dimanche 20 octobre 2013

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En me réveillant je remarque que ma mère avait ouvert ma fenêtre, cette lueur matinal me sors de mon lit avec l'envie d'aller courir un peu.

En rentrant cela m'a fait le plus grand des biens rien de meilleur. Ça m'a permis de m'aéré la tête. Je pense trop à lui, Malo. Il me manque, chaques secondes passés sans lui est comme un instant gâché. Et j'ai énormément de mal à dormir je dors très peu même si cela ne me dérange pas pour l'instant je sais que mon corps va mal ressentir mon acte.

amitié mortelle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant