VII.
L'année est passée très vite, puis nous sommes arrivé au mois d'août 2015, j'ai perdu ma tante, ça a été la pire chose qui puisse m'arriver j'étais anéanti, je n'avais plus goût à rien.
Septembre 2015, je suis parti en lycée professionnel, pour refaire ma 3e, je n'avais plus aucun contact avec les personnes du collège, que ce soit les gars, Lisa, ou mes autres amies.
Je me suis fait d'autres amies, à qui j'ai confié mon secret, ils n'y croyaient pas, et ils étaient très remontés contre Léo qu'ils ne connaissaient pas.
Et avec la haine, mes amies qui me disaient qu'il fallait que je me venge, j'ai justement voulu me venger.
J'ai donc été à la sortie du lycée de Léo, avec des amis puis je l'ai frappé comme il m'avait frappé, j'ai juste eu le temps de lui donner un coup de poing qui lui à cassé l'arcade, car la gendarmerie passait au moment où je l'ai frappé.
J'ai donc expliqué pourquoi j'avais fait ça, ils m'ont embarqué et emmené au commissariat de police, où j'ai expliqué à un commissaire tout ce qu'il s'était passé avec Léo, et m'a donc conseillé de porter plainte.
Les commissaires avaient appelé mes parents, comme j'étais mineure pour venir me chercher, dans la salle d'attente il y avait la mère de Léo qui me regardait avec beaucoup de haine.
Mes parents sont venus me chercher, je leur ai donc tout expliqué mais ils avaient du mal à me croire, enfin surtout mon père.
Pour éviter, les regards d'incompréhension de mon père, je suis parti en soirée avec mon petit ami avec qui je sortais depuis le début de la rentrée de septembre. À cette soirée, j'ai beaucoup bu ce qui a fait très peur à mes amies...
Les semaines on passer, la douleur étais toujours la ... convoquer plusieurs fois au commissariat pour porter plainte et pour raconter à une dame (elle me filmais) ...
"Est ce qu'il vous a pénétré ?" "Euh... Oui"(Des questions super gênante)
"Est ce que vous le connaissiez ?"
"Oui"
"Avant le rapport à t-il eu des préliminaires ?" "Oui je crois"
"Vous avez été pas sur ?"
"Si !""L'avez-vous suc ... ?"
"Euh... Bah... Je ne sais pas, je me rappelle plus"
Plus les questions s'enchainais, plus les larme montais ...
Et résultât de cet entretien.
"Vous savez, ce n'est pas un viol vous avez dit oui"
Pour finalement, que l'affaire sois classé sans suite.
Je vis avec ça, chaque jour, j'y penses chaque jour, mais je peut rien y faire, c'est le passé, je ne peut vivre dans le passé tout ma vie.
En espérant, que mon histoire, vous aideras à en parler et surtout de ne pas laisser, trainez les choses, et de continue l'enquête même si c'est classer sans suite.
Et même si tous ça, et dure, battez-vous !
