11- Près de ton balcon

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Et bien avant que le soleil ne brûle ta peau et que tu n'ouvres tes yeux endormis
Je suis en bas de ton balcon, gelé par le froid de la nuit
Mais mon coeur brûlant réchauffe mon corps, et je me sens revivre
Quand je t'aperçois, toi, dont le regard me rend si ivre

Oh mon ange ! Que je chuchote. Penche toi encore
Pour que comme le jour dernier je te contemple et alors
Je te dirais de nouveau que je t'aime comme jamais on oserait t'aimer d'un amour pareil
Et que seul mon coeur pourrait mourir pour tes beaux yeux qui m'ensorcèlent.

Sans toi, sans ta présence, sans cette chaleur que tu dégages
Tout est moins beau. Je ne veux alors que contempler ton visage
Aphrodite te jalouse, toi, ô splendide créature
Toi, qui est ce qui rend tout plus beau dans cette triste nature

Je ne te vois plus. Malheur.
Les rayons de soleils sont trop froid sur ma peau, horreur
Les fleurs sont fades, l'air est amer, mon coeur se fend, sais tu pourquoi ?
Ecoute, il gémit, il pleure. Et il cri. "Ne me quitte pas".

Comprend le. Aveugle tu es. Mais je te pardonnes. Etre divin
Je te pardonne de ne pas voir ma tristesse alors que je erre seul dans ton jardin
Je te pardonne de ne pas vouloir m'aimer comme je rêverais que tu m'aime
Je te pardonne pour ne pas voir que, je meurs d'amour pour toi, ô triste bohème.

Un millier de mauxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant