Tome1. Chapitre 10 un simple défaut

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Nous étions le 10 mars et tous les préparatifs commençait à ce mettre en place pour le mois d'avril. tout était simple, les deux premières semaines d'avril tous

les soldats à par mon escouade partiraient, il n'y aurait plus que nous au QG à

attendre la semaines suivante pour partir. Une fois tous partis le quartier général

ne serait plus habiter pendant quatre mois , j'avais appris par la suite que nous
logerions chaque mois dans un hôtel différents à deux ou un dans une chambre.
Mais le plus gros problème était que sûrement que vers la fin du mois de juin nous devrions dormi à deux dans le même lit pendant deux à trois jours. Je me voyais mal dormir dans un lit double avec Hansi à mes côtés en trins de ronflait. Pendant tous le mois de Mars je dus remplir chaque formulaire que me passer Livaï, je devais aussi de temps en temps apporter des messages aux autres du QG mais ça ne me gêner pas... À propos de nous deux nous avions décider de ne rien dire de notre relation. En publique nous étions comme à notre habitude, mais des fois lorsque nous étions seul je ne pouvais nié les mots oser qu'il m'adressait dans le creux de l'oreille ou alors je sentais son regard me déshabiller comme si j'étais à son égard son repas. Pendant un certains temps je faisais attention à se que mon cou ne sois pas dévoiler au yeux de tous, dans ma nuque et sur le coter droit de mon cou haut placer régner des marques qu'il avait pris plaisir à me faire lorsque nous passions nos nuits ensemble. En sa présence je me sentais à la fois puissante et rassurer même si de temps à autre il me disait comme à son habitude des choses pour me faire réagir et ça fonctionner, un peu trop bien à mon goût, mais il ne le faisait plus en publique juste entre nous et il prenait plus souvent ma défense. Eliza, t'en qu'à elle ne m'adressait plus du tout la parole et c'était mieux ainsi, j'avais décider avec les filles de sortir en ville des que nous aurions un peu de temps libres pour pouvoirs nous détendre, Petra et Nifa acceptèrent sans aucun soucis, j'étais heureuse de pouvoir me détendre avec elles c'était un véritable plaisir, je pouvais rire et décompresser sans me souciait de mon image. Le mois passa drôlement vite et pour une fois je mettais véritablement éclater et j'avais pris plaisir avec les humains. Je parlais à Hansi avant son départ de mon projet si l'on croisait un titan.
- Voilà mon projet dont je t'avais parler...
- Oh celui pour capturer un titan !?
- Oui.
- Alors tu veux bien ! Tu es un amour!
- Mon plan consiste à ne pas utiliser les plantes mais plutôt le feu.
- Ho, pourquoi donc ?
- Ses simple, je ne pourrais pas indéfiniment garder le titan bloquer sans perdre des capacités physiques puis il y à des risques que celui ci se libère si je ne veux que le maintenir. Si j'utilise le feu, à coup sur tu pourras capturer le titan sans aucun problème.
- Mais comment le maintenir en vie ? Il va cramer ! De plus est ce que ce n'est pas un peu dangereux d'utiliser le feu en cette saison ?
- Et bien pour répondre à toutes t'es question, je te propose de venir avec moi dehors !
- J'arrive tout de suite ! Je suis curieuse de savoir comment tu fais !
Une fois à l'extérieur le temps était encore frais. Je me plaçais à une dizaine de mètres d'elle on était jamais trop prudent. Je lui avais confier un peu plus tôt un petit pistolet au moment où je lui signalerais le départ elle tirerait le coups dans les aire.

Alors que je lui fit signe elle appuya sur la détente, à ce moment la ma concentration était au maximum ma paume de mains était tendu vers l'arme dans un bruit sourd la balle sortis dans un jais de flamme Hansi surprise lâchât le pistolet et elle se recula. Les flammes furent inévitable attirer par moi, plus jeune avant même que je ne puisses faire apparaître quoi que se soit je me brûlait les mains avec le feux se qui m'avait valus un temps d'adaptations pour contrôler correctement cette magies mystérieuse. La boule de flamme vint enlacées ma mains, je souris heureuse de mon petit exploit cela faisait si longtemps que je n'avais pas jouer avec. Je fis approchais Hansi de moi.
