La fin de l'automne où ses feuilles sont tous tombées.

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À l'aéroport, il faisait un ciel sombre. Ce temps me faisait penser à Poudlard. Les feuilles des bois tombent du ciel et le vent  s'élève doucement dans les vagues. Je perçois la reine des ombres au sommet de la mer non loin de la ville, elle semble monter de plus en plus en char vaporeux. C'est-à-dire que la lune se montre flou lors de son apparition. C'est alors que à ce moment, moi et ma valise nous patientons le taxi afin de rentrer auprès d'un nouveau lieu où me poser. Les orageux aquilons faisait surface bientôt, c'est une question de temps. Je reste désormais loin de mes parents, juste que, maintenant je suis seul. Le fait d'être seul est un peu mon habitude et ce n'est plus un obstacle à mes yeux, mais naturel. Ma musique, mes œuvres d'arts sont mon réconfort et ils le sont encore. Je suis souvent dans mon petit monde dont j'ai le malheur d'essayer de le protéger. L'aéroport était assez grand pour y mettre une autre ville, je n'ose pas trop imaginer la taille de la cité. Je marche dans la manière la plus naturelle possible, mais mes pas se lance maladroitement vers le trottoir froid et glissant, mes pieds s'envole dans les airs, je tombe tête première pour résultat avoir une bosse sauvage sur la tête.

Une fille qui est toujours dans ses pensées, une maladroite ; voici Shi-nah.

Mon prénom semble définir rayon de lune. C'est alors que je me présente ensuite; j'ai 21 ans, je rentre désormais dans ma dernière école ; l'Université de Sweet-Amoris.

Enfin dans mon lieu personnel, des ameublements étaient déjà présent ainsi que la nourriture pour se remplir le ventre. Mon ventre vide gronde de tout allure de voir un gâteau directement lorsque j'ouvre la portière du réfrigérateur, je les aperçus pour la première fois. Ma mère a osé... Elle savait que les gâteaux pour moi étais une source de rêve infini dont souvent j'ai tendance à en rêver la nuit avec une bave coulante. Que c'est charmant.

Pour une journée ensoleillée qui semble prospère, le cadran sonne de bon matin à 6h45.

Je grogne sauvagement au point que finalement j'ai réussi à briser mon cadran pour la dixième fois...

À peine que le soleil était là, les rayons se réveille de petit à petit lorsque je commençais déjà à dessiner avant d'aller à l'école. Tout à coup, quelqu'un me fixe venant de la fenêtre de mon voisin. Je le fixe d'un air grognon mais il part à rire de mon visage beurrer de saleté de mes crayons.

J'ouvre ma fenêtre et lui lance mon cahier de croquis sur la tête.

Wiin !

- Bon aller, on se dépêche, il faut que je me bouge...

J'enfile ma tenue et je prépare mon sac rempli de mes œuvres d'art sans que je me soucie vraiment des livres pour mon apprentissage qui sont hors de mes principes. Je sors tranquillement de chez moi, mais je viens de penser...

Je ne sais pas où aller.

Je fonce brutalement contre quelqu'un.

- Oh ... je suis désolé je vous ai fait mal ? dit-il un inconnu mal à l'aise.

- Ça va aller merci ! dis-je avec un sourire forcé.

J'ai plutôt la tête qui tourne qu'autre chose. Les oiseaux et les plumes ne cesse de tourner autour de ma tête, mais j'essaie quand même de faire en sorte que tout va bien. Avec gentillesse, il a essayé de m'aider à me lever, mais le vent pousse à nouveau violemment vers nous. C'est alors que j'ai tombé sur lui et on tombe.

Bon sang...

On se regardait dans les yeux pendant un moment. J'ai cru que j'allais mourir de honte. Je me lève rouge comme une tomate et aussi rapide que l'éclair.

Une nature cachée.[ASucré]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant