Les Angoisses de Stiles

Chapitre 14

Boooonjouuuur ! Bonsoiiir ! (Tout dépend de quand vous lisez ceci =P!) 

Alors, je sais que c'est de coutume chez moi, que je vous ai bien montré que niveau délais, j'étais pourrie, mais là... Entre les vacances, mon nouveau taff, ma reprise des cours. je ne savais plus où donner de la tête. Je tiens tout de même à m'excuser pour touuuuut ce temps sans rien >< ! Je vous ai laissé dans le suspense comme ça. Pardon ! 

De plus, on pourra noter une baisse d'inspiration de ma part et je pense qu'il ne reste vraiment plus beaucoup de chapitres. Deux ou trois max plus l'épilogue. 

Alors, je tiens également à dire que je ne suis pas très contente de ce chapitre. Vous comprendrez pourquoi je pense. 

Donc je vous laisse ! M'excusant encore ! 

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_ Il... Y'a... Une chance pour que tu sois... Enceinte ?

Plus rien. Le vide. Le silence. La mort. Puis un rire. Stiles avait émit un petit rire nerveux entrecoupé de spasmes. Il respirait de plus en plus rapidement. Enceinte ?! Pardon ?! Il était encore en train de lui faire une petite blague ! Il n'y avait pas d'autre solution, ce n'était pas possible autrement. Il ne voyait pas comment il pouvait être enceint alors qu'il était lui-même un homme. Ce n'était pas possible. Depuis qu'il était avec Derek, il n'avait jamais utilisé de préservatif. Trop empressé par le plaisir ou pas sous la main. Mais tout de même... Il passa ses mains dans ses cheveux, les yeux bloqués et rivés sur la ceinture de Derek. Il ne bougeait plus. Il ne savait pas vraiment comment le prendre. Non, clairement. Cela ne pouvait être qu'une mauvaise blague. Oui, une mauvaise blague. Il sentit les mains de Derek contre son dos et ne le repoussa pas. Il se laissa tomber contre son épaule, le souffle court, les yeux écarquillés, cherchant l'air et les mots. Non. Une blague. Une blague. Il ne cessait de se répéter cela alors qu'au fond, il savait que son loup avait raison. Il savait que c'était la réalité. Il comprenait à présent sa « maladie ». Il n'aurait pas besoin d'aller voir de médecin. C'était tout trouver. Et dire qu'il venait d'avoir 21 ans. 21 ans et un enfant. Vous y croyez à ça ? Il tenta de reprendre sa respiration. Calmement, il se laissa tomber dans une crise de panique silencieuse. Derek continuait de lui caresser le dos pour le calmer mais rien. Il se mit alors à trembler et c'est à ce moment précis que Derek sentit que quelque chose n'allait pas. Il le serra un peu plus dans ses bras, lui susurrant des mots doux pour lui faire reprendre une respiration descente. Puis, au moment où la crise commençait à devenir plus que sérieuse, il se souvient miraculeusement d'un conseil qu'avait donné un jour Lydia pour cette situation. Il fallait le surprendre, lui couper la respiration. Et c'est ce qu'il fit en posant délicatement ses lèvres sur les siennes. Cela eu l'effet souhaité. Stiles retrouva une respiration descente. Il reprit doucement ses esprits, laissant le temps à son cœur de retrouver un battement approximativement normal.

_ Sérieusement ?! C'est quoi cette blague ?! C'est quoi ces excuses ?! Moi enceinte ? T'as pas d'autres explications de merde pour me dire que t'as envie de faire l'amour ? Et puis c'est quoi le rapport entre toi et moi faisant des choses pas catho et le fait que je sois « enceinte ? Je comprends pas franchement. Et puis, franchement, entre nous, je suis un homme, tu es un homme, c'pas possible. Après je dis ça mais j'ai peut-être mal suivi mes cours d'éducation sexuelle en quatrième. C'est quoi ce bordel ? Tu veux me faire avoir une crise cardiaque ou c'est comment là ? Tu me connais Derek, faut pas jouer avec mes nerfs, alors tu vas gentiment m'expliquer c'est quoi ce bordel et putain, maintenant !

Il avait débité tout ça d'une traite, sans vraiment prendre le temps de respirer. Non, clairement, il voulait savoir le fin mot de cette histoire. Il voulait des explications. Il regarda Derek, les yeux exorbités, le souffle toujours court. Il savait que ce pataquès était inutile et pourtant, il s'obstinait à vouloir trouver une sorte d'échappatoire. Il voulait qu'il lui dise que ce n'était qu'une connerie, qu'il était bel et bien malade et que c'était son imagination.