- Tends moi ta main.
- Co...Co..Comment tu as fais ça ? Pourquoi tu veux ma main ?
- Une arme est constituer de poudre, cette poudre sert à faire partir la balle mais il faut un combustible,une étincelle, Je suis étroitement lié au feu ce qui me permet de le sentir et de ne faire qu'un avec lui quand il apparaît. Laisse toi faire.
Je fis glisser le feux sur sa mains au début surprise elle sursauta et elle secoua ça main se rendant compte que celle ci ne la brûlait pas elle se mis à examiner sa main sous tous les angles.
- Pourquoi je n'ai pas mal ? Pourquoi ma main ne brûle pas ?
- Je contrôle cette flamme par la penser, je peux décider de sont sort...
Sur ces mot je fis bouger ma main dans un sens et la flamme quitta la main de Hansi pour suivre le sillons que j'avais tracer dans les aires.
- Il peut servir de bouclier contre les balles, les lames et l'eau si elle n'est pas en trop grande quantité. Bien maintenant, cette arbres là doit représente un titan. Je me mis face à l'arbre, d'un geste vif les flammes se jetèrent sur l'arbre sous mon ordre mentale, celle ci vint entourée l'arbre d'un voile épais, je fus ravi de mon effet nous avion face à nous un arbre de feu éternelle...
-A..alis c'est juste Woaw !
- Merci.
- Si j'ai bien compris lorsque le feu est sous ton contrôle tu peux décider du sort de cette arbre ?
- Oui, je peux sois le faire réellement brûlait sois le laisser en vie.
Dans un geste je fis éteindre le feux.
- Alis tu est véritablement... merveilleuse...
- Je suis juste anormalement constituée... pas merveilleuse.
- Fais en qu'à ta tête, pour moi tu es merveilleuse. Bon se n'est pas qu'il fait froid mais presque on va boire un thé !?
- Avec plaisir ! Je passais le reste de mon après midi en ça compagnie.
Une semaine passa et tout le Quartier Générale sauf notre escouade partirent nous n'étions vraiment plus beaucoup, la demeure était complètement vide, les soires nous mangions tous ensemble, je passais la plus part de mon temps avec Petra nous faisions des rondes tout en discutant de la pluie et du beau temps. Le mercredi un fin d'après midi, je partis voir Livaï. J'entrais dans la pièce et la scène que je vus m'attendrit énormément, mon Caporal-Chef c'était littéralement endormis sur son bureaux plume à la main. Qu'est ce qu'il pouvait être si beau quand il dormait, si attachant je ne pus m'empêcher de passer ma main dans ces cheveux et je partis m'asseoir dans le divans, je regardais les quelques braise qui rester dans la cheminée je remis une bûche et je fis renaître le feux a l'aide d'un peu de magie. Je pris un livres au hasard et je me mis à la lecture.
Alors que j'étais le nez enfuis dans ma lectures je remarquais que de la luminosité me manquait soudainement d'un coup je relevais la tête vers la choses qui me gâcher la luminosité et je fus surprise de le voir au dessus de moi accouder au dossier de mon fauteuils tout en me regardant d'un air indescriptible, j'aurais dit un mélange à la fois lascif et de perspicacité. Il me prit des mains le livre et il regarda la première page de couverture, il le remit dans mes mains avec le même regard, et il partis sens rien dire à son bureaux. Je regardais la pendule et je vis qu'il n'était que dix neuf heure cela faisait plus de une heure trente que j'étais ici, je posais mon livre à coter de moi je m'étirais et je partis regarder par la fenêtre. Dehors il faisait presque noir les nuits était encore fraîche, je pus percevoir des silhouettes s'activer dehors.
- Livaï... Pourquoi il y à des personnes dehors ?
-... Des personnes ?
- Oui ! Viens voir. On dirait qu'ils chargent quelques chose...
