Chapitre 50

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Dans sa vie on fait des choix, qui nous mènent quelque part. Soit on décide de suivre une vie toute tracée avec aucune surprise soit comme c'est le cas pour moi, on décide de faire ses propres choix. Parfois, je me suis bien ratatinée mais j'ai toujours su faire face. Ce qui me permet d'avoir aujourd'hui une vie de rêve. Je suis mariée avec un homme que j'aime et surtout que jamais je n'aurais pensé épouser. J'ai eu trois merveilleux enfants qui me remplissent de bonheur chaque jour que dieu fait. J'ai également Fun, ce golden retriever qui est génial. J'habite dans une superbe ville avec une magnifique maison remplie d'amour. Un boulot qui me passionne toujours autant. Quant au travail de Dries, lui il ne joue plus avec les Diables mais il est devenu le directeur adjoint des Diables. Vous vous dites surement qu'il s'en est passé des choses et surtout quel jour sommes-nous. Et bien, aujourd'hui avec Dries, nous allons fêter nos 10 ans de mariage. Que le temps passe vite. Dries m'a renouvelé sa demande, et nous sommes donc tous présents pour renouveler nos vœux mais ce coup-ci nous sommes à Bruxelles. Dries m'embrasse, nous sommes chez mes parents.

Dries : Bon anniversaire ma chérie.
Sophie : Merci, mon cœur. A toi aussi, 10 ans à tes cotés qu'est-ce que ça passe vite.
Dries : Mais, c'est parce que tu es avec moi.
Sophie : En 10 années de mariage, je n'ai pas réussi à te faire passer cette manie de te venter.
Dries : Je ne vais pas complètement changer. Sinon, tu ne m'aimerais plus.
Sophie : Qu'est-ce qui te fait dire que je t'aime encore ?
Dries : Tu n'aurais pas dit Oui aussi vite et en hurlant quand je t'ai demandé de renouveler nos vœux.
Sophie : C'est vrai. Mais, j'étais tellement heureuse que tu me demandes ça. Après, tout ce que nous avions traversé. Et puis, tu n'as jamais vraiment été du genre très romantique alors, je ne m'attendais pas du tout à une demande pareil.
Dries : Je t'aime. Et je voulais marquer ces 10 années de bonheur à tes cotés. La meilleure chose étant une nouvelle demande. Pour te montrer, que malgré tous ce qui nous est arrivé, nous nous aimons toujours autant si ce n'est plus.

Sophie : Je t'aime.

Flash back.

Nous sommes le 24 décembre, dans 10 minutes nous serons le jour de noël soit le 25. Il y a déjà de ça 10 ans, Dries me demandait en mariage. Se jour restera gravé dans ma mémoire à tout jamais tellement j'étais la femme la plus heureuse du monde. Cette année nous sommes chez mes parents avec la famille de Dries, ainsi que la famille d'Aurélie. Nous voulions Aurélie et moi retrouver les noëls sous la neige de Bruxelles de notre enfance vu qu'à Paris, on ne peut dire qu'il neige souvent. Nous venons tous de nous offrir de superbes cadeaux. Cette année Dries à du envoyer Marie m'acheter mes cadeaux puisqu'il m'a offert de magnifiques vêtements et non un vulgaire croque-monsieur comme il y a 10 ans. Remarquez, je m'en sers toujours 10 ans plus tard. Il est aussi solide que notre couple. Nous voici à 00H00, tous le monde va pour se souhaiter un joyeux noël mais Dries les arrête tous dans leur élan.

Dries : S'il vous plait, j'aimerais votre attention deux petites minutes. Vous vous souhaiterez un joyeux noël plus tard. Ce que j'ai à dire et à faire, est 100 fois plus important.

Valentine : Vas-y Dries, nous t'écoutons, vu que ça à l'air important.
Marie : En même temps, tu viens tous de nous couper en plein élan. J'espère que tu as une raison valable.
Dries : Mar, tu es la seule au courant. Fait pas comme si tu ne le savais pas.
Marie : Oh, je ne voulais pas me faire griller.
Sophie : Bon, vous discuterez plus tard. Dries, nous attendons tous.
Dries : Tu es toujours aussi impatiente.
Sophie : Ce n'est pas vraiment ça. Mais, tu choisis toujours tes moments aussi.
Dries : Sophie.
Sophie : Ne m'appelle pas comme ça, je n'aime pas venant de toi. C'est toujours mauvais signe.
Dries (rigolant) : Sophie.
Sophie : J'abandonne. Vas-y parle.
Dries : Sophie.
Marc : Je crois que nous tous ici présents avons compris qu'elle s'appelait Sophie. Si tu pouvais continuer ta phrase. Vu que je ne pense pas que tu ne voulais dire que ça.
Dries : J'ai bien embêté tout le monde. En plus, vous me regardez tous avec de ses yeux.
Kwinten : Qui vont finir par te tuer.
Nathan : Si tu ne parles pas.
Sories : Laissez donc mon papa tranquille. Enfin, laissez-le parler. Vas-y p'pa nous t'écoutons tous.
Dries : Merci, ma chérie. Sophie, (Tout le monde se remit à soupirer.) Il y a 10 ans, je te demandais en mariage. C'était l'un des plus beaux jours de toute ma vie. Je te l'avais demandé le 25 décembre comme tu l'avais toujours souhaiter. Il y a 10 ans, tu devenais ma femme. Depuis ce jour j'ai su que je ne serait plus jamais seul. Tu m'as donné trois merveilleux enfants. Malheureusement tes parents n'étaient pas présents pour toi ce jour là. J'avais pour toi été chercher la bague de fiançailles que tu voulais suite à notre virée à Ostende. Bague que tu as d'ailleurs perdue....
Sophie : Tu l'as remarqué, je l'avais encore hier mais ce matin elle avait disparu. Je suis sincèrement desol...
Dries (se mit à rire) : Sophie, veux-tu m'épouser et devenir une nouvelle fois ma femme ?
Sophie (réalisant et ainsi se levant et lui courant dans ses bras) : Oh, oui. Je t'aime si tu savais à quel point.
Dries : J'espère bien. Tiens.
Sophie : C'est toi qui me l'avais prise ? Et moi, qui ai retourné toute la maison.
Dries : Je sais.
Sophie : Mar, je suis sure que tu étais dans le coup.
Marie : Un tout petit peu. Mais, il fallait que tu l'enlèves ce qui est déjà extrêmement dur à te faire faire et que tu la laisses deux minutes sans ton attention.
Sophie : Dries, je t'aime.
Kwinten : Tu vois maman, que l'on avait rien fait.
Nathan : Oh, oui, je n'y crois pas. T'abuses là papa, on s'est fait engueuler et on a du chercher la bague toute la journée.
Sories : En plus, tu nous as vu la chercher. Et tu aurais pu nous le dire.
Dries : Désolé les gosses, mais il fallait vraiment l'effet de surprise. Et j'avoue que c'était assez drôle de vous regarder chercher partout.
Kwinten : C'est pour ça que tu n'as pas voulu nous aider ?
Nathan : Et que tu souriais à chaque fois que tu nous voyais ?
Sories : En plus, même le pauvre Fun. Il s'est fait engueuler de l'avoir soi-disant avalé.
Dries : Tu es allé jusqu'à accuser mon chien ?
Sophie : Je ne la trouvais nulle part.
Dries : Je t'aime.

Une fille coach des diables ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant