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Une fois ma douche terminer , j'enfile ma combinaison noire et sors.
Je ne cache jamais mon visage mais jusqu'à maintenant la police ne m'a pas retrouvé.

J'arrive devant l'adresse donner par mon oncle et entre sans prendre la peine de frapper ,  il fait tard c'est pour cela qu'il n'y a aucun bruit ni de garde devant la maison, mission simple ce qui est assez rare.

J'avance alors dans les couloirs cherchant partout l'homme que je devais abattre.

même si la mission me paraissais  simple il fallait  toujours que je sois sur mes garde dans ce milieu et j'ai bien fait car j'entendis des pas venant en ma direction, j'étais dans la cuisine un lieu où il existe peu de cachette. Alors Je me jette sous la table attendant que les pas s'éloigne.

Mais ai contraire elle s'approchaient de moi, Soudain je vis des pieds juste sous mon nez, un homme était juste là, je reconnais les chaussures de sécurité,  c'est un garde.

J'attrape ces jambes et les tires vers moi, il tomba en arrière en lâchant  un cris de surprise
Je me jette sur lui , ainsi l'immobilisant  et lui couvrant la bouche grâce à ma main

Moi : tu réponds à mes questions ok ?

Il me fit un signe de tête du haut vers le bas lentement

Moi : es que giozepe est en haut ?

Il me fit un signe de tête du haut vers le bas également

Moi : ok.  Il est seul ?

Il me fit le même mouvement de tête que le précédent

Moi : il y a encore des gardes ?

Il me fit un signe de tête de gauche à droite

Moi : ok.

D'un coup sec je lui brisa le cou et il tomba raide mort

Je me lève et emprunte les escaliers pour me rendre à la chambre de ma proie

J'ouvre la porte d'un coup de pied,
elle s'effondre suite a ce coup ce j'aperçus  ce fameux giozepe se réveillant en sursaut  ainsi que la femme qui se trouvait à coter de lui.

Je pointe mon arme automatiquement en leurs direction

- putain... tu... tu dois être la fleurs de la mort

Je souris légèrement  en entendant ce pseudo que la police ma attribué

Toujours en pointant  mon arme en sa direction je m'avencais doucement vers leurs lit.
la femme se mit à trembler comme un vulgaire insecte.

- putain.. tu veux quoi en échange de ma vie ? De l'argent ? J'en ai beaucoup je t'en donnerais autant que tu veux !

Moi : je veux un renseignement.

- demande moi tout ce que tu veux

Moi : où ce trouve Pablo ?

- Pablo ? Mais.. il mort depuis maintenant 2 mois..

Moi : quoi ?

- tu n'as pas entendu parler de sa mort ?!

Moi : je n'ai pas de télé.

Le son des sirènes me percute les tympans.
Ils arrivent.

Je tourna mon regard vers la femme qui avait le doigt appuyer sur un bouton

Moi : salle pute c'est toi qui les as avertis.

J' élimine l'homme que je devais abattre sans aucune hésitation puis cette femme se mit à crier ce qui m'agaça fortement mais la règle d'or des tueurs à gage est "ni femmes ni enfants " à mon plus gros regret car certaines femme mérite une balle entre les yeux.

Je sortis mon feutre et dessina un fleurs sur le corps inerte de la victime

- qu'es que vous faites

Me demanda l'autre les larmes aux yeux

Moi : tu travailles pour qui ?

- je..je suis sa femme...

Moi : tu connais le métier de ton mari alors ?

-o...oui..

Moi : très bien tu diras aux autres que la prochaine fois qu'ils trahissent Dgio il les éliminera tous.

Sur mes mots Je me dirigea rapidement dans la cave où j'y trouve une marchandise de drogue très importante. Pil ce que je cherchais.

J'ouvre un sac et met toute la drogue  dedans avant de m'échapper  par la porte de derrière.

La police est déjà là je me met donc à courir et à voler une des voitures de l'homme que j'ai abattu

Je coupe un ou deux fils ,les relies ensemble et la voiture démarra.
A toute vitesse je sors du garage en defoncant l'entrée essayant de semer les policiers qui se mettent directement à ma poursuite

J'étais poursuivi par trop de voiture , à plusieurs mètres  devant moi ce trouva  un barrage  de police j'etais donc obligé d'abandonner ce tat de ferraille sinon j'allais me faire attraper.

J'appuie sur l'accélérateur et monte jusqu'à 100 km/h je prends ensuite le premier objets assez lourd qui me vient sous la main et le maintient sur l'accélérateur.

5 mètres avant cette barrière de policiers je me jette à l'extérieur avec ma marchandise  laissant la voiture foncer dans le tat.

En me jetant j'atterris sur la route me laissant emporter  jusqu'a un mur qui me stoppa dans ma course. J'avais sans doute l'épaule casser mais pas le temps de m'apitoyer sur mon sors je dois fuir et rentrer chez moi avant d'être retrouver par la police.

Je me relève avec beaucoup de mal , et avence d'un pas accélérer tout en boitant en direction de mon appartement

En marchant je me cogne contre quelqu'un qui se mit devant mon chemin  , je lui lança  mon regard le plus meurtrier 
Mais il bougea pas, il me fixait avec un léger sourire au coin des lèvres

- enfin je rencontre la fleurs de la mort.

Moi : et vous êtes ?.

- tu devrais savoir qui je suis tu me cherches apparemment.






                                                         

Tueuse à gage.👑Où les histoires vivent. Découvrez maintenant