Il se leva rapidement et il jeta un regard par dessus mon épaule. Il lâcha un juron en se mettant a courir vers la porte.
Sans plus réfléchir je le suivis à la trace, il se rendit vite compte que je le suivais.
- Alis, reste là !
- Non, je viens !
- Alis je n'ai pas de temps à perdre ! Reste ici ! C'est un ordre !
-Je ne crains rien, fais moi confiance... S'il te plaît...
-Tss, reste près de moi alors.
- Oui !
Sur notre chemin nous croisions Gunther et Eld. Livaï leurs émis un ordre
- Eld suis nous ! Gunther va chercher les autres !
- Oui, j'y vais !
Alors, que nous étions enfin au rez de chaussez. Il ouvrit la porte dans le silence. Je ne le quittais pas d'une semelle , il nous fit signe de rester discret et de ne pas faire de bruit, je hochais la tête et je le suivis aussi discrètement que possible nous étions assez proches d'eux à présent pour les identifiés nous remarquions qu'ils était une dizaines. Il y avait cinq hommes autour de la charrette qui surveillaient pendant que les cinq autre chargeaient. Ah ce moment le reste de l'escouade arriva avec fracas , les brigands nous repérèrent très rapidement l'un d'entre eux braqua son fusils sur nous beuglant des mots qui m'était étranger, Livaï conscient du danger,me mit légèrement en retrait se qui me déplus fortement, si cette homme lui tirait en plein cœur il mourrait alors que moi non.
- Ne bougeais plus ou je vous descends tous !
Alors que Livaï allait répliquer je passais sous son bras et je me mis devant lui à quelques mètres, l'homme passa le bout de son fusil vers moi et il me gueula dessus
- Hey la blonde ! Tu es conne ou quoi ne bouge plus !
J'ignorais sa phrase et je fis un pas de plus cette fois si se fut la voix de Livaï qui me cria dessus
- Alis, bordel à quoi tu joue reviens !
Sans comprendre pourquoi j'étais extrêmement attirer par cet homme qui me rappeler vaguement quelqu'un, je fis un pas de plus vers lui. Mais cette fois si il ne me dit rien tous se que j'entendis fus le clique et le départ du coup de feux. Je m'attendais à ressentir quelque chose mais se ne fut pas se que j'attendais, je sentis s'écraser sur mon visage un liquide épais et j'entendis un écroulement à mes pieds, je baissais le regard, je n'entendais plus rien juste un sifflement sur aigu. Je le vis, à terre, se maintenant le ventre, la ou le sang couler. Oscar... je relevais la tête et je vis que l'homme n'était plus seul cette fois ci ils étaient quatre. L'un d'entre eux cria.
- si l'un d'entre vous bouges je fais sauter la cervelle à cette gamine !
Le fusil braquer sur moi je fis un pas de plus et je marchais tête basse, bizarrement je n'éprouvais rien même pas de l'inquiétude pour Oscar. J'étais à cinq mètres d'eux, j'entendis Livaï me criait dessus comme si je ferais marche arrière.
- Hey gamine,tu as compris ou faut vraiment que je te face sauter la cervelle ? Je fis un pas de plus, et cette fois-ci sont coéquipiers enclencha le cran de son armes.
- Fait un pas de plus et cette fois-ci il n'hésitera pas.
Un rire cynique m'échappa je me sentais invisible face à lui comme si il n'était qu'un sale insecte sur mon passage.
- Humain, je ne te laisserais aucune faveur, si t'es intention son destructrice .
Je fis mon dernier pas autorisé, le dé-clique que j'attendais se fit, les fusils prirent feux instantanément, les flammes dévastatrices se lancèrent sûres les trois hommes sauf un. Celui qui avait tirer en premier, celui qui avait blesser oscar .
Alors que les autres hommes brûlais littéralement dans des cris atroce je regardais cette homme qui était à terre et qui me regarder avec un air suppliant.
- Je...Je vous en supplie ne me tuer pas !
