Indesiré: Peter Pan

Chapitre 12

Nous avions descendu la falaise pour rejoindre une petite plage équipée d'un petit bateau en bois qui n'avait pas du servir depuis un bon moment si vous voulez mon avis. Sur la plage, un peut plus loin on pouvait encore voir quelques pierres former un cercle avec des bouts de bois calcinés par les flammes et derrière, une petite cage en bambous. Peter m'observait et m'attendait près de l'embarcation, près à partir. Je me dirige vers l'eau qui brillait grâce aux dernières lueurs du soleil. Je m'avance vers la direction des petites vagues qui éclates contre le sable, mes pieds s'enfonçant dans les grains refroidis par la nuit qui arrivera dans quelques minutes. A quelques mètres de l'eau je m'arrête et m'assois sur le sable et contemple l'océan dans toute son immensité.

Je ne pense plus à rien; je ne pense plus à Peter et à son histoire qui tient à peine debout, je ne pense plus à comment partir d'ici. Je regarde le ciel avec les quelques nuages qui forment de grandes trainées blanche et orangés grâce au soleil, comme les nuages que j'avais vus dans l'avion au couché du soleil quelques mois avant de me retrouver ici.

L'avion, un des seul endroit où je me s'entais bien. Le seul où le rêve le plus fou d'un millards de personnes peut être réaliser sans vraiment l'être, où l'impossible devient possible. Là où tout est sous nos yeux. Le lieu où je me sentais libre, maître de ma vie, en sécurité, à l'abris de tout les problèmes qu'il peut y avoir.

Je ferme les yeux quelques minutes avec ces beaux souvenirs au fin fond de ma mémoire, je prends le temps de sentir le vent doux et léger ainsi que les quelques derniers rayons de soleil qui caressent encore ma peau légèrement bronzée.

J'inspire; expire; oublie; écoute le vent siffler à mon oreille et recommence. J'inspire; expire; oublie...

Je veux tout oublier, je veux refaire ma vie ici car, désormais, c'est ici que je me sens le mieux. C'est ici que ma vie à débuté et je veux que se soit ici qu'elle se termine. Je n'ai pas pris le temps de penser à ça avant mais, malgré mes pleurs, mes peurs et mes doutes, il y a de la joie. Comme au moment ou Peter et moi se sont baigner ou encore quand il m'a appris - enfin essayer de m'apprendre car s'a n'a pas était une vrai réussite - le tire à l'arc. Et je ne me suis jamais senti aussi bien avec un quelqu'un. Non vous ne rêvez pas, j'ai bien dis que je me s'entais bien quand j'étais avec Peter, le grand brun aux yeux verts. Vous pensez que je suis...? Non. c'est pas possible, enfin bref.

Je me ses bien ici, sur cette ile avec Peter et les garçons perdus.

Je me sens bien au Pays Imaginaire.

Après quelques minutes à répéter ces quelques étapes simples mais pourtant si compliquées à faire depuis que je suis ici, un bras musclé vient me prendre mes épaules et rapprocher ma tête d'un torse chaud.

J'entends le coeur de Peter battre a un rythme régulier et apaisant alors que le miens bat plus fort à chaque secondes depuis qu'il s'est approché de moi.

"C'est jolie, n'est-ce pas?" Dis Peter en coupant le bruit répétitive des petites vagues bleus et blanches. Je ne répond pourtant pas à sa question qui se veut gentille. Je laisse les vagues et le vent reprendre leur musique, je suis tellement bien. Je voudrais que ce moment ne s'arrête jamais.

"Peter, je peux rester ici au Pays Imaginaire, avec toi?" J'avais dis cette phrase sans le regarder mais je suis sure que si j'avais vu son visage j'aurais vus de la confusion. Et peut être dans ses yeux verts de la fierté, de la joie? Il me semble que sont coeur bat plus vite? je dois serrement halluciner.

"Bien sur ma belle, tu sais qu'il y aura toujours une place pour toi sur cette ile." Ses mots m'étaient tellement réconfortant...

