COMME DIEU VOULAIT QUE LES CHOSES SE PASSENT AINSI, LA DAME M'A TENU PAR LA HANCHE, AU MOMENT QUE MA PETITE AMIE OUVRE LA PORTE. LA DAME RETIRE INSTANTANÉMENT SES MAINS:
- Je suis venue le déposer. Et toi Karen, que fais-tu dans la chambre de l'autre tôt ce matin ? Quand ton père passe la nuit chez moi, ta mère te laisse dormir où tu veux ? Compte sur moi: ton père sera informé.
- Vous lui direz quoi Mme ? C'est moi qui vous ai dit qu'il n'est pas au courant ? Et même si tel était le cas, que cherchez-vous aussi tôt ce matin les mains sur la hanche de mon petit ami ?
J'AURAIS PU INTERVENIR ET DIRE À KAREN QUE C'EST MA TANTE CHEZ QUI J'ÉTAIS ALLÉ QUI LUI A DIT DE ME DÉPOSER ET DE LUI PRENDRE QUELQUE CHOSE CHEZ MOI. MAIS TELLEMENT CE QUE J'AI VÉCU SOUS LE LIT ME HANTAIT QUE JE L'AI LAISSÉE TOURMENTER AVEC SA BELLE-FILLE. MOI JE VOULAIS MÊME PAS RESTER DEVANT LA PORTE POUR LES ÉCOUTER. JE VOUDRAIS DONC PASSER À CÔTÉ DE KAREN POUR ENTRER QUAND CETTE DERNIÈRE ME BLOQUE LA VOIE:
-Tu dois me dire où tu connais ma marâtre ou tu n'entres pas, me disait-elle.
- Attends Karen ! C'est toi qui me paies le loyer ou tu te crois être dans un film ? Pardon, pousse un peu, j'ai les maux de tête !
- Pas question ! Tu n'entres pas je dis, insistait-elle. Et puis toi aussi, s'adressait-elle à la dame: compte sur ma bonne volonté, mon père sera au courant de tout, à moins que tu le ramènes tranquillement et vous quittez ma vue, criait-t-elle.
LA DAME, DÉJÀ EFFRAYÉE, ME TIRAIT PAR LES BRAS, EN ESSAYANT DE ME CONVAINCRE : "Tu ne sais pas de quoi elle est capable. Suis-moi et quand elle sera calme, tu vas revenir". ELLE INSISTAIT TOUT COMME SI ELLE CONNAÎT MIEUX KAREN QUE MOI. JE L'AI RASSURÉE : "Rentrez Mame, il n'y aura rien. Elle sait où j'étais allé et comme vous êtes la coépouse de sa maman, elle a un peu peur sûrement de nous voir ensemble. Tout ira bien. Vous pouvez rentrer". AU FOND, J'ÉTAIS CERTAIN DE POUVOIR LUI MENTIR COMME D'HABITUDE ET DÉTOURNER SON ATTENTION. JE LA POUSSAIS DANS LA CHAMBRE DONC. ET ELLE ME RÉSISTAIT COMME ELLE NE L'AVAIT JAMAIS FAIT. JE LUI DEMANDAIS DE SE CALMER, PUIS JE VOULAIS LUI PRÉSENTER DES EXCUSES DE N'AVOIR PAS PU PASSER LA NUIT AVEC ELLE. MAIS FINALEMENT, C'EST ELLE QUI ME PRÉSENTERA DES EXCUSES: UNE FOIS AU SALON, AYANT UN BESOIN URGENT D'URINER, JE FILE TOUT DROIT VERS LA DOUCHE, ET QUI JE VOIS ? MON MEILLEUR AMI EN CALEÇON !!!
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Le piège sans fin
PrzygodoweMaxo un jeune et amoureux de Karen sa petite amie, suite à une fougueuse envie sexuelle avec la belle mère de cette dernière, ce retrouve dans une série d'événements allant de mal en pire...