Il avançait, silencieux, bravant le froid et la tempête
Tous ses wagons tombaient en ruine mis à part celui de tête
Il avançait et avançait depuis des mois et des années
Sans s'arrêter, même un instant, faisant toujours la même tournée.Il s'était engagé, se laissait entraîné
Dans ce ballet sans fin, tel était son destin
Sans plus aucun passager, rien à transporter.
Automatisé un matin, il ne s'arrêta plus après le lendemain.
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dans le noir elle est tapie
Poesía"Quelques" petits Poèmes. Vous le remarquerez peut être, je style varie peu à peu dans les poèmes, le premier date d'il y a quatre ans.