«Oaken Hills.» (Terminé.)

Chapitre 4

«Eh ! La bâtarde ! Fais gaffe où tu marches. »
S'exclama Harry en la heurtant dans le couloir.

Et-ce que c'était un blague ? C'est lui qui venait de lui foncer dedans. Elle se retourna et s'excusa.
Il lui tira la manche de son pull qui était déjà usé et la tira vers lui.

« Tu m'as marché sur le pied, je veut que tu me lèches cette chaussure. »

À ces mots, tout le monde s'arrêta dans le couloir, était-il devenu fou ?
Luke arriva à grand pas pris Harry par le col et le plaqua contre le cashier avant de lui dire de se calmer. Ce qu'il fit. Ensuite Luke prit Ashley par le bras et l'emmena loin de tous.

« Écoutes moi, tu vas quitter Oaken Hills, fuis loin d'ici, Harry ne va jamais changer sinon on s'occupera de son cas plus tard, on le fera tous, on te vengeras. »
Et ce fut les dernières paroles qu'elle entendis de Luke.

« - Ce n'était pas quelqu'un de bien. »
Répéta-t-elle plusieurs fois, tentant de se convaincre elle même.

D'un coup elle se leva, retourna dans le cabanon une dernière fois, en revenant Michael n'était pas dans la pièce, elle couru prendre ses affaires et déferla les escaliers sous les yeux ahuris de tous. Elle sortit et vit Michael dans sa voiture, elle mit ses affaires dans le coffre et monta dans la voiture, au côté de Michael, un bouquets de fleurs à la main.

Michael démarra la voiture, sous les yeux de Sophia, effondrée, appelant la police pour annoncer un décès de cause inconnu.
Michael s'arrêta chez lui, prendre ses affaires, puis repris la route avant de faire un dernier arrêt chez la fleuriste, mais cette fois-ci ce fut Ashley qui descendu, elle se dirigea vers la boutique, entra.
Elle vit la fleuriste et posa le bouquet sur le comptoir et sorti le pistolet dissimulé entre les fleurs.
«- Vous direz au patron que tout s'est passé comme prévu. Dit-elle froidement.
- Je le ferais, j'espère que tu reviendra nous donner quelques services.
-Ne comptez plus sur nous, j'attend notre part du marché. »

Sur ces mots, elle quitta la boutique, et la ville, une fois pour toute mais elle y avait gagner une chose, lui.