tout ce que Simon a pu lui faire. Il ne semblait pas avoir de sang sur lui, mais Simon est très doué pour dissimuler les blessures, et c'est bien ce qui me fais peur. Je me déteste pour ça. Si je n'étais pas rentré dans sa vie, il n'aurait pas eu à vivre tout ça. Alors c'est à cause de moi. Mais je ne vais pas le laisser mourir, je vais le sauver, ensuite m'excuser et le laisser vivre la vie qu'il aurait du vivre. Je ne vais pas essayer de le retenir. Je l'aime et c'est pour ça qu'il devrait vivre loin de moi. J'aurais mal, mais j'aurais ma famille pour m'aider. Ils doivent avoir changés... Qu'est ce qu'ils ont fait ces dernières années ? Est-ce qu'ils mangeaient correctement ? Ils pouvaient bien dormir ? Est-ce que c'est mieux que l'horreur que je m'imagine ? Oui, je cherche clairement à me dire que ce n'est pas comme dans ma tête. Mais en regardant vers Simon, je me rappela qu'il est sans pitié. Alors non, ça ne devait pas être mieux que dans ma tête. Ce connard ma berner tout ce temps. Il ma fais croire qu'il me protégeais alors que c'était lui qui m'était ma vie en danger. C'est lui qui ma enlever tout ce que j'avais. Mais maintenant, je vais récupérer tout ça. Je vais me faire pardonner de toutes les fautes que j'ai commis en rendant la vie plus agréable pour toute ma famille et... Harry... Nan, je dois le laisser partir. Je ne le mérite pas. Lui mérite une belle vie, et je ne veux pas cas chaque fois qu'il me voit, il ce dise ''Ce mec a torturer des gens et il ma mentis.''. Pourtant, le simple faite de le voir partir m'effraie. J'ai juste à me rappeler de ces trois dernier jours. Je n'étais plus que l'ombre de moi même. Je n'étais plus moi parce qu'il n'était plus la. Et pourquoi est-ce que ça changerais maintenant ? Je serais mal. Mais je n'ai pas le choix... encore.
Je suis entre deux gardes du corps et Simon est en face de moi dans la limousine. Et plus je le regarde, plus j'ai envie de le tuer. Je le hais. Lui est plonger dans son téléphone. Comme une gamine de seize ans lorsqu'elle parle avec son mec. Simon ? Avoir une femme ? Laissez moi rire ! Il ne connaît même pas le mot ''Amour'' ou même ''Amitié''. Non lui ce serais plus ''Argent'', ''pouvoir'', ''méchanceté'' et plein d'autres mais je préfère m'arrêter pensant que tout les mots péjoratifs de la terre dans toute les langues qui existe n'est pas suffisants pour une personne comme lui. Les deux mammouths à côté de moi eux semble totalement à côté de la plaque. Ils regardent pas la fenêtre et semble presque dormir. Mais j'ai juste à bouger le petit doigt pour qu'il me regarde comme si j'allais sortir une arme. Alors apparemment il reste tout de même assez concentrés.
On arriva à mon appart Simon descendit suivis des deux gorilles puis moi. J'ouvris la porte d'en bas, et croisa Eleanor dans le hall qui semblait nous attendre.
- Louis je... Commença-t-elle.
- La ferme. Sérieux, moi qui pensait que tu étais une fille gentille. Tu me dégoûte.
Elle ne rajouta rien. Pourquoi est-ce que je devrais être gentil avec elle ? Si elle n'avait rien dit, on ne serait pas dans cette situation. Je passa devant elle en la poussant légèrement avec mon épaule. Et monta les escaliers deux par deux. Rien que pour que les gorilles face pareil pour ne pas me perdre et soit épuisés une fois en haut. Mais déception, il respire aussi normalement que moi une fois devant ma porte. Par contre, Simon lui ne ce fait pas chier. Il monte tout doucement. Quel con ! J'ouvris ma porte, avança et partit prendre le coffre qui est dans un tiroir. Et regarda Simon.