Avec un peu d'avance sur son horaire, Patrick arrive devant la porte de Emilie. Il sonne et quelques secondes plus tard, elle lui ouvre la porte. Elle a, pour cette soirée, revêtu une tenue sexy et sensuelle à souhait. Un haut d'un rouge flamboyant, parsemé de quelques paillettes noires et or. Une jupe, mi-longue, rouge, elle aussi. Avec, en dessous, apparemment, un porte-jarretelles noir, qui retient des bas noirs, eux aussi. Et pour parfaire sa tenue, des escarpins très fins et légers. Ouverts sur la pointe des orteils. Patrick en tombe sous le charme. Lui est vêtu avec classe et élégance. Un costume gris, satiné. N'étant pas tout à fait prête, Emilie lui propose un verre. Il l'accepte volontiers. Arrivés dans le salon, elle l'invite à s asseoir sur le canapé et lui demande ce qu'il désire boire.
«Je me contenterais d'une bière. » Répond-il. Elle le quitte un instant et revient avec une bière et un verre. Puis s'excuse et le quitte de nouveau, afin de parfaire, son "look". Moins de 10 minutes plus tard, elle revient vers lui, un verre de soda, à la main. Sa bière n'étant pas terminée, il trinquent à cette soirée.
19.50, il est temps pour eux d'y aller. Emilie ne connait pas la destination. Mais imagine un restaurant chic. Il lui ouvre, galamment le portière passager. Elle prend place et Patrick referme la portière, avant de prendre place, au volant. Il démarre et prend la direction de leur soirée, en tête à tête. En chemin, Emilie, sans s'en rendre compte, a posé sa main, sur la cuisse du bellâtre. Surpris, mais heureux de ce fait, il tourne la tête un instant vers elle. Emilie a senti ce regard, vers elle. Rougissant un peu, elle s'excuse de cette légère dérive de sa main. Patrick lui répond qu'il a, malgré la surprise, apprécié ce moment.
La voiture vient de quitter la métropole. Patrick accélère pour atteindre la vitesse de croisière. Puis, comme une grande majorité des conducteurs, pose sa main sur le pommeau du levier de vitesse. Emilie en profite, après avoir jeté un coup d'œil vers lui, pour poser la sienne dessus. Comme s'ils l'avaient fait à nombre reprises, leurs doigts se joignent, tels 2 amoureux transis. 20mn plus tard, Patrick gare la voiture, sur un parking public. ce qui aiguise la curiosité de Emilie.« Es-tu sure que c'est le bon endroit? » Demande-t-elle à Patrick.
« Oh oui... » Répond-il en souriant. Puis, tendant sa main vers celle de Emilie, il ajoute :
« Aller, viens!! Nous sommes attendus. » Sans se faire prier, elle offre sa main à Patrick. D'un pas lent, mais décidé, ils se dirigent vers le restaurant, où ils vont enfin manger.
Il ouvre la porte et Emilie entre la première. Il la suit de près. Il se dirige vers la caisse et s'annonce. Quelques instants plus tard, un serveur les rejoint et les invite à le suivre. Sans se faire prier, ils suivent le serveur et arrivent rapidement à leur table. Celle ci est légèrement en retrait des autres. A ce moment là, Emilie se dit qu'il devait bien connaitre cet endroit, pour avoir réservé cette table en particuliers. A peine assis, le serveur leur donne la carte. Patrick demande alors à Emilie si elle désire un apéritif. Elle acquiesce de la tête, accompagné d'un oui, merci. Il prend un baby et elle, une Suze. Patrick appelle le serveur et passe commande des apéritifs. Quelques minutes plus tard, chacun est servi. Patrick tend son verre, vers celui de Emilie, en trinquant à cette soirée, qu'ils passent ensemble. Sans le vouloir, vraiment, elle fit du pied à son charmant compagnon de soirée. Surpris par ce geste, il lui lance un regard aiguisé. Elle s'excuse, auprès de lui en portant sensuellement, son verre, à ses lèvres. Ravi de ce geste, Patrick la regarde avec désir, envie. Emilie a remarqué ce regard et fit en sorte d'aiguiser encore plus le regard de Patrick. Ses lèvres se posent délicatement, sur le bord du verre et d'un geste souple elle avale une gorgée de Suze. Patrick en fit de même avec son verre, mais avec moins de sensualité.
