dimanche 16 mars 2014

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Cela fait un moment que je n'ai pas vu Malo,il me manques. Je sais que c'est mal de s'attacher autant mais, je n'ai jamais été douée pour savoir doser mes sentiments. C'est soit tout soit rien il n'y a pas plus simple. Je suis tranquillement installée dans mon lit quand on frappe à ma porte. Je ne réalise et me dis que j'ai rêvé sachant que personne dans ma famille ne frappe avant d'entrée d'une part et que je suis sensé être seule dans la maison depuis plus de deux heures.

Mia: oui?

Pourquoi je réponds à se bruit? Je ne sais pas peut être pour me rassurer du silence qui me répondra. Une petite voix se fait retentir avant qu'une ombre me saute dessus. Celle-ci me propulse contre mon lit sachant qu'entre temps je m'étais levée et ferme la porte à clé. Je sens mon coeur s'accélérer, une sueur dans mon dos me fait trembler de tout mes membres. La silhouette se retourne mais ne laisse paraître son visage, je n'arrive pas à le distinguer avec son sweat à capuche. J'ai peur je me recule de plus en plus jusqu'à tomber à terre. Un rire se fait entendre dans la pièce, un rire que je connais particulièrement.

Mia: putain Malo! Tu es un homme mort!

Je saute sur lui mais quand il enlevé sa capuche ses yeux se posent sur mon corps habille seulement d'un t-shirt et d'une culotte. Je sens mes joues s'empourprer de rouge, de honte... je cour me réfugié sous ma couette, je ne veux plus qu'il me voit.

Malo: bébé chat? Sors de la s'il te plaît.
Mia: jamais, la honte! Va-t-en!
Malo: hors de question j'arrive.

Je sais qu'il ne viendra pas, mais soudain une question me passe par la tête.

Mia: dit moi comment as tu pu rentrer sachant que toute la maison était fermé à clé.
Malo: je te rappelle que tu m'avais donné le double en cas de problème.
Mia: ah oui c'était un détail que j'avais oublié. Il faudrait que je m'en rappelle par la suite, évité de ne plus avoir autant peut quand tu rentre bouffon!
Malo: bouffon? Tu as osé m'insulter de bouffon?
Mia: et alors déjà t'es pas sensé partir de CHEZ MOI?
Malo: ohhh alors toi!

Il me jeta un joggings que je mis aussitôt puis il se glisse sous la couette.

Malo: tu vas voir le bouffon tu vas le regretter.

Il m'attrape les hanches et... oh non c'est un supplice ses mains chatouilles mon corps.

Mia: okay okay arrête je t'en supplie je retire mon bouffon mais arrête s'il te plaît je n'en peux plus !
Malo: mmh j'aime quand tu me supplie encore!

Je reprend ma respiration doucement nos rires se mêlaient dans le silence.

amitié mortelle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant