Une fille coach des diables ?

Chapitre 7

Je suis enceinte de 4 mois, depuis que je suis enceinte, Dries est toujours derrière moi, il fait tout à ma place. C'est à peine si je peux faire le ménage. Il a embauché une femme de ménage et qui s'occupera après de notre bébé à la naissance. Et à l'entrainement ce n'est pas mieux je n'ai même pas droit de toucher à un ballon, le comble pour une entraineuse.

Aujourd'hui on va connaitre le sexe du bébé, je n'ai pas de préférence. Toute ma vie on m'a dit que j'aurais une fille mais j'avoue qu'un petit mec me plairait bien. Un qui ressemble à Dries, peu importe ce que j'aurai tant que ce bébé est en pleine santé et c'est notre enfant. C'est le principal.

Dries : Sophie arrête de jouer avec ce ballon. Ce n'est pas bon pour le bébé.
Sophie : Chéri, tu me fatigues. Je suis enceinte, je ne suis pas handicapée. Ni même malade.
Dries : Bébé, c'est pour ton bien si je te dis ça.
Sophie : Oui bah tu vois tu me fatigues là, si j'avais su je ne serais pas tombée enceinte de toi.
Dries : Tu peux toujours aller voir ton Quentin d'amour. Il se fera une joie.
Sophie : Ce n'est peut-être pas une si mauvaise idée.
Dries : Dans tes rêves, tu es à moi, tu es ma femme. S'il veut sa Jessica, il ira voir une autre femme.
Sophie : Jaloux, encore après toutes ces années. Comme c'est chou.
Dries : Moi jaloux de lui ? Bien sûr que non.
Sophie : Bah voyons. Je ne suis pas sûre que tu apprécierais que je l'invite à diner.
Dries : Puis quoi encore ? Et puis, je peux très bien appeler Emilie. Je crois qu'elle ne connait pas vraiment les bons hôtels dans cette ville.
Sophie (le frappant gentiment) : Celle-là, je la déteste mais en même temps, si elle n'avait pas fait ce qu'elle a fait. On ne serait peut-être plus ensembles et prêts à accueillir un enfant.
Dries : Donc, j'irai la remercier.
Sophie : N'essaye même pas.
Dries : Je plaisante. Et toi, tu es ma femme pas celle de Quentin et on va avoir un bébé ensemble.
Sophie : C'est vrai mais je peux toujours partir avec le petit.
Dries : N'essaye même pas. Je t'en empêcherai. Bon on y va.
Sophie : On y va. C'est parti, allons découvrir le sexe de notre futur enfant.

Nous sommes partis pour la clinique découvrir ce que l'on allait avoir. On m'installa dans la salle, la sage-femme arriva quelques temps après. La sage-femme me mit le gel sur le ventre qui était vraiment froid et posa la sonde sur mon ventre.

Sage-femme : Alors Mr et Mme Mertens. Apparemment, tout va très bien là-dedans. Voulez-vous savoir le sexe ?
Dries : Oui.
Sage-femme : Madame ?
Sophie : Bien sûr.
Sage-femme : Tenez, les-voilà. Là on les voit très bien. Nous allons pouvoir tout bien distinguer.
Dries : Pardon vous vous êtes trompée, le voilà plutôt, vous l'avez dit au pluriel.
Sage-femme : Je n'ai pas fait d'erreur Mr. vous allez avoir des jumeaux.
Dries : C'est une blague ? Si s'en est une, ce n'est vraiment pas drôle.
Sage-femme : Non pas du tout. Ils sont deux dans le ventre de votre femme. Et ce sont en plus de vrais jumeaux.
Dries : Mais ce n'est pas possible. J'en ai commandé qu'un pas deux.
Sophie : C'est quoi comme jumeaux ?
Dries : Sophie.
Sophie : La ferme. Alors ?
Sage-femme : Vous allez avoir deux petits garçons.
Sophie : Oh, deux petits mecs. Tu entends ça Dries. Ouhouh Dries, tu es toujours avec nous ?
Dries : Deux, deux enfants. Deux, d'un coup. Deux mecs. Des jumeaux. De vrais jumeaux.
Sophie : C'est bon, on a compris qu'ils étaient deux.
Sage-femme : Je vais vous laisser deux minutes.

La sage-femme sortit et moi j'étais en pleurs. J'allais avoir non pas un mais deux bébés et en plus des petits gars.

Sophie : Tu as entendu, on va avoir deux beaux petits bébés.
Dries : C'est de ta faute, j'en voulais qu'un et toi tu m'en donnes deux.
Sophie : Bah voyons. Dans tous les cas, c'est toujours de ma faute.
Dries : Tout à fait.

La sage-femme revint à ce moment-là. Et, elle nous annonça que c'était bien des vrais jumeaux et nous avons entendu les cœurs de nos bébés battre. A ce moment-là, Dries est devenu tout ému et il m'embrassa sur le front.