Une nature cachée.[ASucré]

Au-delà.

Le lieu où je m'étais tombé, il était déguisé d'énorme arbre avec des feuilles de couleurs différentes;  du bleu, du jaune, du violet tel comme un soleil couchant. La lumière s'étendait déjà pour la nuit. Je croyais être encore entrain de rêver tellement c'étais d'une beauté incroyable. Le soleil éclairait ses dernières volontés avant la nuit vers l'horizon. J'ai perçu une silhouette danser avec le vent et les feuilles, ma vision était tellement flou que je n'ai pu reconnaître la personne. Qui est-ce ?  La douleur que j'avais ressenti. Je la sent toujours dans mon corps et mon cœur ne cesse de battre. Je n'ai jamais connu un tel sentiment de douleur auparavant et ainsi ma mémoire commence être flou. 

- Shi-nah ! Qu'es-ce qui ne va pas ?

- Je... je...

- Prend ton temps de t'asseoir j'ai trouvé de l'eau en attendant que tu te réveilles.

J'ai touché légèrement ses oreilles pointus. Cette forme elfique lui fait à merveille que j'ai presque tombé amoureuse. Lysandre ce cesse de bouger en me regardant dans les yeux et il est surpris de mon geste. Que suis-je entrain de faire ? Mais... J'aime tant ces oreilles. 

- Tu as perdu connaissance à nouveau quand soudainement tu avais eu un énorme mal de tête après que tu as su que j'avais des oreilles pointus. Je suis soulager que tu sois réveillé. Sache que toi aussi tu as des oreilles pointus ! Ça te fais si bien tu es mignonne.

- J'ai fait un drôle de rêve...

- Quoi donc ?

- C'est rien... Il y a plus important, où sommes-nous ?

- Je l'ignore. Quand je me suis réveillé je me suis retrouvé séparer de toi et Castiel. Après j'était inquiet je suis parti à votre recherche et je t'ai trouvé ici. Par contre je n'ai pas trouvé Castiel.

Je me lève tranquillement pour me dégourdir, je n'arrive pas encore à marcher correctement, mais suffisant pour me tenir debout à observer la mer. Qui aurait cru ? Il y a quelques instants on était dans la neige entrain de s'amuser. Lysandre tant inquiet de mon absence, me prend dans ses bras sans hésitation. Sa chaleur me rassure, mais autant cette endroit me disait rien qui vaille. Pourtant, ses bras sont chaleureux...

- J'étais vraiment inquiet. Viens il faut au moins savoir où on est. Tu es capable de marcher ? Il faut trouver Castiel maintenant.  

- Oui... 

Les arbres et les feuilles s'agitaient  lorsqu'on avait déjà commencé à marcher en direction du Sud. Nos pas bougent dans le but de pouvoir savoir ce qui se passe, mais quelque chose  cloche. Le lieu semble si magique que j'ai l'impression que j'ai tombé dans un autre monde ou c'est que je rêve encore tout simplement. Nous marchons de plus en plus dans l'espérance de trouver quelques indices.

*** Après quelques heures.*** Le ciel est déjà envahi par des milliards d'étoiles brillantes.   

 La nuit a malheureusement tombée. On s'est construit un abri fait de branche et d'énorme feuille on s'est toute suite rendu compte qu'on avait pas un tel talent et on rie de l'un à l'autre.

- Lysandre je vais prendre un bain  je reviens.

-D'accord soi prudente on ne sait pas ce qu'on peut croiser ici. 

- Pas de problème, je serai prudente !

Je marche nu pied dans la forêt sans me soucier du danger. J'ai eu un impression que je connais déjà cette endroit, mais comment ? Mon instinct m'a conduit sur une belle source de nuit, une rivière qui n'est pas trop brusque. J'enlève mon pantalon je suis enfin libre de mes mouvements. Que c'est agréable ! Je vis Castiel allongé sans conscience non loin de la rivière. Oh mon dieu ! Je cours dans sa direction sans hésiter pour le réveiller. Je traverse la rivière pour le rejoindre mais lorsque je suis arrivé pour le réveiller et le toucher il m'a soudainement fait tomber sur le dos en s'élance sur moi doucement. Ses yeux sont pourtant fermé et son corps est collé contre la mienne. J'essayais de me débattre pour me lever, mais son ventre sans haut et son visage glissent sur ma peau d'une envie féroce, mais ses gestes ne sont pas d'une force brute. Ses mouvements tendres emprisonnent tout mes membres au moment où sa langue frotte sur mon cou. Sa langue poursuit sa route tout au long, mes joues brûlent au point que j'e suis paralysé et mon envie ne cesse de monter. J'ai essayé de le pousser, mais en vain...