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Après avoir manger et étais draguer par des vieux de 50 ans. Nous sortons enfin du restaurant, je regarde la SDF et sa jeune fille. Je prend dans mon sac et prend dans ma main la moitié des billets qui me reste dedans. Je les tend à la SDF qui les prend doucement en me disant "que dieu vous bénisse".

Je lui souris, et rejoins les filles qui me regardaient.

-" T'es sur que ca va ?
- Bien sur pourquoi ?
- Tu as donner presque la moitié de ton salaire a cette dame !
- Tu préfères que je reprenne mon argent et que je prenne le tien ?
- Nan nan c'est bon fais se que tu veux.
- Et je te rappelle que je gagne comme toi, 1,000,000 d'euro par mois et que mon appartement et payée par le travail.
- C'est bon j'ai compris biquette.
- Bon on va au travail ?
- Et si on allait faire du shopping  pour une fois ?
- Désolée mais Yasuko et moi ont travailler.
- Pas grave je viens avec toi Selia.
- A plus les filles."

Yasuko et Meko partent direction l'immeuble de notre travaille pendant que nous ont va au centre commercial.

Quelques heures plus tard.

-" Pis comment vous étiez en mode drague.
- Arrête de me le rappeller il était moche !
- Mouais pas faux.
- Bon je rentre chez moi.
- Kassandre il y a quelqu'un pour toi à  l'accueille.
- J'arrive."

Pourquoi moi ? A chaque fois il faut dans ma journée quelques choses tourne mal !
Je me lève et me dirige à l'accueil.

En étant à dix mètre de l'accueil, je reconnais l'homme avec qui j'ai passé la nuit.

Je m'avance vers lui et m'arrête devant lui.

-" Vous voudriez ?
- Discuter avec toi.
- Viens."

Nous sortons devant l'immeuble.

-" Je suis désolée d'être parti la dernière fois.
- On n'est pas un couple après tout.
- J'aimerais que tu sois mon plan cul.
- De quoi ?"

J'avais dis ceci en criant que des passant ont regarder dans ma direction.

-" S'il te plaît.
- Donne moi des bonnes raisons.
- Je sais que tu as aimé."

J'ai arrêter de respirer quelques secondes et le regarde.

-" Tu ma fais mal.
- Tu as aimé.
- Je ne veux pas.
- Je passe chez toi se soir, tu as intérêt à ouvrir."

Il me fait un bisous sur le front et part comme rien ne s'était passer.

MONSTEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant