Chapitre 1

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Pdv Harry

6 siècles plus tard soit aujourd'hui.

Plus de cinq siècles ont passé depuis cette tragédie et comme les ténèbres me l'avait promis je suis toujours éternelle grâce au sang d'humain que je bois.

Tout les trois jours, vers 23h je sors de mon château en quête d'une proie, oui une proie, à mes yeux c'est ce que les hommes sont des proies j'en trouve une, je la vide de son sang et la laisse par terre sans aucun remord, sans aucun regret.
Puis je rentre chez moi dans mon vieux chanteau au fond des bois ou le calme et la solitude règne, je peut resté cinq jours sans boire de sang.

Je hais les humains, je les hais parce qu'ils ont ceux que je n'aurais jamais c'est à dire une vie paisible, ils naissent, vivent et meurent au côté de l'être aimé, mais pas moi, non moi je me réveille le matin et j'ai toujours cet horrible manque, cette horrible solitude qui me suis depuis des siècles et malheureusement elle me suivra encore longtemps.
le pire c'est que c'est moi qui me suis fait prisonnier de cette satané vie,
Et le plus triste c'est que je me suis habitué, je me suis adapté à la solitude, si bien que je ne ressent plus rien, à présent toutes mes émotions, touts mes sentiments que j'avais réussi à gardé sont partis aux files des siècles.
Vide, voilà ce que je suis.

Je suis une machine a tué, ma vie n'a plus aucun sens sans elle, je croyais pouvoir trouvé quelqu'un à aimer, peut être même plus qu'elle c'est pour ça que j'ai demandé à avoir cette foutue vie éternelle, mais c'est peine perdu, au files des années j'ai compris que je serais seul pour l'éternité.
Aucun humain ne m'apporte le moindre désir, la moindre émotions.

Je marche dans les rues sombres de Londres, mes bottines noirs claque sur le vieux béton, je suis à la recherche d'une victime.
Je m'arrête et m'appuie contre le mûre en face d'un bars et j'attends qu'une personne suffisamment ivre sorte pour que je puisse m'abreuvé à son cou.

Deux garçons d'une vingtaine d'années en sorte, un blond et un petit châtain, le blond m'a l'aire beaucoup plus ivre que l'autre.

Je m'approche doucement des deux hommes et je fixe intensément le blond sans prêter le moindre attention à son camarade.
  - " Bo-Bonjour " dit il complètement saoul, j'étire un sourire diabolique laissant Apparaître mes crocs.
- " au revoir " répondis-je avant de planté mes crocs pointu dans la chair de ma victime.

Hiiiii j'espère que vous apprécierez cette fiction autant que j'apprécie l'écrire, Des BISOUS. M

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