Hetalia x Reader [TERMINÉ]

America x Reader

Je m'étais rendue chez mon ami, Matthew, pour faire un exposé. Je toquai à la porte avant d'être accueillie par un jeune homme, à peut près du même age que moi, et qui ressemblait beaucoup à Matthew. J'en déduisit que c'était son frère.

«Tu es l'amie de Matty ?!
- Oui... Je viens pour l'exposé...
- Je sais ! Je m'appelle Alfred ! Et toi ?
- Je suis (t/p) ! Enchanté Alfred. »

Il me sourit avant de me laisser entré. Il cria à Matthew que j'étais là. Pendant qu'il l'appelait, je l'observai un peu. Il fallait bien que je l'avoue il me plaisait. Et pas qu'un peu. Il avait de magnifique yeux bleus derrière des lunettes qui lui allaient très bien. Ses cheveux blonds encadraient très bien son visage d'ange. Alors que je le fixais, il se tourna vers moi  avec une mine interrogative.

«J'ai quelques choses sur le visage ?
- Hein ? Oh non euh désolée ! Je sais pas pourquoi je faisait ça !!
- Aucun mal ! »

Il aborda un grand sourire enjoué. Matthew descends, il me salua et il me montra la maison. On finit par s'installer dans sa chambre pour travailler. Ça devait faire une heure qu'on bossait quand on entendis un grand fracas dans la chambre d'à côté. On se regarda avant de se précipité vers la chambre d'Alfred. Sans prendre la peine de toquer, Matthew ouvrit la porte rapidement. On découvrit un grand bazard, Alfred était à terre, il rigolait.

«Alfred, bon dieu, mais qu'est ce que tu fais, tabarnak ?!
- Hahaha ! Désolé ! J'ai voulue soulever la grosse boite mais je suis tombé et elle s'est renversé ! Hahaha !
- Tu es désespérant là, tu m'fais honte.»

C'en était trop. J'explosai de rire. Les deux arrêtèrent de parler et me regardèrent, surpris de ma réaction. Alfred se mit à rire, suivis de Matthew. On aida Alfred à ranger, tendis qu'ils me racontaient leurs souvenirs d'enfance. On y a passé toute l'après-midi. Je devait bien avouer que Alfred me plaisait de plus en plus. Quand on s'est rendue compte de l'heure, on était tous choqués. Il faisait nuit. J'allais partir quand Alfred m'arrêta.

«Je peux pas te laisser rentrée seule ! Je te raccompagne !!
- Ne te donne pas cette peine, Alfred...
- J'insiste ! C'est le devoir de tous héros de faire ça !!
- Bon très bien, mais ne te plains pas parce que c'est loin !
- Promis !! »

Il me prit la main avant de sortir presque en courant. Il me tirai derrière lui sans vraiment savoir où aller. À un moment il s'arrêta et se tourna vers moi.

« (t/p) ? C'est par où ?
- De l'autre côté, haha !
- Te moque pas de moiiii ! »

Je continuai de rigoler tendis qu'Alfred me regardait, un air ahuri sur le visage. Il finit par en avoir marre et me plaqua contre un mur qui se trouvait non loin de là. Je le regardai, surprise et un peux effrayée. J'avais le cœur qui battait très vite et incroyablement fort. Je pense qu'il ne se rendait pas vraiment compte de ce qu'il faisait car à un moment il me lâcha en s'excusant vaguement. Il m'a tout de même raccompagner chez moi.

*ellipse de deux semaines*

Je me refaisait sans cesse la scène qui s'était déroulé plus tôt. Chaque fois que je pensais à Alfred mon cœur s'emballait. Alors que j'étais sur mon lit, a regarder (nom de série), ma série préférée, j'entendis quelqu'un sonner à ma porte. Je me levai en marmonnant des trucs plus ou moins compréhensible. J'ouvris la porte pour voir Alfred qui semblait gêné.

«H-hey (t/p)... Je... Je voulais m'excuser pour la dernière fois je sais pas ce qu'il ma pris...
- T'en fais pas... C'est rien... Tu veux entré ?
- Euh... Oui pourquoi pas ! »

Je m'écartai pour le laissé entrer. Une fois au salon, je lui demandai si il voulait boire quelque chose.

«T'as du coca??
- Je dois avoir ça !
- Trop cool !! »

Je souriai avant d'aller dans la réserve. Je regardai un peu partout avant de trouver une bouteille de deux litres. Quand je retournai dans le salon, le sourire d'Alfred s'élargit. Je posai la bouteille sur la table avant d'aller chercher deux verres. Je m'assis par terre comme à mon habitude. Alfred me regarda, surpris avant de m'imiter. Une fois les verres bût, on commença à discuter de tout et de rien. A un moment il y eu un blanc gênant. Alfred posa sa main sur la mienne. Je rougissai et mon cœur s'emballa. Je remarquai qu'il me regardait. Je tournai la tête vers lui, et très vite je sentis une légère pression sur mes lèvres. D'abords surprise, je finis par lui rendre timidement son baiser. Aucun de nous ne voulait se séparer de l'autre, mais le manque d'air nous y obligea. Quand le baiser fût rompu, Alfred me poussa à terre avant de se mettre sur moi.

«I love you, (t/p).
- I love you too. »

Il m'embrassa passionnément.