Peu après, le serveur revient vers eux et leur demande s'ils ont choisi leur repas. Patrick acquiesce et passe la commande. De nouveau, le pied de Emilie effleure le sien. Il se dit que cela ne peut pas être un hasard. Mais continue, comme si de rien n'était. Plus coquine que jamais, Emilie fait remonter son pied, le long de la jambe de Patrick. En faisant en sorte que son pantalon, suive le mouvement, mais pas trop. Elle doit faire attention, ils sont dans un lieu publique. A ce moment là, Patrick se dit que le hasard se fait de moins en moins possible. Il lance, vers Emilie, un regard interrogateur. Amusée de ce regard, elle lui répond par un regard sournois et taquin. Il se penche vers elle et lui chuchote :
« Si vous continuez ainsi, très chère, je crois que je vais avoir un soucis. » Pas vraiment surprise par ces paroles elle lui répond :
« Ah oui. Quel est donc ce soucis, que vous me cachez Patrick? » Plus ou moins gêné, par cette demande, il lui fait comprendre, d'un geste, en direction de sa chaise. Emilie comprend rapidement, le soucis sus cité. Et comme si elle le désirait, reprend ces caresses érotiques, du bout du pied. sans se faire attendre, Patrick pose son pied sur celui de Emilie, en lui lançant un regard endiablé. S'en est trop pour elle. Elle a compris qu'il ressent ce désir, d'elle. Elle stoppe ses caresses, tout en posant son autre pied, sur celui de Patrick.
Quelques instants plus tard, le serveur revient avec les assiettes et les pose sur la table. Sans mots dire, ils se délectent du souper. Mais, et à plusieurs reprises, leurs regards se croisent. L'un comme l'autre a ressenti ce désir de l'autre, dans son regard. Après avoir passé commande du dessert et laisser repartir le serveur, Emilie se penche sur la table et lance à Patrick :
« Ne serais-tu pas tombé sous la coupe de mon charme? » Surpris par cette question, il lui répond :
« Sans aucun doute, très chère. Mais il m'a semblé que vous aussi. » Sans vouloir démentir, elle acquiesce d'un clin d'œil. Puis le serveur revient avec les desserts et les pose sur la table. Déposant une petite boite, à côté de celui de Emilie. Surprise par cette boite, elle lance un regard vers Patrick. Comme s'il ne l'avait remarqué, Patrick prend sa cuillère à dessert. Elle décide donc d'ouvrir la boite. Un petit pendentif s'y trouve. Il a la forme d'un petit cœur. Cette fois, elle demande des explications à son charmant compagnon. Il lui répond simplement qu'il en avait envie. Emilie lui dit alors :
« N'est-il pas un peu tôt, pour ce genre de cadeau, très cher?
- Quand on aime, il n'est jamais trop tôt. » Rétorque Patrick.
« Oh!! Vous allez bien vite, en besogne.
« L'amour du cœur n'attend pas, chère Emilie. »
« Je vous le concède, très cher. » Ils terminent leur dessert, tout en ce lançant des regards tendres. De son côté, Emilie reprend son jeu de jambe, contre celle de Patrick. Ne tenant plus, il décide d'en faire autant. Agréablement surprise par ce fait, elle accentue le sien, tout en fixant son compagnon de soirée, droit dans les yeux. Elle y vit rapidement, un certain malaise. D'où pouvait-il provenir? Elle en avait une vague idée. Pour la confirmer, elle se penche sur la table et demande à Patrick :
« Auriez-vous un soucis, Patrick? » Surpris, mais sachant ( sans doute) ce à quoi elle pense, il lui répond :
« En effet, vous me faites de l'effet, très chère. J'avoue que j'y prends un certain plaisir. » Et il ajoute, en lui envoyant un clin d'œil:
« Voire même, un plaisir certain. » Excitée à cette idée, Emilie tente de faire remonter son pied jusqu'à l'entrejambe de Patrick. Il comprend rapidement ce qu'elle veux faire et, en évitant de se faire remarquer, lui offre le passage nécessaire à cette démarche. Surprise, mais heureuse de ce fait, Emilie pose son pied sur le bord de la chaise de Patrick, tout en caressant sa bosse majestueuse, du bout du pied. Ses escarpins lui permettent de sentir aisément ce qui se trouve à l'extrémité. Elle en est ravie, et lance un clin d'œil coquin à Patrick. Il comprend que cela n'est qu'un début. Mais jusqu'où irait-elle?