Je me sentais différente, euphorique, presque hystérique ! Un rire me pris, et puis la douleurs me dévasta les larmes tombèrent toutes seule alors que je souriais, du sol une grande tige apparue, elle vint se serrer doucement autour du coup du meurtrier, il était paniqué ,il me suppliait de l'épargner mais d'un coup sec, je resserrais ma prise violemment comme un serpent qui voulais étouffer sa proie. Une voix familière me sortis de ma folies meurtrière et des bras fort vinrent me décoller le regard de l'homme. Je ne pus l'identifier et encore moins voir la personne face à moi
-Alis...Alis je t'en pris arrête ne le tus pas... On à besoins de lui... Alis.
Je relâchais tout d'un seul coup l'homme tomba à terre, je me débâtis de mon emprise et je vins m'écroulais à terre suffoquant, je me redressais rapidement et je vis tellement de personnes que je me sentis encerclais je chercher du regard quelques chose qui me permettrait de me focaliser, je croisais le regard de Livaï il s'approchait de moi doucement mais,je me relevais en criant.
-Je ne ne voulais pas...je...LAISSEZ-MOI, JE VOUS EN PRIS !!
j'étais en pleine Hallucination. Je me revoyais dans cette salle blanche , j'avais échouer à un exercice je n'avais pas tuer l'homme en face de moi, il s'approcher lentement vers moi munis d'un objet de torture. Reprenant doucement mes esprit en confondant toujours mon paysage je vis des visages familier , j'étais tout autant pétrifier de terreur. Je me mis à courir précipitamment vers les bâtiments on me stoppais dans ma course je me débâtis une nouvelle fois férocement et je réussis a me libérer, je me retournais et je fus choquer de voir mon assaillants qui n'était autre Livaï pourquoi j'avais autant peur de lui je repris la fuite cette fois ci je ne fus pas arrêté dans ma course mais juste poursuivis, je courrais dans les couloirs mais je ne pus que ralentir le rythme, ma respiration ne suivant plus. J'ouvris la porte principale de mes quartier et je rentrais en ne manquant pas de la fermer à clé pour plus de sécurité j'étais exténuer, je partis en direction de la salle d'eau, une fois à l'intérieur je retirais ma chemise pleine de sang. Je me regardais dans le miroir, le reflet me laissant apercevoir sur mon épaules droit ma marque faite au fer rouge, elle représenter l'étoile du diable. De rage, de frustration, je balançais mon poing dans le miroir qui se brisa en mille morceaux, je me mis à pleurais violemment j'étais mentalement fragilisé je me laissais glisser le long du mur je pris ma tête entre mes mains ensanglanté qu'est ce que j'avais fais qu'est ce qui allait pas chez moi ? Qui me regarderait à présent normalement. Pourquoi, j'avais désobéit? J'avais l'impression que j'avais était contrôler d'un désir fous de tuerie.
Mes penser vagabondèrent vers Oscar j'aurais pu lui éviter l'impacte mais je n'est rien fais, je ne suis même pas venu à son secoure je me demander même si il était toujours en vie. Les brouhahas de l'autre pièce m'appris qu'il y avait du monde. Qu'allait il se passer a présent ? Allais-je revivre se que j'avais vécu il y à deux ans... La porte s'ouvrit doucement sur mon Caporal je n'osais même pas affronter son regard. Il s'assit à coter de moi tous en lâchant un soufflement bruyant. Il passa son bras derrière ma tête et il mit ses doigts sur mes yeux de t-elle sorte que je ne vois plus et il m'attira contre lui. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine si j'avais oublié une choses... Que son regard à lui ne changerais jamais sur moi, je me laissais allais contre lui et je laissais libre mes larmes de tristesse, au bout d'un certain temps je posais mes mains sûr les siennes et je les retirais tous en les regardants je sentis son regard ce déposer sur moi et je me mis à parler
- Est ce que tu est en colère après moi ?
- Oui.
- Je vois... Oscar...il est... Je dis cette phrase tout en ravalant mes larmes.
- À l'infirmerie.
Mes larmes tombèrent de nouveau
- Tout est de ma faute. Si je n'aurais pas désobéit on en serait pas là... Je n'aurais pas tuer ses personnes... Je suis véritablement une catastrophe ! Une folle !
