Chapitre 31

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Cela fait quelque heures que je tourne en rond dans le dortoir à essayer de trouver l'endroit exacte, impossible de m'en souvenir. Je m'assis sur mon lit, et pense, j'essaye de me souvenir...

*Les trois hommes discutaient ensemble, autour d'une table, le projecteur allumé qui envoie une image que un tableau blanc, celle d'une ville, d'une campagne, la carte de celle-ci est toute petite, très peu d'habitation, une forêt, et un ruisseau non loin, accompagné de champs. Je me souviens des premières lettres... Poma...*

J'ouvre les yeux et me laisse tomber en arrière, soudain je dis

Moi : Pomayrols

Je sourie et me lève, je cour en direction de l'armurerie, je voit le sergent Connor, je lui dit avec précipitation

Moi : sergent Connor ! Il faut que je te parle
Sergent Connor : vas y
Je regarde autour de nous et vit qu'il y avait plusieurs personnes, je lui dis
Moi : dans mon dortoir c'est mieux...
Sergent Connor : okay

On avance en direction du dortoir, je ne cesse de répéter tout bas, Pomayrols... Pomayrols... Pomayrols...
On arrive enfin à l'intérieur, je ferme la porte et vérifie qu'il n'y ai personne, je dis

Moi : c'est pour la mission de cette nuit
Sergent Connor : je t'écoute
Moi : le nom de la ville est Pomayrols, je m'en souviens il faut que l'on aille là-bas !
Sergent Connor : mais t'es amies ne sont pas là-bas
Moi : écouter... je peut mettre fin à tout cela mais il faut que vous m'aidiez...
sergent Connor : tu deviens folle ?
Moi : je t'en supplie...
sergent Connor : bon d'accord, mais ! Aide moi d'abord à trouver la personne qui a voler l'armurerie !
Je me mord la lèvre, et me dirige vers le coffre, je l'ouvre et lui montre le sac, je dis
Moi : c'est pour cette nuit aussi...
Sergent Connor : j'accepte de te couvrir
Moi : merci !
Je me lève et il me dit
Sergent Connor : sur le toit se trouve un hélicoptère, un Bell206, je sais le piloter, je te déposerai à Pomayrols, et je repartirai
Moi : et si il t'attrape
Sergent Connor : et bien je leurs expliquerai que je tester les compétences de l'hélicoptère
Je lui sourit et dis
Moi : espérons que tout iras pour le mieux...
Sergent Connor : oui, tache de ne pas oublier
Moi : j'en fais la promesse !
Le sergent me tend une petite oreillette et dit
Sergent Connor : on restera en contacte
Moi : merci
Je la prend et dis
Sergent Connor : je suis fière de toi, et je sais que t'es parents le sont aussi
J'esquive un sourire et dis la gorge serrée, et les larmes au yeux
Moi : tu me promets de prendre soin de ma soeur... et que... si jamais sa ce passe mal... tu lui expliquera tout... et de la protéger pour qu'elle puisse voir le monde renaître ?
Il me regarde et répond
Sergent Connor : je t'en fais la promesse
Je me met à pleurai, je me retourne, il me dit en posant sa main sur mon épaule
Sergent Connor : soldat Fanny, ressaisissez-vous !
Je le regarde et dis
Moi : je suis désoler...
Connor me sourit et rigole, je lui dit
Moi : mais c'est pas drôle !
Sergent Connor : justement !
Il s'arrête et dis
Sergent Connor : aller sèche tes larmes et repose toi, tu part tard cette nuit
Moi : oui...
je souffle, il sort de la chambre, je me retourne et regarde le coffre ouvert, mon sac à l'intérieur. J'avance vers le coffre et me penche pour attraper le sac que je pose sur le lit, j'ouvre une pochette et regarde l'arme à feu, je la charge, la sécurité est enclenché. Je la remet dans mon sac, et le range. Je décide de m'allonger un instant.
Je me réveille vers environ dix-neuf heures, pour manger et retourne dans le dortoir, je marche en rond, Jérôme arrive et me dit

Jérôme : qu'est ce que tu as ?
Je lève la tête et dis
Moi : rien pourquoi ?
Jérôme : je ne sais pas tu as l'air à hésitante ?
Moi : non
Il se dirige vers mon coffre et pose sa main pour l'ouvrir, je saute dessus et m'assis dessus pour pas qu'il l'ouvre, il me dit
Jérôme : tu caches des choses ?
Moi : non mais pourquoi tu fouiller dedans ?
Jérôme : je voulais juste m'assurer que les affaires voler dans l'armurerie n'était pas dedans
Moi : pourquoi tu veux que sa soit dedans ?
Jérôme : comme sa, j'ai des ordres à respecter
Moi : mouais...
Il recule, je reste assise, il me dit
Jérôme : je sais que ce n'est pas le moment... mais je voulais t'en parler
Moi : de ?
Il s'assoit à coter de moi, et prend ma main, il la pose dans sa nuque, je sens la puce que l'on m'avais injecter, il me dit
Jérôme : tu sens ?
Moi : oui...
Jérôme : j'ai découvert une chose que je n'aurai jamais dû savoir... et malheureusement on m'a attrapée et... ils m'ont injecter cette puce...
je souffle et dis en retirant ma main et en regardant le sol
Moi : j'ai eu la même chose...
Jérôme : tu peux m'en parler tu sais...
Moi : j'hésite...
Jérôme : tu te sentiras mieux après...
je ferme les yeux et lui dis
Moi : j'ai surpris une conversation entre deux colonels et... monsieur Peter...
Jérôme : ils parlaient de quoi ?
Moi : que le virus n'étais pas ce... ce que l'on penser...
Jérôme : c'est à dire ?
Moi : en deux milles vingt-trois... la NASA a repérer un signale satellite, tu t'en souviens ?
Jérôme : oui en janviers ?
Moi : oui et plus aucune nouvelle depuis, sauf en Mai, où l'objet c'est posée à Pomayrols... et c'est de là que à commencer l'Epidémie...
Jérôme : tu penses que sa a un lien avec ce que l'on vit maintenant ?
Moi : j'en suis sûre
Jérôme : pourquoi tu n'en as pas parlée avant ?
Moi : j'avais peur... 
Jérôme : ne t'inquiète pas, je vais demandé au colonel d'envoyer des troupes là-bas
Je me lève et lui dit
Moi : surtout pas !
Jérôme : pourquoi ? Si on élimine la menace on reprend notre vie normal ?
Moi : non, au contraire, on se fera tous éradiquée, ils ne sont pas encore passée à l'acte !

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