Tard dans la nuit, une flamme s'éteint.
Ne laissant que du gris et une femme qui s'en vient.
Elle frappe à la porte, demandant à tout vient
Qu'enfin on lui rapporte l'enfant qui est le sien.Un homme s'enfuit, un paquet à la main
Et soudain le poursuit cette femme qui n'a plus rien.
Dans une ruelle sombre, la femme attrape enfin
L'homme qui comme une ombre, lui a volé son bien.Elle le roue de coup, il ne reste plus rien,
De l'homme qui un jour un père, quelqu'un de bien.
Et pourtant celui-ci n'avait pris que du pain
Pour nourrir sa famille, pour nourrir les siens.À présent sa famille, ses enfants ne sont rien
Car le père parti, ils mourront de faim.
Et ainsi je m'en vais, tout en sachant très bien
Qu'avec mes enfant plus jamais, je ne mangerai de pain.
Car cet homme, car ce mort, voyant celle ci qui vient
N'est autre que moi même, mort pour un vulgaire pain.
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dans le noir elle est tapie
Poesía"Quelques" petits Poèmes. Vous le remarquerez peut être, je style varie peu à peu dans les poèmes, le premier date d'il y a quatre ans.