500 putain de vues ! J'en perds mon latin !
Merci merci merci ! Pour vous remercier je vais faire en sorte que la nouvelle fic sorte le plus tôt possible. Je vais pour cela exercer un pitit moyen de pression sur quelqu'un (elle se reconnaîtra).
Je ne sais pas comment vous dire combien ça me fait plaisir... aucun mot ne peux l'exprimer. Donc je vais spamer le merci. Parce que ça pourra vaguement l'illustrer.
Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci.
Bon bref ça devient lourd. Du coup bonne lecture mes pikites tomates !
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Je sors du lycée et suis l'itinéraire emprunté ce matin pour arriver devant une grande maison et son petit jardin où poussent des tomates. Enfin, poussaient, maintenant il ne reste plus que des plants morts. Normal vu la saison. Bientôt l'automne. Je trouve cette période de l'année magnifique, toutes ces couleurs que j'observe toujours de longues minutes depuis la fenêtre de ma chambre.
J'ouvre la boîte aux lettres, regarde à qui celles ci sont adressées puis entre dans la maison. Je pose les quelques lettres sur la table du salon puis pars dans ma chambre, sous le toit, dans le grenier. Je ferme la trappe surplombant l'échelle qui me permet de monter et pose mon sac près de mon bureau. Celui ci est en fait une large planche de bois posée sur deux trépieds. Je m'installe sur la vieille chaise en bois simple devant ce dernier. Je sors mes affaires et me mets à faire mes maigres devoirs. C'est la rentrée, il n'y en a donc pas en très grande quantité.Je suis entrain de finir mon histoire quand j'entends la voix sèche et sévère de ma tante m'appeler.
_ Fukano ! Prépare le repas !
_ Oui tante, je descends.
J'abandonne mes révisions et descends à la cuisine. Je sors la poêle, les légumes ainsi que de la viande. Je mets une petite boîte de ravioli sur le côté. Elle me servira de repas. Je finis de préparer les courgettes à la crème et les escalopes de veau puis mets la table. 20h00. Juste à temps !
J'installe les plats sur la table et retourne dans la cuisine préparer mes pâtes. J'entends ma cousine descendre bruyamment les escaliers. Elle vient sans doutes de sa chambre, à l'étage. Les chaises sont tirées en raclant le sol dans un bruit faisant froid dans le dos. J'imagine ma tante, mon oncle et ma cousine poser leurs délicats fessiers (ouais petit délire chut) sur ces chaises. Je retourne à mes moutons, enfin mon repas.
C'est prêt. Je m'installe à ma place, dans la cuisine, seul. Je joue avec ma fourchette à bouger les pattes pour en faire de petits dessins. Je n'ai pas faim mais je me force quand même à me nourrir un minimum. Je mets le reste de mon repas dans un Tupperware que j'insère lui même dans le frigidaire. Ça devrait me servir encore trois ou quatre jours.Je débarrasse mon assiette et commence à la laver ainsi que les ustensiles de cuisine m'ayant servi aujourd'hui.
J'entends des éclats de rires dans la salle d'à côté. La voix de ma tante est passée du tout au tout. La sévérité de celle-ci s'est transformée en douceur. La sècheresse de celle-ci s'est transformée en notes mélodieuses. Soudain, la voix criarde et suraiguë de ma cousine surpasse celles de ses parents.
_ Apporte nous les desserts ! Je veux un yaourt au chocolat.
_ Un au café pour moi.
_ Et un autre à la fraise.
Je m'essuie les mains, prends les yaourts et les distribuent respectivement à ma cousine, mon oncle et ma tante. J'en profite pour débarrasser le plat presque entièrement fini. Je les ramène dans la cuisine et reprends mon activité de type vaisselle. 20h45. Ils ont fini leur repas. Ils finissent toujours leur repas à cette heure. Je retourne dans le salon débarrasser quand mon oncle m'interpelle.
_ Fukano. Viens voir ça !
Je le rejoins près du canapé et me penche pour voir ce qu'il veut me montrer. Non ! Impossible ! Pourquoi ?! J'observe mon visage fermé, flouté par le zoom de la photo. Mes oreilles et ma queue sont basse, elle a dû être prise ce matin, quand je suis arrivé.
_ Je peux savoir pourquoi tu ne les as pas caché ? Ça circule sur tous les réseaux sociaux. On ne tardera pas à être envahi de journalistes ! On ne pourra plus vivre tranquille !
Sa voix est posée, mais elle contient une immense colère. Lui même dégage une aura sombre et violente. Je sens mon estomac se retourner « ça circule sur tous les réseaux sociaux ». Et si ils revenaient ? C'est pour ça que papa est parti... c'est pour ça qu'il nous a laissé seul. Qu'il est mort. Maman me l'a dit.
_ Je... je ne peux pas les cacher. Mais, je promets de tout faire pour y remédier et d'être le plus discret possible dorénavant. Je... pourrai partir par un autre chemin avant de revenir ici pour semer ceux qui pourraient me suivre.
_ Y'a intérêt !
Je baisse la tête et retourne finir mes corvées. La phrase de mon oncle me trotte dans la tête le reste de la soirée alors que je passe l'aspirateur dans la salle.Ma tante m'appelle et je la rejoins.
_ Regarde ça.
Elle me montre une petite annonce sur internet « Cherche jeunes de 16 à 20 ans. Animateur dans un centre aéré pour enfants de 6 à 10 ans. Tous les soirs de 17h à 19h. Rémunéré. »
_ Je vais t'y inscrire, tu reviendras assez tôt pour t'occuper des tâches ménagères et du repas. Tes bénéfices nous reviendront.
_ Hein ? Mais pourquoi !?
_ Tu t'imagine tout ce que tu nous dois ? Tout ce que tu nous coûtes ?! C'est la moindre des choses !
Je fulmine. Elle a pensé à mes études ? Non bien sûr que non. Faut pas se faire d'illusion. Rhaaa bordel !
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Voilà, chapitre plutôt long. C'est la moindre des choses pour vous remercier !
Bref, je m'en retourne à mes écrits.
Bonne après-midi !
Keur.
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La force de mes sentiments {ABANDONÉE}
FanficFukano est un lycéen ordinaire... ou presque... ou... pas du tout en fait. Toujours rejeté des autres à cause de ses différences, il sombre très tôt dans la solitude. À seize ans, il est obligé d'arrêter ses cours par correspondance et de redéco...