Hermione et Drago, entre amour et haine...

Confidences et trahisons

Chapitre 12

Ils se séparèrent devant la grande salle et rejoignirent leurs tables respectives. Hermione s'assit auprès de ses fidèles amis et prit peur que son attitude paraisse étrange. En effet, bien que Harry et Ron ne l'ai pas vue en compagnie du prince des serpentard, ils lui posèrent moult question sur son état et lui promirent de passer plus de temps avec elle pour la soutenir. Mais Hermione n'en voulait pas, elle ne leur dit pas, mais elle ne voulait pas de leur aide, de leur soutient, bien qu'elle le aimait éperdument tout deux. En fait, la seule chose qui pouvait lui faire plaisir, c'était sa compagnie, son regard de glacé mais tout de même bienveillant. La chaleur de ses mains et la douceur de sa peau. La brillance de ses cheveux et la splendeur de ses traits. Elle voulait être avec lui, et pas seulement comme figurante, non elle voulait avoir une place dans son cœur comme il avait réussi à en garder une dans le sien, elle voulait qu'il sache qu'elle existe et que son existence l'importe, mais si elle s'avait... Si elle savait que le prince des serpentard n'avait jamais été aussi triste et heureux à la fois. Aussi, bien et nostalgique de cette malheureuse nuit d'automne, il ne comprenait pas pourquoi, mais elle avait embrassé quelque chose en lui, et il voulait qu'elle le sache, qu'elle sache qu'il l'a voulait près d'elle pour se sentir heureux et satisfait de son existence.

Ils avaient cour ensemble ce matin. « Magie intuitive », ils avaient tous deux hâte de tester cette matière. Ils se débrouillèrent pour rester à l'arrière du groupe et ainsi que le fait qu'il soit en biome soit indéniables. Drago voulait savoir comment Hermione allait, Hermione avait besoin de Drago pour aller bien. Une vague de chaleur saisit leur poitrines et c'est ainsi que le cours commença.

Le professeur, Ernest Belfastin, un auror irlandais reconnu commença par un discours sur les risques des circonstances actuelles et la fatalité de mourir si l'on ne l'écoutait pas. Qu'elle ironie, qu'elle chantage. Il ne fit pas guère bonne impression sur Drago ou sur Hermione, qui demeurèrent sceptique.

Ils durent tous courir cote à cote binôme par binôme et tenter de se stupéfixer à l'aide de sortilège informulés, les deux jeunes gens réussir cet exercice haut la main et ce dernier fus d'ailleurs le fruit de nombreuses crises de rires.

A la fin du cour, ils avaient oubliés qui ils étaient aux yeux du monde et repartir ensemble vers la bibliothèque en riant, sous les regards béat et ahurit des élèves. Ils s'assirent sur une table de la réserve, (ils y étaient autorisés en tant que préfets), et entreprirent d'étudier l'histoire de la magie, centre d'intérêt qu'ils partageaient tous les deux. Après avoir terminé un exposé sur la vie de Neice Dippets (l'inventeur de la felix fellicis), ils firent leur devoir de potion et de métamorphose. Etrangement, ils partageaient pratiquement tous leurs cours, mis à part l'arithmancie. Cela faisait deux heures qu'ils y travaillaient, ils étaient intelligent et excellent élèves, et ils firent donc ce qu'ils auraient dû faire en six heures en deux heures. Ils partirent déjeuner, chacun à sa table mais Hermione resta hermétique face au propos de colère et d'indignation de ses amis, elle le regardait lui, qui subissait le même interrogatoire et leur regard ne se séparèrent pas de tout le repas.

Il ne pensait pas l'aimer, elle non plus n'en était pas vraiment à l'amour, mais ils apprendraient, l'amour n'est jamais donné.