Nahima McClevski
Mardi 7 janvier 2014, en début de journée.
10 avenue de Manatthan, 4677 Oshawa.
Maison des McClevski.
« -Nahima tu te lèves s'il te plait, ça va faire dix minutes que ton réveil sonne. »
Rachel, 42 ans, mère de trois enfants.
Elle est directrice marketigue chez I'm just me*, une entreprise regroupant plusieurs filiale, telle que PamelaBanana : un magasin de prêt-à-porter pour ados et enfants, CarlaGame's : un magasin de jeux vidéo et de console, ElisaAsia : un point de vente de plusieur produits asiatique, ou encore Univers : un magasin de vente de produits multimédia, son et image dont elle est créatrice et la gérante.
Thomas m'a expliqué beaucoup de chose. Pas seulement sur son travail mais aussi sur nous, en réalité elle n'avait qu'un enfants, un enfants qu'elle a mit au monde.
Ma mère a adopté quand elle a su -avant le divorce- qu'elle ne pouvait plus avoir
d'enfant. Elle ne voulait pas s'engager dans des traitements médicaux qui l'auraient plus
épuisé qu'autre chose. Apparament je suis arrivée chez eux à l'âge de trois ans, c'est-à-dire quand Thomas en avait huits. Thomas dit que je suis arrivée au bon moment, je suis « celle qui a fait que maman ne sait pas éffondrait après le divorce ».
Je n'ai jamais connue le père de Thomas. Jamais.
Nathan est arrivé quelques années après, mon frère dit que j'était si heureuse que je ne voulais plus le lacher.
Depuis la rentré scolaire, j'ai reussi m'installai une routine. Je sais que maman part de la maison à 7h30 et elle réveille tout le monde avant. Thomas lui ne se lève pas avant 8 h 00 et Nathan aussi.
Je me lève donc, afin de pas être en retard. Je range mon lit, file dans la salle de bain, descend mangais, fais une carresse à Carter, le berger-malinois et sors de la maison.
A cette heure si les rues son vide de vie, par moment ça fait même peur. Je passe par le parc, j'ai un peu de temps. Mon casque sur mes oreille diffuse une musique que je reconnais, Fantasy Girl de Baby Bash, une chanson qui pulse dans mes oreilles et qui me fait vibrer. Sans m'en rendre compte je me mets a danser, sur la pelouse du parc. Des pas de danse que je ne connais pas, mais que j'exécute à la perfection. Je me laisse emporter par le son.
Je ne m'étais pas rendu compte que j'avais fermé les yeux. A la fin de la chanson, mon cœur battait fort, tellement fort que je dus m'asseoire pour reprendre mon souffle saccadé.
Hé ma vieille, respire, expire, respire expire. Tu vas quand même pas nous faire une crise d'asthme, hein ?
Après dix minutes, je repris ma marche vers le lycée d'Avalon. Heureusement pour moi, les portes venaient de s'ouvrire. Je m'aventure dans les couloires du bâtiments principale, dans une marche rapide et toujours rythmé par la musique en provenance de mon casque audio. Dans un geste automatique, je dévérouille mon casier et y prend mes livres de la matinée.
Mardi 7 janvier 2014, en début de journée.
Lycée Générale Avalon Green,
Bâtiment B2, salle 107.
Cours de Mrs. Glovskanovish.
Mrs Glovskanovish est notre professeur de literrature européene. Elle est loin du stéréotype du prof super ennuyeux et à la voix hypnotique et anesthésiante. Ses cours son vivant et très interessant, elle parle comme d'un vécu, comme un soldat retraité qui raconte ses hisoires à ses petits enfants. Elle a se pouvoir la. Hormis certains, nous étions tous concentré sur le cour, aujourd'hui le sujet était à la fois philosophique et poètique : Lucrèce.
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Singulière ( En cour de réecriture)
Romance" -Elle vient de perdre la mémoire, elle nous a tous oublié. Comment veux-tu qu'elle se souvienne de toi ? -J'aurais aimé, j'espérais tous simplement. -N'espère pas trop, parce qu'elle va se reveiller, il va la reveiller. Tu oublis qu'il a été crée...