Tome 1. Chapitre 8 Invincible mais malade

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Un mois était passer depuis notre discussion dans les écuries, je n'avais plus adresser la parole à Livaï depuis... J'avais appris 2 jours plutôt que l'on partirais en mission d'ici quinze jours se qui me laisser alors le temps de m'entraîner convenablement. Après tous j'étais une arme vivante, et je ne pouvais pas me laissais aller, si un dévian venait à se montrer je pourrais le tuer au moins. Ma force avait encore évoluer, pourtant je ne me portais pas mieux ! Pour une jeune fille de 16 ans qui devait être pleine de vie j'étais littéralement effondrée physiquement. J'avais eu droit à des congés mais rien à faire. Des fois j'avais des visions incontrôlées mais elle était le plus souvent insoutenable. Au QG j'étais toujours le sujet principal de discussion j'en avais entendu de toute les couleurs sur moi. Traîner , lèche cul, Épouse de..., fille de joie ! Peste, pétasse...et j'en passes ! Les seules personnes en qui j'avais confiance était bien Petra ,Nifa ,Gunther, Auruo Eld ainsi que Hansi et Livaï... Je ne m'entraînais pas avec les autres pendants la première semaine Hansi m'avait autoriser à m'entraînais seul, se que je fis sans relâche. Les deux semaines passèrent vites et je me retrouvais de bon matin toute emmitouflé dans des habits d'hiver épais sur le dos de Mars, j'étais comme à mon habitude placer au côté de Livaï à obéir à ses ordres. La journée avait était belle est bien silencieuse j'avais passer mon temps à regarder le paysage ou alors écoutais les discussions des supérieures. Nous étions arriver à l'auberge qui devait nous offrir logement et repas, je descendis de cheval et je partis m'occuper de Mars moi même, Une voix m'interpella. C'était un jeune homme, aux cheveux brun,qui devait avoir approximativement mon âge.

-A..Alis,je...j''aimerait parler avec toi si tu veux bien...
- Oui bien sur !
Je lui souris.
- Je peux t'accompagner ça ne te dérange pas ?
- Non pas du tout ! Ça me fera de la compagnie !
- Merci !
- Alors que voulais-tu me dire ?
- Enfaîte c'est assez bête mais j'aimerais faire connaissance avec toi !
- Oh vraiment ?
- Oui ! Tu m'as l'air tellement gentille ! Au faite je m'appelles Arthur !
- Arthur, d'accord et bien comme tu le sais moi c'est Alis !
- Qu'elle âge as-tu ?
- Seize ans mais je vais sur mes dix-sept ans au mois de janvier ! Et toi ?
- Dix-sept ans. Au faite qu'est ce qui t'a pousser, à rentrer dans l'armée ?
- Je penses que sais le faite de pouvoirs aider les autres !
- Tu n'est vraiment pas commune comme fille ! Tu as tous pour plaire à des hommes riches, mais pourtant tu continus à combattre ! D'ailleurs on te vois souvent avec le Caporal Chef Livaï. À tu une relation quelconque avec lui ?
- Merci. Non il n'y à rien du tous entre nous ! Il est juste mon supérieur et je me dois de le servir.
- Je vois Alis penses-tu que l'on pour....
- Hem...
on se retourna en même temps vers la personne qui c'était racler la gorge. Je ne fus pas surprise de voir mon supérieur avec son air habituelle, Arthur quand à lui se mit directement en position de salut . Je n'en fis rien.
- Et bien soldats, c'est moi ou vous essayez de draguer, ma secrétaire ?
- Non, mon Caporal-Chef je....
- Je ne veux plus voir ta tête de piaf retourne d'où tu viens, charognard.
Arthur déguerpis sans attendre son reste.
- Caporal-Chef, pour qui vous prenez-vous ? Cet homme ne me faisait rien de mal !
- Crois moi ce mec ne pensait qu'à une seule chose te sauter ! Et il me semble t'avoir déjà dis de ne parler à personne d'autre ça n'est pas encore rentrer dans ta tête sans cervelle ?!
- il pensait à me sauter ? Il n'avait pas l'aire méchant !
- Ce n'est pas une raison, ne fait pas l'idiote ! Tu sais très bien se que je veux dire !
- Quoi ?! Attendais je ne comprend pas se que vous me dite .
- Il voulait faire des choses mal saine avec toi ça te va là ?!

- ...
- Alis ne me dit pas que tu ne sais pas se que sais que de... enfin !?
- désolée
- Non, j'aurais du me douter...
c'est moi ou il me fait des excuses ?
- Tu iras voir une fille elle t'expliquera... En attendant viens avec moi !
Je passais le reste de ma soirée à lire et relire des papiers qu'avais écrit Livaï je devait traiter plus d'une trentaine de feuilles . J'y passa une partie de la soirée et je partis me coucher sans manger je ne me sentais pas très bien j'avais l'impression de traîner des boulets quand je marchais.
Le lendemain, je me levais tôt à cause d'une méchante migraine, je ne pris pas la peine de déjeuner mon estomac n'était pas au rendez-vous. Je partis directement au écuries, je saluais Amor comme à mon habitude en lui apportant un fruit frais. Je fis de même pour Mars et je le brossais énergiquement pour faire retomber toute la poussière. Une fois le pansages de Mars fait je décidais de lui offrir une petit tour à pied de l'auberge tous en le faisant brouter . Les matins était très frais, mes doigts était engourdis, je les passais sous la crinière voluptueuse de Mars je ne fus pas dessus, il emmenait une chaleur si réconfortante que je me collais a lui dans l'espoir de me réchauffer. J'entendis des pas venir vers nous je releva la tête et je vis Hansi arriver vers moi les mains dans les poches.
- Dis donc tu est matinale toi !
- Oui, je n'avais pas très sommeille donc je me suis levais et je suis partis m'occuper de Mars.
- Dis moi Alis en toute honnêtetés. ça va faire combien de jour que tu n'as pas fermer l'œil de la nuit ?
- Je... Ne t'inquiète pas...
- Alis tu sais je ne vais pas te sermonner.
- Ça va faire plus de 1 semaines que j'ai du mal à dormir.
- Tu manges au moins ?
- Oui, je manges.
- Pourquoi hier je ne t'es pas vu au réfectoire ?
- Je n'étais pas dans mon assiette. Je venais de finir les papiers que Livaï m'avait passer et je n'avais qu'une seule envie dormir.
- Mais tu n'as pas dormi...
- Si, 3 heures je pense.
- Se n'est pas assez pour régénérer ton corps. Nous devrions arriver au campement d'ici se soir. Une fois tous installer je veux que tu viennes à ma tente je te donnerais de quoi dormir.
- Merci beaucoup, Hansi.
- Mais de rien !
Je me mis à rire légèrement. Je vis des soldats sortir des réfectoire et se dirigeais vers les écuries. On allait pas tarder à partir à l'aventure. Je repartis moi aussi avec ma monture vers les écuries, je pris mon temps pour seller Mars je n'étais pas en retard. je croisais sur mon chemin Arthur je lui fit un signe de la main mais il ne ne me répondit pas avait-il eu trop peur de Livaï la veille?

(l'attaque des titans) Les Ailes De La Libertées ( LivaixOC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant