J'en ai rêvé, j'en rêve encore et ce rêve dure
Cette sensation qu'ils me procurent
M'émeut. Ils ne quittent plus mon coeur
Ils sont à jamais en lui, c'est depuis leur demeure.Tes yeux de feux que je ne pourrais oublier
Me brûlent mes ailes d'anges, je deviens diable ensorcelé
Je m'approche doucement de cette flamme, j'agonise
Je souffre continuellement de cette douleur exquiseTes yeux d'amour qui ferait tomber Aphrodite
Me font tomber dans tes bras que jamais je ne quitte
Perturbants, ils le sont, ils me rendent folle, comme chaque jours
Je cède à cette tentation, je m'abandonne comme toujoursTes yeux si doux, enchanteurs, dangereux
Je m'y nois alors que je plonge en eux
Je cris pour que l'on me sorte de cette démence
Mais désirais je tant qu'on me sauve de cette délicieuse souffrance ?J'en suis ivre, je réclame encore un regard
Mais il est loin à présent, je reste hagard
"Où ?!" que je cris, que je hurle, que j'aboie
Là où je ne suis pas, trop loin de moi
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Un millier de maux
PoetryJe me réfugie souvent dans la poésie, Dévoilant peut être mes sentiments à l'écrit, Mais c'est le seul endroit qui m'ai accueillît, Telle une enfant perdue dans l'oubli.