veille sur moi

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Stanislas De Beaubois est le fils du célèbre PDG Jean De Beaubois, magnat de l'immobilier et qui a aussi puisé sa fortune grâce a de fructueux placement. Stanislas est fils unique, destiné depuis son plus jeune âge, à prendre la relève de son père. En tant que fils unique, Stanislas est littéralement né avec une cuillère d'argent dans la bouche. N'importe lequel de ses caprices d'enfant fut octroyée. Malgré le fait qu'il fut un élève peu studieux, sachant parfaitement son avenir tracé par son père, il parvint a décrocher son bac puis a étudier dans une grande école de commerce. Dès sa sortie de scolarité son père le nomma directeur général adjoint à la tête de son groupe. Cette fonction, pour l'heure, Stanislas ne la prenait pas du tout au sérieux : Brillant par ses absences où revenant de fête en mode « lendemain difficile » . Cependant Stanislas n'avait et ne s'imposait aucun interdit : personnes pour lui dire qu'il dérapait et le fait que son père ne lui laissait prendre aucune décisions concernant cette multinationale n'arrangeaient rien. Ses préoccupations concernait presque uniquement l'endroit où il allait faire la fête entouré de ses amies. Les décisions que prenait son père, il s'en foutait complètement à tel point que celui-ci avait cessé de l'en informer. La vie de celui qui était désormais un « golden boy » , était faîte de débauches, de beuveries, et de bling bling étalé au grand jour. En dehors de cela il vivait dans une grande villa payé par ses soin avec son salaire exorbitant, amenant sa conquête du moment, mais rien de sérieux. Cette résidence dont le garage était emplie de cinq véhicules de luxe dont le sixième était en commande. Alignés les unes aux autres on pouvait trouver a l'heure actuel : une Aston Martin vanquish v12, la toute nouvelle Aston Martin DB11 (Stanislas appréciant particulièrement cette marque), Lamborghini Huracan, Mc Laren Mp4-12c et pour les virées hors des sentiers battu un range rover.

En plus de son personnel domestique, Stanislas avait pour lui une assistante a son bureau. Les relations avec son assistante était mauvaise a tel point que plusieurs personnes avait occupé le poste. Stanislas étant particulièrement hautain avec le personnel. En ce jour d'hiver, Stanislas décide de se rendre a sont travail. La nuit précédente a encore été animée pour lui, il s'est couché dans les bras d'une femme parti avant que lui ne soit réveiller et qu'il ne reverra sans doute pas de toute façon. Il a choisit de prendre son Aston Martin DB11 qu'il gare lui-même dans le parking souterrain, sur son emplacement réservé. Il se dirige vers l'ascenseur et monte a l'avant-dernier étage du building. Après avoir traversée un long couloir, il entre dans le bureau de son assistante lui permettant de rejoindre le sien. Son assistante est déjà a son bureau, affairés à sa tâche. Stanislas passe devant elle froidement, sans lui dire un mot. Il entre dans son bureau et s'assoit sur son fauteuil en cuire. Il reste un instant en silence puis presse le bouton de l'interphone :
« -Amener moi un café avec une aspirine ! » demanda t'-il sèchement.
Quelques minutes après l'assistante pénètre dans le bureau et dépose un plateau sur le bureau de Stanislas, elle amène également une pile de dossiers qu'elle pose froidement. Une fois son assistante ressorties, Stanislas allume l'écran plat de son bureau et regarde la télé en buvant son café, il a mal au crâne. La mâtiné s'écoule, Stanislas n'a pas bougé de son bureau. A midi il rappel son assistante afin qu'elle récupère les dossiers. Celle-ci s'apprête à prendre la pile lorsqu'elle interpelle Stanislas.
« - Mais vous n'avez pas touché a ces dossiers ! » lança t'elle.
« - et alors ? Vous vous en occuperez ! »
« - Et pourquoi ferais-je votre travail ? » demanda t'elle exaspérée.
« - Parce que c'est votre travail !De toute façon je ne viens pas cet après-midi ! »
« - Dans ce cas donnez-moi votre salaire ! »
« - cela suffit, occupé vous de ces putains de dossiers et foutez moi la paix ! » lança Stanislas énervé.
« - Vous êtes complètement hors de la vie réel ! Il ne suffit pas de claquer des doigts pour avoir ce que l'on veut. Vous avez la chance de ne jamais connaitre le besoin dans votre vie. Sortez dehors, voyez le monde réel, regarder la pauvreté, la galère que peuvent subir certains ! Ce n'est pas qu'un reportage télé, sortez le constater par vous même ! Vous avez l'argent mais votre vie est nul ! Vos dossiers gardé les, je préfère m'en aller sur le champs ! Sa vous changera de bosser un peu ! »
Sur ses mots l'assistante part en claquant la porte. Stanislas prend sa veste et sort, laissant les dossiers sur son bureau. De retour à son domicile, Stanislas s'installe sur son canapé et réfléchi. La vie, il semble la connaître, il sait qu'il a la chance de vivre dans un milieu favorisé. Pourtant, les paroles de sa désormais ex assistante le trouble. Se confronté à un milieu qui n'est pas le sien, il s'en sent capable, non pas pour Jouer les touristes dans un zoo, mais belle et bien de manière active. Pour l'heure sa vie n'a rien de risqué. Ces risques que prennent les gens quitte à échoué. Son père, un jour, a pris ce risque, il aurait pu tout perdre, mais ça n'a pas été le cas. Lui, Stanislas de Beaubois n'a pas connus cela car son père l'a protégé de cela. Peut-être serait-il temps de se lancer dans un vrai projet. A 25 ans, il peut se mettre en avant, non ?
Stanislas décide de rechercher une association venant en aide aux personnes en difficultés, sans logement. Après plusieurs appel et une promesse de mécénat, il obtient le droit de participer a une maraude le soir même. Pour lui se sera une première qui, il en est conscient, va le faire sortir de sa zone de confort. Cette idée le rend nerveux mais il a réellement envie de le faire et de se rendre utile. Il a annulé sa soirée pour se consacré à cela.

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