Je me colle un peux plus à lui, et il fit de même. Nous restons comme ça, sur la plage devant ce couché de soleil plus que splendide pendant de longues minutes qui passèrent à une vitesse folle. Le soleil ayant presque disparu dans l'océan, je me décolle de Peter et me relève, lui faisant de même. Nous nous dirigeons tout deux vers le petit bateau, embarquons et voguons jusqu'au rocher en forme de crâne.

De près il est beaucoup plus impressionnant que depuis le haut de la falaise où nous nous trouvions un peut plus tôt. Je dirais même effrayant, à croire que c'est un vrai. L'eau était plutôt calme se soir et la lune formait un joli croissant blanc, reflétant sa couleur nacre sur l'eau devenu bleu marine. Avant que nous partions de la plage, Peter avait allumé ,grâce à ses pouvoirs, des torches illuminant ainsi le deux trous destinés normalement aux yeux dans le crâne, ce qui m'effrayait encore plus. Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons dans le rocher osseux. Nous montons des escaliers et nous retrouvons dans une grande pièce constitué d'un sablier géant en roche - presque vide - où coule un sable doré, semblable à des petites étoiles. Peter prépare je ne sais quoi, quand il m'appelle. Je m'approche de lui, fixe son regard d'un éternel vert quelques secondes. Il interrompt ma contemplation:

"Tu es prête?" J'hoche la tête doucement et il reprend. "Bien, alors je vais t'expliquer ce qui va se passer, pour commencer je vais faire couler quelques gouttes de ton sang dans le sablier, ce qui va te relier au Pays Imaginaire." Il s'interrompt un instant et regard si j'ai bien compris. Je lui fais un signe de la tête pour qu'il continu. "Ensuite, ton corps va se manifester."

Un temp.

"C'est à dire se manifester?"

"C'est à dire que tes pouvoirs vont pouvoir... s'exprimer si tu veux. Il sont cachés en toi depuis si longtemps qu'ils on besoin de se défouler. Une fois que ce sera fini il y trois possibilités. La première tu vas bien et dans ce cas on verra ce qu'on ferra. Deux tu pers connaissance pendant un temps qui peut aller de quelques secondes comme plusieurs jours ou plus et la dernière tu y perds la vie." Je le regarde avec de gros yeux

"En gros, une fois que je serais devenue folle parce que mes pouvoirs vont vouloir se dégourdir les jambes, soit je vais bien et je saute partout ou soit je meurs. C'est sa?" C'est rassurant dit donc!

"Il y a très peu de chance pour que troisième option arrive mais il faut que tu saches qu'elle existe et l'eau que j'ai mis dans ton corps est là pour te protéger de ça justement" Il essaie de me rassurer mais sa ne marche pas vraiment. D'habitude sa voix arrive toujours à m'apaiser en quelques seconde.

"Okay, vas y. Je te fais confiance alors fait le." Je suis folle de lui faire confiance, surtout après ce qu'il vient de me dire! Il attrape délicatement ma main droite et prends une dague noire qui était posé sur la roche qui formait une petite table. Il s'approche du sablier, tout en tenant de sa grande main d'une poigne d'acier ma petite main frêle et tremblante. Il l'a lâche quelques instants pour faire je ne sais quoi avec cette énorme sablier qui doit faire trois fois sa taille donc quatre fois la mienne. Une fois terminé, il se tourne vers moi.

Je prends une grande inspiration et cherche son regard rassurant.

C'est parti.

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Bonsoir/Bonjour tout le monde!!!!!!

Je suis désolée de ne pas avoir posté pendant très très très très longtemps mais je n'ai malheureusement pas trouvé trop de temps pour écrire (à mon plus grand désespoir...) Donc voilà enfin un chapitre avec toutes mes excuses pour ce retard Je ne sais pas non plus dans combien de temps je pourrais poster le prochain mais je vous promet que se sera avant la rentrée. Alors Bonnes Vacances, Joyeux Halloween pour ceux qui le fête et n'hésitez pas à voter ou à commenter sa fait toujours plaisir!!!!

Bisous tout le monde! Eva