Kerstin: Lorsque ma vie a changer.(Lemon with Dylan O' Brien)

Chapitre 9

Je suis installé derrière mon bureau à terminer le dossier Campbell lorsqu'un des quatre inconnus de ce midi entre sans frapper.

Je le dévisage avec incompréhension avant de reposer mes yeux sur le dossier sur lequel je travail, faisant comme si cette personne n'était pas la. Je peux discerner son mécontentement, peut-être même sa colère à travers un souffle. Malgré cela, je ne relève pas la tête totalement concentré sur le projet Lolita. C'est dingue le nombre de fautes que j'ai pu détecté dans se dossier.

Une main se pose sur celui-ci avant que son propriétaire se mette à rire d'une manière sur. Sa main se déplace vers ma tasse à café et avant que je ne puisse réagir, fait glisser son liquide sur la tonne de papiers que j'étais entrain de corrigé.

Je me lève d'un bond et me dirige vers l'homme qui vient de gâcher plus de deux heures de travail en le regardant droit dans les yeux. Je peux d'ailleurs sentir le sang commencer à s'injecter dans les miens. Je n'arrive plus à contrôler le moindre de mes gestes, une colère que je ne comprends pas moi même, mais qui m'oblige à m'approcher de la personne se trouvant en face moi et qui rigole sans pouvoir s'arrêter.

Je passe ma main autour de son cou, sachant pertinemment qu'il ne ferrait de moi qu'une bouché s'il le voulait et le pousse contre le mur devant lequel il se trouve.

Moi: Approche toi de moi encore une fois, ou tente encore de ruiner mon travail et je te promet de t'éclater la tête pendant ton sommeil.

Avant que je ne puisse continuer mes menaces ou attendre la moindre réponse, Dylan entre dans le bureau, un sourire ravageur sur son visage, me pose un dossier sur mon bureau qui semble être une copie de celui sur lequel je travaillais avant que ce mec ne vienne mettre mes nerfs à vif, puis fixe du regard l'intrus présent dans la pièce.

Dylan: Monsieur Milan, première avertissement.

Je peux distinguer une expression sur son visage que jamais je n'aurais cru voir... De la peur. Mr Milan sort à une vitesse folle de mon bureau et je me retourne vers mon patron que de son côté affiche de l'envie et cela sans peur d'être remarqué.

Dylan: Apporte moi les dossiers corrigés dès que tu as fini. Pas la peine de toquer.

Il disparait directement après ses paroles et je me remets immédiatement au travail. Heureusement pour moi, j'ai mis mes avancées directement sur ordinateur après chaque mot corrigé. Je n'ai donc pas besoin de recommencer.

Après une bonne vingtaine de minutes, je me trouve devant la photocopieuse à attendre que mes corrections soit imprimé et remarque que chaque employé présent ici, n'a pas envie de m'avoir dans leur cercle d'ami, ni même de collègues. Ce n'est pas que cela me touche, bien au contraire. Je ne comprends simplement pas pourquoi.

Je me dirige vers le bureau de Dylan et y entre sans frapper comme il me l'a dit plus tôt dans la journée. Il est au téléphone avec quelque qui semble parler japonais, puisque c'est dans cette langue qu'il discute. Lorsqu'il lève les yeux et qu'il remarque ma présence, il affiche un sourire ravageur et me fait signe de fermer la porte et de venir m'installer en face de lui. Je dois vous avouer qu'il est vraiment très beau dans son costume et que sa façon d'être si sur de lui me déstabilise au plus haut point.

Une fois la conversation téléphonique terminé, Dylan récupère les dossiers sur lesquels j'ai travaillé toute la journée et les ouvre, un à un pour les détailler.

Dylan: Parfait Chérie.

Il se lève et s'approche de moi, son regard plongé dans le mien, il continu son chemin jusque finir derrière moi, son souffle qui effleure mon cou me fait comprendre qu'il est penché, le visage au niveau du mien.

Dylan: Tu es vraiment très sexy, comment veux-tu que je patiente jusque ce soir? Ton chemisier transparent met très en avantage ta généreuse poitrine et ta jupe me donne l'envie de prendre tes fesses rebondit entre mes mains.

Moi: Pourrais-tu m'apprendre le japonais Dylan?

Dylan: Je complimente ton corps et toi, tu ne trouve rien d'autre à me répondre que "apprend moi le japonais"? Je l'accepte à une condition princesse.

Moi: Dis moi!

Sa main se pose sur mon épaule, mais ne reste pas immobile très longtemps puisqu'elle se dirige vers ma poitrine, prend dans celle-ci mon sein droit et commence à jouer comme il le peut avec.

Dylan: Notre jeu, tu vas accepter que l'on fasse un jeu... Lorsque j'aurais envie de ton corps, tu sera dans l'obligation de t'occuper personnellement de moi et inversement.

Moi: Qui te dis que j'ai envie de toi Dylan?

Dylan: Disons que ton regard en dit beaucoup sur tes intentions et tes pulsions.

Je me mords la lèvre instinctivement avant de retirer sa main de mon sein maintenant sorti de mon soutien-gorge ainsi que de mon chemisier, le replace et me dirige vers la porte.

Moi: J'ai encore énormément de travail patron. Nous en reparlerons ce soir.

Une fois la porte de son bureau fermé je me dirige vers ma chaise, mes mains commençant à trembler pour je ne sais quel raison.
Y gagnerais-je vraiment quelque chose à faire ce jeu? Perdrais-je ? Tant de questions tournent en boucle dans mon cerveau, j'en attrape mal à la tête.

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Twitter : Lyn_dii