- Alis... Ne tu n'est pas une folle juste...
- C'est faux ! J'aurais pus le secourir mais je n'ai rien fait !
Je m'étais défaite de son étreinte pour pouvoir lui faire face et le regarder droit dans les yeux malgré le faite que je vois mal à cause des larmes qui me brouillait la vue. Je baissais la tête honteuse de moi, sa main vint se poser sur mon visage, il se rapprocha de moi, il déposa son front contre le mien. Je lui exposais encore mes crainte
- Tout le monde à vus se que j'ai fait en plus. Que dois je faire...
- Juste Oscar, Arno et Eliza n'était pas au courant... Crois moi ce n'est pas eux qui vont t'empêcher de vivre.
-...
je me séparais de lui je ne voulais pas réellement partager avec lui ma tristesse je voulais rester seule. Il descendit son regard sur moi
-Alis, tu saigne !
Je regardais à l'endroit désigner me rappelant vaguement qu'une balle avait frôlait ma hanche droite.
- Oh ça se n'est rien... juste une balle qui ma égratigner.
- Montre moi !
- Non c'est bon.
- Alis déconne pas ! Fais voir !
Alors qu'il se penchait vers moi j'eus un geste de recule tout en le repoussant.
-Excuse moi...
Il commença à se relever. Il partais je ne fis rien pour le retenir, pourtant la douleur continuais à me poignardé de plein fouet, j'entendis les portes claquer après son passage mes larmes se remirent à couler j'avais besoins d'être seul de réfléchir... Si ça continuais comme ça je serais un vrais danger pour se que j'aimais. Je ne dina pas. Trop préoccuper à me questionnais sous toutes les coutures, je me lavais et je me couchais le ventre vide dehors la pluie s'abattit, le vent c'était lever se qui fit claquer mes volets, je me précipitais rapidement vers ceux ci pour les fermer, lorsque je regardais dehors je fus choquer de voir un homme en plein milieu de la cour il n'avait pas l'air réelle du tout je fermais rapidement mais fenêtre n'osant plus vraiment rester seul, de peur d'être seul avec cette entité je partis de ma chambre et je me rendis au bureaux de Livaï dans l'espoir qu'il soit toujours debout. Je fus ravi de voir passer par la porte une lumière. Je l'ouvris délicatement et je passais ma tête par l'entrebâilleur, ravis de le voir à son bureaux trop occuper pour faire attention à quoi que se soit j'entrais et je fermais la porte derrière moi je me dirigeais directement vers le divan et je m'assis devant le feu. Il remarqua ma présence une fois la porte claquer. Il me regardait étonner je me sentais obliger de justifier ma présence ici.
- Je ne veux pas rester toute seule...
- Ce n'est pas ce que tu m'as fait comprendre tout à l'heure.
Me rétorqua t-il sèchement.
- Pardon...
Sans m'en rendre compte une nouvelle larme dévala ma joue, il fallait vraiment que j'arrête de pleurer ! Le bruit de la plume qui retombais dans l'encrier me fit relever la tête il rangea comme à son habitude droitement et proprement son bureaux et il vint me rejoindre s'assaillant à mes coter.
- Ah quoi tu penses ?
- Ah tous... Et toi ?
- À ta salle de bain...
- Comment ça ?
- Elle est sale.
Je repensais encore à tout ce qui c'était passer il y avait quelques heures.
- Je ne veux pas que tu me laisse seule en retrait de tout.
- Alis... Je ne te laisse pas en retrait je veux juste te protéger.
- De quoi ? La mort... Je ne la crains pas, contrairement a vous tous. Au contraire je la provoque voila à quoi je sers, je sers à défié l'impossible, tuer sans être véritablement consciente...je suis destinée à vivre dans la peur des autres, et loin mais vous aussi vous jouer avec le feu...Vous faite comme si j'étais normal, vous ne me craignez pas.

(l'attaque des titans) Les Ailes De La Libertées ( LivaixOC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant