Chapitre 32

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Jérôme me regarde et dis
Jérôme : et tu comptes faire quoi ?
Moi : rien... les laisser passait à l'acte pour les éliminées plus facilement...
Jérôme : tu n'y connais rien
Moi : toi non plus...

Il se dirige vers la porte et part, étrange non ? Pourquoi il part comme sa sans rien dire d'autre ? Je décide de la suivre, il est dans le couloir principal, je le suit discrètement, soudain il se dirige vers une porte et la passe en la ferment discrètement, je cour vers celle-ci et pose ma tête contre la porte pour écouter la discussion

Jérôme : colonel, j'ai les informations que vous m'aviez demandai
Colonel : elle a enfin décider de parler ?
Jérôme : oui
Colonel : alors ! Dis moi tout mon garçon !
Jérôme : elle a surpris une conversation entre deux colonels et Monsieur Peter, comme quoi il y aurai eu un objet inconnue qui aurai était en orbite pendant quelques mois puis atterrie à Pomayrols, et elle pense que c'est ce trucs qui aurait causer l'épidémie
J'entends le colonel rire, je sens une horrible colère montait en moi, Jérôme m'a trahi, plus jamais je n'aurai confiance en lui ! Le colonel s'arrête et dis
Colonel : merci maintenait retire moi cette puce et détruit la, et je monte ton grade comme prévue

Je recule, la porte s'ouvre je vis Jérôme, je lui donne une énorme claque, et part. Il m'attrape la main et me dit

Jérôme : oh ! Qu'est ce que tu fais là !
Moi : comment as tu osais me trahir !
Il me fixe et lève les yeux au ciel, je lui dis
Moi : alors ?
Jérôme : tu ne sais pas ce que représente un grade pour moi
Moi : un grade c'est rien du tout ! Surtout que l'on va tous mourrir un jour ! On n'emporte rien au paradis ! Et toi !

Je me retourne et sert fort mes poings, je décide de partir.
Je m'installe confortablement dans mon lit, très en colère, j'essaie de redevenir calme, je prend de grande inspiration, et ferme les yeux.

Il est environ une heure et demi, je me réveille, et enfile rapidement, une combinaison que j'ai pu voler à l'armurerie, puis j'ouvre discrètement mon coffre et prend la jarretière et y bloque un revolver, et des couteaux. Je prend une arme à feu en bandoulières et regarde autour de moi, vide, personne, sauf ceux qui avait survécu a l'accident. Je prend mon sac à mon dos et avance vers la porte, je pose ma main sur la poignée et regarde ma petite soeur dormir. Je souffle et sort discrètement du dortoir en mettant la petite oreillette, je regarde qu'il n'y est personne dans le couloir, rien à signaler. Je marche doucement et appuie sur un bouton de l'oreillette pour l'allumer, je chuchote

Moi : sergent Connor... vous me recevais ?

Soudain j'entends des pas venant d'en face, je vois que quelqu'un éclair le couloir avec une lampe torche, je me cache derrière un paquet. L'homme passe devant moi, il s'éloigne, soudain j'entends dans mon oreillette

Sergent Connor : c'est bon ! Rejoint moi sur le toit !
Moi : super merci...

Je me lève et cour, derrière moi l'homme crie

Militaire : hé ! Vous !
L'homme allume les lumières et j'entends qu'il dit à son talkie-walkie
Militaire : j'ai besoin de renfort dans le couloir H25 ! Vite !

J'entends des hommes courir dans l'escalier en face de moi, je suis cernée !  Je me retourne le militaire cour vers moi, alors sans hésiter je cour vers lui, l'homme tend son bras pour m'arrêter, je me laisse glissait à terre et cour dans le couloir, Jérôme sort du dortoir, je continue ma course, la fenêtre en face et ouverte et donne sur escalier de secours, je prend mon élan et saute par cette fenêtre. Je me rattrape a la barre, je regarde en l'air et entend l'hélicoptère ce mettre en route, soudain des hommes se mettent à me tirer dessus, je monte rapidement les escaliers, une balle vient de me frôler, je m'empresse de montait. Un homme me bloque le chemin, je m'arrête et regarde derrière moi, il y a une orde de soldats, Ils cessent de tirés. Je me colle contre la barre, l'homme se met devant moi, je m'accroche à l'escalier du haut et projette l'homme contre le mur grâce à mes pieds et reprend ma course.
J'arrive enfin sur le toit, Connor me cri

Sergent Connor : Dépêche toi ! Vite !

Je cour vers lui, et saute dans l'hélicoptère qui décolle. La porte est ouverte, les tires reprennent, je me penche et attrape la poignée, une balle se loge dans le pare-brise, je tire sur la poignée et calque la portière. Je m'appuie sur le dossier, le sergent Connor me dit

Sergent Connor : bienvenue à bord ! Il est maintenant une heure quarante-huit, la température extérieur est de treize degrés Celsius
Il me regarde, je le regarde aussi et rigole, il me dit
Sergent Connor : aller, regarde derrière ton siège
Je me retourne et vit une sacoche, je la prend et la pose sur mes genoux, je vit un sac remplie de nourriture ainsi que d'un écran tenu sur un petit manche. Je le retourne et dis
Moi : c'est quoi sa ?
Sergent Connor : un radar ! Regarde sur le côté de l'écran tu as un bouton
Moi : ah oui !
J'appuie dessus et l'écran s'allume, un point vert au centre avec des cercles autours, puis des points rouges, et une carte des chemins bleus. Il me dit
Sergent Connor : le point vert c'est toi, le rouge les infectées
Soudain un point blanc apparaît, je dis
Moi : et le blanc ?
Sergent Connor : le point blanc c'est les niveaux élevés
Moi : genre niveaux 3, 4 et 5 ?
Sergent Connor : c'est sa !
Moi : a Pomayrols... il y en a ?
Sergent Connor : je ne sais pas on n'a jamais était là-bas
Moi : ah...
le vole se passe dans le plus grand calme, je voit un bois, un très long bois, le sergent me dis
Sergent Connor : on est arrivé... prend garde à toi...

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