Chapitre 14

459 36 3
                                    

( Pdv Louis )

Deux bras musclés fermement enrouler autour de ma petite taille me tire de mon sommeil, j'ouvre lentement les yeux et lorsque que je me retourne, Harry n'est qu'a quelques centimètres de moi, nos visages sont tellement proche que j'arrive à sentir son souffle sur ma peau, il est encore profondément endormi, quelques petits ronflement sortent de ses belles lèvres entrouvertes, quelques boucles brunes sont de part et d'autres de son visage et je peux clairement distinguer les deux hirondelles tatouer de chaque côté de son torse.

je pourrais passer des heures entières à l'admirer, endormi, Harry semble apaiser, il ressemble à un enfant innocent et non à un vampire assoiffé de sang

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

je pourrais passer des heures entières à l'admirer, endormi, Harry semble apaiser, il ressemble à un enfant innocent et non à un vampire assoiffé de sang.

Je me redresse sur mon coude et apporte mon autre mains à son visage afin de dégager quelques unes de ses mèches bouclé.

Ma contemplation enfin terminé, je décide de sortir du lit le plus délicatement possible pour ne pas réveiller Harry, je ne sais pas l'heure à laquelle il est rentré hier soir mais vue sa fatigue ça a dû être tard.

L'eau chaude dévale sûr chaque partie de ma peau, ça me fait un bien fou et d'un coup un tas de questions viennent envahir mon esprit, pourquoi Harry m'a t'il kidnapper ? pourquoi il ne veux plus que je retourne chez moi ? Pourquoi est-il un vampire ? Des questions aux qu'elles je n'aurais sûrement jamais aucunes réponses.

Avant de découvrir toute ces choses sur Harry je dois reconnaître qu'il me plaisait, énormément même mais tout ça à changer des que j'ai su que c'était un vampire et surtout qu'il avait tué mon meilleur ami, et quand j'y repense je me dégoûte parce que encore tout à l'heure j'étais allongé à ses côté entrain de l'admirer, de le trouver beau et innocent alors que c'est un putain de tueur. Il est mauvais, faut que je parte d'ici je ne veux pas décevoir Niall.

Une serviette autour de la taille, je cherche dans la salle de bain si il n'y aurait pas un quelconque vêtement à me mettre, j'ouvre un placard et en sort un jeans et un t-shirt beaucoup trop grand pour moi mais malheureusement je n'ai pas le choix, je m'habille donc et fait le moins de bruit possible pour sortir de la salle de bain et descendre l'escalier qui mène à la porte d'entrée.

Je pose ma mains sur la poignée en implorant les dieux qu'elle ne soit pas verrouillé, je la tourne et bingo elle n'est pas verrouillé, mes prières ont été exaucés, mais quand j'ouvre, la porte fait un horrible grincement qui résonne dans tout le château et merde.

Mon corps se fige complètement quand je sens un souffle qui s'abat sur mon oreille.

- " Ou compte tu aller comme ça ? "

- " hum, je- nul part " dis-je la voix tremblante.

Harry me retourne de façon à ce que je sois face à lui et plaque violemment mon dos contre la porte se qui me fais sortir un cri de douleur, putain ça fait mal.

- " ne me ment pas Louis et regarde moi quand je te parle ! "

Sa voix plus rauque que d'habitude et pleines de rage envoie des frisons dans l'ensemble de mon corps, Je lève la tête et quand je croise son regard mes pupilles se dilatent, je ferme aussitôt les yeux, l'aspect de son visage a complètement changé, ses yeux ont pris une teinte doré et ses canines de vampire ont fait leurs apparitions, il me fait peur.

Sans que je m'y attende Harry agrippe mon avant bras tellement fort que j'ai l'impression qu'il va s'arracher, j'essaie de sortir de son emprise mais cela reste sans succès, le vampire a définitivement plus de force que moi, je suis pratiquement sûr que demain j'aurais un horrible bleu, il me fait avancer comme si je n'étais qu'un vulgaire animal.

- " aïe, Ha-Harry lâche moi tu m'fait m-mal "
Tentait je de lui dire tandis que mes yeux commencèrent à se remplir de larmes.

Arrivée au salon Il relâche sa prise sur moi tellement brusquement que je tombe au sol,

- " Regarde Louis, PUTAIN REGARDE ! "

Je lève les yeux mais ma vue est brouillé par mes larmes, je m'essuie d'un revers de main et un hoquet de surprise s'échappe de mes lèvres, le salon est complètement dévasté, le canapé est retourner, la table base et les vases en verres sont éclater sur le sol et il ne reste plus que quelques miettes des sublime tableaux d'Harry, ont dirait qu'une tornade est passé ici,

- " qu'est-ce qu'il c'est pa-passer ? "

Ma voix sort plus tremblante que je ne l'aurais voulu.

- " c'est ta putain de faute tout ça ! Hier soir quand je suis rentré, je suis passer dans ta chambre mais tu n'y étais pas ensuite je suis aller au salon pour voir si tu ne t'étais pas endormi sur la canapé mais il n'y avait personne ! "

Je le regarde ahuris, il croyait que j'étais partie c'est pour ça qu'il a défoncer son salon ?

- " regarde dans quel état j'ai mis mon salon tout ça parce que je croyais que tu été partie ! Puis je suis aller dans ma chambre et je t'ai vu la dans mon lit parfaitement endormi tel un ange, tu ne peux savoir le soulagement et le bonheur que j'ai ressenti quand j'ai vu que tu n'étais pas partie. "

- " je- je suis désolé "

Il émet un rire froid

- " ah tu es désolé ? Et tu croit que ça va changer quelque chose au fait que tu as essayé de me fuir alors que je te l'avais interdit ? Putain Louis qu'est-ce que je dois faire pour que tu restes avec moi ? que j'te baise c'est ça ? "

Qu'il me baise ? Mais putain je ne suis pas une pute. Le sang bouillonne dans mes veines et j'explose, à ce moment là je n'ai plus peur d'Harry, je veux juste lui dire ce que je pense de lui quitte à le blesser.

- " jamais j'accepterai de baiser avec un connard tel que toi ! Tu m'entends Harry ? jamais ! Tu sais quoi, ça ne m'étonne même pas que tu soit resté seul durant tout ces siècle, t'es un putain de psychopathe et personne ne t'aimeras JAMAIS ! "

J'ai à peine le temps de reprendre mon souffle que je reçois une énorme gifle qui fait vaciller ma tête sur le côté.
Je passe ma mains sur ma joue, elle est brûlante et elle me fait atrocement mal, c'est vrai que je n'ai pas été doux dans mes paroles mais lui non plus ! Je ne méritais pas cette gifle.

- " rentre. Chez. Toi. "

Je ne prend pas la peine de répondre et cours hors du château, après une bonne demi heure de marche dans la forêt, je commence à apercevoir ma ville.

The Vampire Où les histoires vivent. Découvrez maintenant